L'Homme qui plantait des arbres

Doc1 : J. Brosse, Mythologie des arbres | Doc 2 : A. Quartier, " approche de l'arbre ", Guide des arbres et des arbustes d'Europe | Doc. 3 J. Alia, " Massacre au fond des bois ", Le Nouvel Observateur, | Doc 4 : J. Giono, L'homme qui plantait des arbres | Doc 5 : Ouest-France 4 octobre 2001 | *destin des arbres lié à celui des hommes.P.1 mais refus d'une prise de conscience . | * symboles de droiture, de pérennité, de fidélité, de serments durables = valeurs humaines et sociales importantes

essentiel à la fertilité de la terre. Les forêts ont un caractère culturel, spirituel et ludique. Dans certains cas, elles font partie intégrale de la culture et de la tradition des peuples indigènes et sociétés traditionnelles. Les forêts et les arbres revêtent une importance symbolique dans la plupart des religions. L’arbre symbolise la continuité historique, relie la terre aux cieux et, dans certaines traditions, abrite l’âme des ancêtres ainsi que les « bons » et « mauvais » esprits.Dans les

Jean Giono, L’homme qui plantait des arbres1-Jean Giono :Jean Giono est né en 1895 à Manosque (Alpes de Haute Provence). Obligé de travailler pour les besoins de la famille, il quitte l’école en classe de seconde pour devenir employé de banque. Il ne cesse pourtant de se cultiver et de lire passionnément. Dès 1911, il commence à écrire. Mobilisé durant la Première Guerre mondiale, il en sort traumatisé et viscéralement pacifiste. Son premier livre La Colline paraît en 1929 ,il se consacre entièrement

NOTE DE SYNTHESE THEME : Le rôle des arbres dans la société. Le rôle des arbres dans l'équilibre vital est reconnu depuis les temps immémoriaux. En témoignent les quelques documents rédigés par divers spécialistes parmi lesquels Jacques Brosse. Dans sa Mythologie des Arbres parue en 1993 aux éditions Payot et dédiée à un public généraliste, l'auteur présente les liens sacrés qui unissent ancestralement l'homme à l'arbre, tout comme le faisait vingt ans plus tôt Archibald Quartier dans un chapitre

• Un roi sans divertissement (1947) • Noé (1948) • Les âmes fortes (1949) • Mort d'un personnage (1949) • Les grands chemins (1951) • Le Hussard sur le toit (1951) • Le moulin de Pologne (1952) • L'Homme qui plantait des arbres (1953) • Le bonheur fou (1957) • Angelo (1958) • Deux cavaliers de l'orage (1965 pour la version définitive) • L'Iris de Suse (1970)

divertissement, Noé, Fragments d'un paradis, Virgile, Le Grand théâtre. Angelo, Mort d'un personnage, Le Hussard sur le toit, Le Bonheur fou. Les Récits de la demi-brigade, Les Âmes fortes, Les Grands chemins, Le Moulin de Pologne, L'homme qui plantait des arbres, Une aventure ou La foudre et le sommet, Hortense, Le petit garçon qui avait envie d'espace. Deux cavaliers de l'Orage, Le Déserteur, Ennemonde et autres caractères, L'Iris de Suse, Dragoon, Olympe, Coeur, passions, caractères. 28°)

lecture permet de s'enrichir mais ne bloque pas non plus la pensée d'un peuple et n’empêche pas de réfléchir. Dans l'homme qui plantait des arbres de Giono, le vieillard agit librement sans avoir accès aux livres et il est même d'une grande intelligence car grâce à lui toute une forêt va naître et une nature va renaître, il ne lit pas de livre puisqu'il passe son temps à planter des arbres et travailler ses graines. La censure et le fait de ne pas avoir accès à la lecture nous montrent que ce n'est pas

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Aliocha * J.Vallès, L'Enfant ** Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels ** E.Zola, Au bonheur des dames **; Nana **; L'Assommoir ** ; Germinal.*** Récits d' aventure : Cendrars, L'Or ** J.Giono, Le Hussard sur le toit *** ; Regain* ; L'Homme qui plantait des arbres * Enquêtes policières : H.Balzac, Une ténébreuse affaire **; Ferragus ** A Christie, Le Meurtre de Roger Ackroyd ** Daphné Du Maurier, Rebecca ** ; L'Auberge de la Jamaïque ** E.A Poe, La Lettre volée * Fred Vargas, Pars vite et reviens

La forêt Forêt silencieuse, aimable solitude, Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude ! Prestiges de mon coeur ! je crois voir s'exhaler Des arbres, des gazons une douce tristesse : Cette onde que j'entends murmure avec mollesse, Et dans le fond des bois semble encor m'appeler. Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière Ici, loin des humains !... Au bruit de ces ruisseaux, Sur