L'Homme libre

fantasme de liberté totale sans lois. On peut parler d'une vie a l'etat de nature. cf Lucien Malson ( etude de Victor de l'Aveyron de Truffaut). " L'homme est un animal politique destiné a vivre en société" cf Aristote. L'etre humain ne peut grandir et se developper que s'il est en interaction avec autrui et s'il est eduqué. L'enfant sauvage = l'homme naturel. On decouvre dans les bois un enfant de 10ans, nu et ayant un comportement animal. 2 médecins s'interessent a lui, Pinel & Itard. Pour P

n'y a action que si les difficultés extérieures peuvent toujours être si élevées ou si neuves que l'invention humaine ne puisse pas les surmonter. Ainsi est-il toujours entendu à la fois que l'entreprise humaine a réussi à cause de la libre décision et de la libre inventivité qui a surmonté les obstacles et à la fois qu'elle a réussi parce que ce sont ces obstacles-là et non d'autres plus grands qui lui ont été imposés. Toute entreprise humaine réussit par hasard et en même temps réussit par l'initiative

imagination … ne pourrait jamais trouver l’occasion de recevoir dans la pensée le lourd cinabre avec la représentation de la couleur rouge. » (Critique de la Raison Pure, Analytique des concepts, chapitre II, 2e section). En résumé, pour que l’homme puisse, notamment par ses techniques, « se rendre comme maître et possesseur de la nature » (la formule est de Descartes), il faut supposer que la nature est soumise à un déterminisme (ou à une nécessité) absolu, qu’elle ne recèle aucun mystère, aucun

Plan : I.Lien entre désirs et liberté L’homme est un être qui existe L’homme est capable de penser : voir au delà et en deçà de soi les choses sont déterminées alors que nous sommes capables d’autodétermination L’homme est libre l’homme est animé par des désirs inassouvis le désir est infini le désir a différentes intensités l’homme aspire au bonheur et "le bonheur est un idéal de l’imagination"kant le désir ne dépend pas de nous : c’est l’imagination qui nourrit le désir le désir

description de cette île A. Une société organisée et volontariste B. L’homme au centre de ce projet (éducation, travail, loisir) C. Vision en contraste des vices de la société de son temps II. Les limites de ce projet de société : La liberté caution de cette utopie A. Une organisation paradoxalement trop rigide B. Une société avec des clivages sociaux apparents C. Absence de conscience des individualités, la société avant l’homme, manichéenne la paresse, idéal d’un Homme) (mépris pour I. Un projet

vécu comme une contrainte voire comme une nécessité, et la liberté comme pouvoir d’agir selon le libre-arbitre. Ce qu’il faut découvrir ici, ce sont précisément les rapports qui président entre les deux notions. Il va donc falloir chercher à penser la relation entre travail et liberté en dépassant le sens commun qui rattache le travail à une nécessité, et en fait donc le contraire d’une action libre. → Il va donc s’agir de penser dialectiquement travail et liberté afin de dépasser un simple rapport

 Sujet :La conscience hisse-t-elle l'homme au dessus des autres animaux ? Ce sujet a plusieurs réponses car on peut considérais que seule les hommes ont une conscience et que les animaux n'ont non pas ou que les hommes et les animaux ont une consciences. Moi je part du principe que les animaux ont eux aussi une consciences. Le sujet nous pose la question est ce que la conscience de l'homme l'hisse au dessus des autres animaux ? Pour traiter ce sujet nous devons définir la conscience.

ET LA JUSTICE : Définitions : a. LOI : la règle du droit ; LE DROIT : l’ensemble des lois DROITS POSITIFS | DROITS NATURELS | « Posées » (instituées) par les hommes | Attachés à la nature humaine ; innés | Droits des Etats | Droits de l’Homme | Variables selon l’espace et le temps | Invariables : universels | b. JUSTICE * Sens 1 : est juste ce qui est conforme au droit (positif ou naturel) ; d’où la distinction : * Juste = légal : conforme à la loi de l’Etat * Juste

fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous sesdésirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts

de l’opinion. ** Mais en réalité sur un plan individuel, l’information est nécessaire à l’être humain et sa réflexion. L’homme a besoin de se sentir informé sur les événements du monde afin de positionner son point de vue. Ce qui lui permet une approche collective voire universelle des évènements. Et bien sur l’enrichissement de la connaissance de l’homme par l’homme. Il provoque une ouverture d’esprit, une tolérance vis-à-vis d’autrui. Exemple concret de la catastrophe de Tchernobyl. On avait