L'Heure du Docteur

« Berthe » est une œuvre thématique sur la folie. Elle est réaliste. Le docteur Bonnet est un vieux médecin d’aspect fluet, habitant de Riom. Berthe est sa patiente. Il la décrit comme pareille à la perfection et la compare à Vénus. Elle est assimilée à un animal « elle essayait […] des vagissements […] des cris légers que l’on pouvait comparer à des gazouillements d’oiseaux ». On irait même jusqu’à avancer que le docteur détient Berthe enfermée dans une maison cloitrée dans le but d’en tirer profit

affaires. Le Pauvre Je vous assure, Monsieur, que le plus souvent je n’ai pas un morceau de pain à mettre sous les dents. Dom Juan Voilà qui est étrange, et tu es bien mal reconnu de tes soins. Ah ! ah ! je m’en vais te donner un louis d’or tout à l’heure, pourvu que tu veuilles jurer. Le Pauvre Ah ! Monsieur, voudriez-vous que je commisse un tel péché ? Dom Juan Tu n’as qu’à voir si tu veux gagner un louis d’or ou non. En voici un que je te donne, si tu jures ; tiens, il faut jurer. Le Pauvre

 Tout comme toi.     SCÈNE 3­ L'ACCOUCHEMENT   Docteur Roche:​ Allez madame, vous y êtes presque. Qu'est­ce que tu regardes toi, va chercher  une infirmière pour ta femme, toujours debout à rien faire c'est ça ?   Père de Vasile:​ Mais...c'est mon enfant.  Docteur Roche:​ Quel vulgarité ! De quel droit tu parles ainsi, ta femme ne t'a pas appris à agir  proprement ou quoi ?    *Cri d'un bébé     Mère de Vasile:​ Oh oui ! Mon enfant !​  ​ Qu'est­ce qu'elle est belle!  Docteur Roche:​ Madame, c'est un garçon..

m’en vais chercher son biberon qui se situe dans le poste de soin dans un chauffe-biberon. Je vérifie alors l’étiquette positionnée dessus, ou apparaît le nom et le prénom de l’enfant, le type de lait administré ainsi que sa quantité, la date et l’heure de préparation. Je vérifie que le lait est tiède manuellement et retourne dans la chambre du petit garçon. Je rentre, pose mon biberon sur la tablette appartenant à l’emplacement du lit de Jérémy ou toutes ses affaires sont réunies. Je me fais une

d’intervention. Mettre le P (pour chambre particulière) s’il est inscrit sur le devant du dossier cartonné. (Cela donne droit à une compote et une bouteille d’eau en supplément lors du retour de bloc). N° de chambre Sexe et nom du patient Nom du docteur Intervention Prêt et barré qd il descend Retour de bloc Collation Heure de sortie 5 Mr X Dr A Cataracte OD P X Surligner sur la feuille de programmation du jour du médecin, le nom du patient afin de signifier qu’il est arrivé et installé dans

SOMMAIRE INTRODUCTION 3 I. Présentation de la Clinique Rémusat 4 1) Présentation du secrétariat médicale 7 2) Les tâches d’une secrétaire médicale en clinique 8 II. Présentation du cabinet médicale du Docteur BECTARTE 11 1) Présentation du secrétariat médicale 12 2) Les tâches d’une secrétaire médicale en cabinet 13 III. Difficultés rencontrées 14 CONCLUSION 15 REMERCIEMENT 16 ANNEXE

gare, puis sur une route de campagne, dans les années 1920. Il y a là le docteur Parpalaid et sa femme ; leur chauffeur Jean, qui tout au long de l'acte essaye en vain de faire fonctionner l'antique automobile – elle date d'au moins 1900 – des Parpalaid ; et enfin le docteur Knock. Ce dernier vient d'acheter la clientèle du docteur Parpalaid, qui quitte le bourg de Saint-Maurice pour aller terminer sa carrière à Lyon. Le docteur Parpalaid et madame brossent un tableau idyllique de la situation qui attend

Gardienne : Gardienne de l’enfer 7)   Josy : Secrétaire particulière du Patron 8) Commandant : Commandant du ferry 9)   Jennifer : Star de Rock 10)  Sandra : Meilleure amie et manager de la Star 11) Mme Van Bergen : femme très riche 12)  Docteur De Vlamémitch : Chirurgien esthétique 13)   Alice : femme de Gérard Les rôles de la Gardienne, de la Secrétaire particulière du Patron et du Chirurgien esthétique, prévus ici comme rôles féminins, peuvent très bien être adaptés comme rôles masculins

l’avaient déclaré atteint d’une phtisie bien caractérisée. C’était à vrai dire sa coutume de parler de sa fin prochaine avec beaucoup de sang-froid, comme d’une chose qui ne pouvait être ni évitée ni regrettée. Quand ces idées, que j’exprimais tout à l’heure, me vinrent pour la première fois, il était très-naturel que je pensasse à M. Valdemar. Je connaissais trop bien la solide philosophie de l’homme pour redouter quelques scrupules de sa part, et il n’avait point de parents en Amérique qui pussent plausiblement

Ca fait plus d’un mois que nous sommes dans ce camp, et depuis une semaine mon frère se prépare pour s’évader. Ce matin il m’a dit que des qu’il sera partis il trouverait quelque chose pour me faire sortir d’ici. C’est l’heure de l’appel, les noms défilent les uns après les autre, les miens et puis : * Milo ! Une fois, une seconde fois pas de réponse. Mon frère était peut être déjà loin en ce moment. Les gardes se regardent et se mettent à fourmiller partout seul un reste au près de nous.