L Homme Est Il Un Monstre

hauteur de leurs aïeus : métaphore du chemin "suivre les pas qu'ils nous tracent" - la qualité d'"honnête homme" : idéal de l'époque - > comportement vertueux, altruisme d'un homme raisonnable et cultivé B) Déshonneur     Leçon de morale : à partir de la l. 180 en particulier, il rappelle à DJ son statut de gentilhomme. Son blâme devient plus virulent : il assimile DJ à un "monstre". C'est une métaphore très dévalorisante ; DJ s'exclut par son comportement de la société et du genre humain

plusieurs reprises, parle de l'homme comme d'un fou, d'un monstre qui ne se maîtrise pas toujours. Malraux sait que l'homme a un inconscient qu'il ne maîtrise pas. D'ailleurs Kyo a découvert une jalousie dont il ne se croyait incapable. Tout à l'heure sa volonté était d'embrasser sa femme, mais sa bouche s'y est refusé. L'homme est complexité et contradiction (Malraux aimait beaucoup la peinture de Goya, espagnol de la fin du XVIIIe, homme des Lumières obsédé par la cruauté humaine et la propension

d’innombrables observations célestes qui n’attendent que ce voyage pour dévoiler leur étrangeté apparente. Je vais assouvir mon ardente curiosité en explorant une partie du monde qui n’a jamais été visitée avant moi et peut-être fouler un sol où aucun homme n’a jamais marché. Tels sont mes émois et ils suffisent pour annihiler toute crainte du danger et de la mort, pour m’encourager à partir de l’avant avec détermination, ainsi qu’un enfant qui s’embarque sur un petit bateau avec ses camarades pour découvrir

d'innombrables observations célestes qui n'attendent que ce voyage pour dévoiler leur étrangeté apparente. Je vais assouvir mon ardente curiosité en explorant une partie du monde qui n'a jamais été visitée avant moi et peut-être fouler un sol où aucun homme n'a jamais marché. Tels sont mes émois et ils suffisent pour annihiler toute crainte du danger et de la mort, pour m'encourager à partir de l'avant avec détermination, ainsi qu'un enfant qui s'embarque sur un petit bateau avec ses camarades pour découvrir

« Après l'expérience de ce livre, je suspecterai tout homme qui désigne un ennemi. » « 8 octobre 1908 : Adolf Hitler recalé. Que se serait-il passé si l'Ecole des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement ? » Et si c'était un homme ? Voilà le parti pris de Schmidt : cesser de considérer le plus grand criminel de l'Histoire comme un monstre. Et pour cela, partir de ce qui aurait pu changer le cours de sa vie : l'entrée aux Beaux-Arts. Le livre se scinde en deux, dès le début. Il est partagé

Citations -Il n'y a pas de réconciliation sans mémoire. -La volonté d'oublier prolonge l'exil, et le secret de la délivrance s'appelle mémoire. -Un homme n'est réellement oublié que lorsque son nom l'est. -Mon devoir est une chose que je ne fais jamais, par principe. -La vie bonne est la vie qui accepte la mort, qui a vaincu les peurs, et qui est capable de vivre au présent. -Le sage est celui qui n'a plus peur de la mort et celui qui est capable de se réconcilier avec l'être.

Treves découvre un homme complètement défiguré et difforme, devenu une attraction de foire. John Merrick, " le monstre ", doit son nom de Elephant Man au terrible accident que subit sa mère. Alors enceinte de quelques mois, elle est renversée par un éléphant. Impressionné par de telles difformités, le Dr. Treves achète Merrick, l'arrachant ainsi à la violence de son propriétaire, et à l'humiliation quotidienne d'être mis en spectacle. Le chirurgien pense alors que " le monstre " est un idiot congénital

pensées : pensées comme états de conscience ou pensée comme représentations Comme état de conscience, elle sont propre à chacun (par exemple la pensée que l’on est triste) Comme représentation, elles peuvent être partagées. (par exemple un oiseau ou un homme qui marche), ici les pensées sont dites « intentionnelles » par ce quelle réfère a un objet (= contenu de pensée) Pour Lamarque deux pensées en tant que représentations sont identiques si elles ont le même contenu de pensée : ce qui veut dire qu’elles

de ce comportement "continuelles", "à toutes heures" et sur le nombre d'actions comises c) Leçon de morale : à partir de la l. 180 en particulier, il rappelle à DJ son statut de gentilhomme. Son blâme devient plus virulent : il assimile DJ à un "monstre". C'est une métapore très dévalorisante ; DJ s'exclut par son comportement de la société et du genre humain. Il a recours à des effets rhétoriques par des allitérations en "d" et des répétitions du préfixe "dé". Donc il y a progression dans la tirade

début du film, un drame survient lorsqu’un homme rentre en infraction chez le Docteur. Puis, il se rend compte que c’était un de ses anciens client nommé Vincent Gray. Ce jeune homme affirmait que le docteur n’avait pas résolus le problème qu’il a depuis son tout jeune âge. Alors, Il lui tire une balle dans le ventre de Malcolm avec rage et se suicida par la suite. À l’automne il rencontre un nouveau patient qui se nomme Cole, étrangement ce jeune homme à un problème qui ressemble celui de Vincent