L Etre Humain Selon Descartes

s'exprime en paroles, c'est-à-dire en signes de communication, ce qui révèle l'origine même de la conscience. Friedrich NIETZSCHE, Le Gai Savoir, 5ème livre, § 354. L'homme selon Descartes domine et pense le monde qui l'entoure. C'est la certitude de sa propre conscience qui lui permet d'établir cette hypothèse. L'être humain pour lui est indissociable de la conscience d'où son « cogito ergo sum ». Par contre il ne nous indique pas d'où vient cette conscience. Dans son texte, Nietzsche s'interroge

fait que l’évidence est une condition nécessaire pour atteindre la vérité, elle donne une direction à suivre, mais qu’en aucun cas elle n’est suffisante pour prétendre atteindre la vérité qu’on qualifiera d’universelle et nécessaire. L’évidence peut-être douteuse. Ainsi, nous sommes fondés à nous demander s’il est nécessaire de refuser l’évidence pour rechercher la vérité. Après avoir explicité les notions de vérité, de certitude et les différentes notions d’évidence nous essayerons d’en déduire

Plan : Introduction I- Le pourquoi de la métaphysique ii- Quelques systèmes de la métaphysique A. Chez aristotes B. Chez descartes III-Critique adresse à la metaphysique ➢ critique kantienne ➢ critique d’auguste comte ➢ critique de Nietzsche ➢ critique marxiste iv-la metaphysique est-elle encore actualité CONCLUSION

FICHE CHAP 12: La matière et l’esprit Matière : La conception aristotélicienne de la matière (liée à la puissance) a longtemps dominé, jusqu’à Galilée et Descartes. Avec la science moderne se fera jour l’idée de matière comme réalité constitutive des corps (molécules, atomes…) Etymologie : latin materia : « matière » mater : « souche des arbres » ; « mère » ; « cause » ; « origine » grec hylè : « le tronc de l’arbre » ; « bois » ; « matériau

et pour cause, c’est l’une des principales aspirations de l’espèce humaine, et ceci à travers les époques. La troisième maxime de Descartes est donc toujours d’actualité : elle semble être la réponse à la question «Comment se rendre content?». On peut toutefois se demander pourquoi est utilisé l’expression «se rendre content» et non «être heureux». Le «content» est un «heureux» passager, provisoire. La troisième maxime de Descartes appartient justement à une morale provisoire. La morale «par provision»

Voilà une grande question sur laquelle plusieurs se sont penchés, mais on se penchera plutôt ce que René Descartes, un philosophe français du 17e siècle, en pense. Pour lui, penser consiste à exercer son bon sens ce qui, à priori, est simple puisque tous les hommes en possèdent autant; ils ont tous le même potentiel. Pourquoi ? Tout simplement car à leur naissance, tout être humain se voit accordé une aptitude bien spéciale ; leur raison. Cette dernière donne le pouvoir à tous de

précepteur d'Alexandre le Grand et le fondateur de l'école péripatéticienne (le Lycée). Inventeur de la logique formelle, il a également étudié le vivant, faisant de l'âme le principe même de la vie, ainsi que la dimension politique et éthique de la vie humaine. ataraxie Du grec ataraxia, « absence de troubles ». État de tranquillité de l'âme qui définit le bonheur, et ainsi, le but à atteindre pour les sagesses antiques (épicurisme et stoïcisme). besoin Exigence ou nécessité naturelle, d'ordre physiologique

dualiste (Descartes). La thèse moderne serait plus dualisme avec malgré tout une tendance au matérialisme (esprit se réduit à matière; cerveau ne serait qu'un processus physique et chimique => le computationisme). Comparer vivant et machine (1), Soeurn en voit le problème (ratio en latin= le calcul, forme aujourd'hui la "raison"); réduire l'esprit à une réaction chimique oublie le rapport aux autres et la sociologie. 1ère objection: Intelligence se réduirait à la faculté de calculer selon l'héritage

Traité de la nature humaine, HUME 1737 Dans l’extrait du livre étudié, Traité de la nature Humaine, David Hume nous soumet une nouvelle vision de la perception du sujet : l’homme peut-il se saisir lui-même ? Selon Hume, l’homme n’est-il qu’une suite de perceptions, sans unité qui lie le tout : ainsi la «res cogitans» (chose pensante), comme l’énonce Descartes dans Discours de la méthode, n’existe pas. L’auteur commence d’abord par énoncer sa thèse : l’homme est une suite de perception sans

qui se succèdent les unes aux autres avec une rapidité inconcevable et qui sont dans un flux et un mouvement perpétuels. " David Hume, Traité de la nature humaine (1737), livre 1, 4e partie, section VI Introduction : Dans son Traité de la nature humaine (Livre 1, IVe partie, section VI), Hume cherche à expliquer la croyance en un être nommé " moi ", c'est-à-dire la tendance de l'esprit à forger la fiction de l'identité. La thèse de Hume est celle de l’illusion substantialiste. I - Hume