L Histoire N Est Elle Qu Un éternel Recommencement

prendre dans son propre jeu. Peu de temps après il est dépassé par sa propre expérience. Au départ, c'est une histoire simple, banale, vécu dans un lycée américain. On y parle des mécanismes des nazies, un sujet très éloigné des préoccupations des lycéens et qui devient tout à coup un élément de questionnement dévastateur : l'histoire peut-elle être un éternel recommencement ? L'intérêt de ce livre est de nous faire prendre conscience que "la bête immonde" sommeille peut-être là, en chacun

qu’immatériel (traditions, valeurs…) à ses fils et que ceux-ci auraient dû, se construire tout seuls comme il l’a fait lui. V. La malédiction du clan Tsongor La malédiction du clan Tsongor est la violence. Pour ce clan c’est un éternel un éternel recommencement, Tsongor à conquit ses terres par de la violence, ses propres enfants se font la guerre Danga est du côté de Sango Kerim, alors que Liboko et Sako sont du côté de Kouame, ils se battent les uns contre les autres, avec beaucoup de violence

prises de positions dénote on ne peut plus clair l'incommensurable tracé de cet auteur, étoile scintillante encore plus présente et pressante dans le ciel de la littérature mondiale. Revisiter l'écriture katebienne, c'est se confronter à un éternel recommencement, dans une double vision : rétrospective et prospective. En effet, passé, présent et avenir s'entremêlent pour reconfigurer l'espoir et l'histoire d'un pays. Cette écriture «redouble de férocité» esthétique et poétique dés que l'on s'engage

sécurité, ou négative –d’enfermement. Mais, comme le dit très justement le professeur Serge Sur, « [les murs] symbolisent la fermeture contre l’ouverture, l’immobilisme contre le mouvement, la mort contre la vie. »[10] Or rien au monde n’est éternel, pas même un mur, car il symbolise toujours une idée, un principe, une frontière qui ne pourra durer toujours. C’est pour cette raison que le mur d’Hadrien ou la Grande Muraille de Chine[11] sont tombés en ruines –les frontières changent. C’est pour

simplicité, il est même souvent populaire, notamment lorsque les personnages parlent. Le style d’écriture permet donc d’atteindre une dimension universelle, puisqu’il vise un large public. Duras atteint même l’éternel par l’écriture. Elle écrit son histoire et surtout celle de sa mère pour se souvenir, pour perpétuer la mémoire de sa mère. On voit un lien avec la démarche autobiographique qu’entreprend Michel Leiris, qui dit dans De la littérature considérée comme une tauromachie: « écrire pour ne pas

C’est un récit très simple, à l’écriture tout en finesse et sobriété, allant droit à l’essentiel. Il semble imiter le raffinement délicat de la calligraphie japonaise. C’est l’histoire d’un éternel recommencement, les voyages formant un cycle dans la vie de cet homme oscillant entre l’Ici et l’Ailleurs jusqu’à la fusion des deux. L’auteur survole les années, la distance pour se concentrer sur des détails, toujours les mêmes, troublants du fait de leur isolement : le flamboyant d’une robe, d’un regard

les roman de chevalerie du Moyen-âge (Tristan et Iseult par Chrétiens de Troyes ou encore la légende d’Arthur et la célèbre histoire d‘amour entre Lancelot et Genièvre) jusqu’à aujourd’hui. Devant ce constat troublant et cet éternel recommencement, nous sommes en mesure de nous demander si finalement le roman n’a pas pour unique but de raconter encore et toujours des histoires d’amour. En effet, l’amour est une source d’intérêt inépuisable pour le lecteur; celui-ci lit en effet souvent des romans

simple et lapidaire de leur espace vécu. Une description vague « C'était un village d'ouvriers mais l'usine avait cessé de fonctionner » → Démonstratif « c' » et indéfini « un » qui rendent le cadre spatio-temporel flou. Un village sans nom, sans histoire, un village anonyme → paradoxe car cela permet au processus d'identification de s'opérer et donc d'ancrer véritablement le réalisme du texte dans une situation vécue et qui peut s'universaliser mais en même temps c'est un cadre qui reste flou et

s’est représenté : ce serait le soldat qui regarde le spectateur dans le panneau à droite), 4) Le repos (dans la prédelle) ou la mort : les interprétations divergent sur ce point. Le lien entre les 4 éléments crée une boucle infernale, un éternel recommencement de la violence. Des soldats combattent et meurent. Certains reviennent, se reposent et repartent. IV) Conclusion - Quel est le message, la métaphore de cette peinture ? En utilisant les procédés spécifiques au triptyque religieux,

LAFORGUE : COMPLAINTE D'UN AUTRE DIMANCHE Introduction : Une complainte est une chanson de rue qui raconte une histoire triste sur un ton mi-comique, mi-pathétique. Jules Laforgue a repris et adapté cette forme ancienne dans un recueil publié à son nom en 1885 intitulé « Les complaintes ». Ces poèmes marqués par un mal de vivre né de l'ennui du un sentiment de malheur et par le désir de ne jamais combler une évasion libératrice. Il exprime l'Ennui devant un monde monotone et uniforme. L'horreur