L Homme Est Il Libre Selon Freud

Commentaire de Sur la psychanalyse. 5 conférences, de Freud Pierre-Henri Castel Introduction, et leçons 1 à 3 Pour accéder au commentaire des leçons 4 à 6 [pic] Remarque liminaire sur les éditions du texte analysé Introduction à la philosophie de la psychanalyse Première conférence I. A qui Freud s'adressait-il? II. La genèse empirique des problèmes de la psychanalyse A/ Le cas d'Anna O. et la clinique classique de l'hystérie B/ La méthode cathartique de Breuer: procédés et résultats

Rousseau…………………………………………………………………5 Alexander Sutherland Neill………………………………………………………………7 Maria Montessori…………………………………………………………………………..9 Célestin Freinet…………………………………………………………………………..11 John Dewey………………………………………………………………………………13 Sigmund Freud……………….………………………………………………………..…15 Jean Piaget………………….………………………………………………………….…17 Frédéric Froëbel…………….………………………………………………………….…19 Carl Rogers……….……….………………………………………………………………21 Emile Jacques-Dalcroze…………………………………………………………………21 Abraham Maslow…………………………………………………………………………21

qu’est concrètement la liberté car beaucoup pensent qu’un homme libre, est une personne qui dispose librement de sa personne et de ses biens. Par ailleurs, d’autres pensent que l’homme pense qu’il est libre alors qu’il est déterminé par des causes qu’il ignore. Ils se posent donc le problème de la définition de la liberté et de ses limites. Ainsi la liberté peut-elle être illusoire ? ou encore l’homme est il véritablement un être libre. Tout au long de notre analyse dans une première partie nous

à la religion et réciproquement la religion peut-elle disqualifier la validité scientifique ? Freud s’est efforcé d’instruire le procès de la religion et il a nourri sans trop d’illusions le rêve d’un monde à venir où l’éducation rationnelle supplanterait l’éducation religieuse et affranchirait l’homme de sa séculaire névrose infantile en le faisant accéder à sa majorité spirituelle et morale. Pour Freud et de nombreux savants, il y a une incompatibilité de droit entre la science et la religion.

représentation que je donne à autrui de ma propre identité diffère selon la personne à qui je m’adresse (devant mon patron je veux avoir l’air sérieux, devant mon enfant je veux paraître « cool »…), différentes personnes auront donc une idée de mon identité qui variera suivant l’image que j’ai voulu donner (et suivant l’interprétation qu’ils en ont librement fait). Dans la société je n’ai donc pas d’identité unique, j’apparais différent selon les points de vu. En généralisant, on peut me classer dans des

Ce n’est pas inventer, ni créer, c’est uniquement récapituler des connaissances acquises dans le passé. Qu’entendons-nous par le mot « engagement » ? Quel sens pouvons nous lui donner ? L’engagement ne serait-il pas avant tout l’attitude d’un homme libre et de bonnes mœurs, qui prenant conscience du monde dans lequel il vit, renonce à en être un simple spectateur et met sa pensée, ses connaissances et toute son énergie au service d’une cause aux profits des hommes en particulier, de l’humanité en

s'affronter soi-même, remontent à l'enfance. Dans ce même ordre d’idée, Sartre ajoute qu'il est d'accord avec les propos de Freud à propos du refoulement. Il énonce que l'humain doit être conscient de ses problèmes sinon que fuirait-il? Par contre, il ne croit pas en la psychanalyse en général, car il considère que chaque homme est trop différent pour être analysable par une science. Cet homme a tellement des opinions claires, que par principe, il a refusé le prix Nobel. Il a déclaré : «Je ne vois pas pourquoi

soit entièrement établie et concrète, elle semble changer en fonction des individus, de leur perception d’eux-mêmes, du moment… Il s’agit donc de trouver un point commun à tous ces Moi pour pouvoir en déterminer son essence. Ce qui nous définit comme Homme est la capacité à faire preuve de raison, de raisonner. C’est donc le point de départ de la construction du Moi. Pour Descartes, c’est un vérité indubitable, même si je me trompe sur ce à quoi je pense il est impossible de nier que je pense : « Je

etc. Par la thèse freudienne, le « moi », c’est-à-dire la conscience de soi, n’est plus « maître en sa demeure » : on peut vouloir faire quelque chose et faire autre chose dans la mesure où des désirs inconscients influent sur l’action. Comme, selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos désirs inconscients, on peut donc dire que dans une certaine mesure l’inconscient nous décharge de la responsabilité. L’excuse de l’inconscient est aussi un argument fréquent dans la justice : on peut déresponsabiliser

de l’imagination à l’état de veille, une pensée qui cherche à échapper aux contraintes du réel. Quel peut alors être son rapport à la réalité ? Malgré les apparences, le rêve n’est peut-être pas si irréel. Le fait de rêver n’est-il pas réel ? Tout homme dort, donc chacun rêve, donc le rêve fait bien partie intégrante de notre réalité. Le rêve influence ensuite notre réalité tout comme notre réalité influence nos rêves : nous essayons bien d’expliquer la réalité par le rêve. Ils seraient donc à la