L Homme Qui Vivait Sous Terre

Ainsi Dédale confond tous les sentiers du labyrinthe. À peine lui-même il peut en retrouver l'issue, tant sont merveilleux et son ouvrage et son art ! Enfermé dans le labyrinthe, le monstre, moitié homme et moitié taureau, s'était engraissé deux fois du sang athénien. Après neuf ans, il tomba sous les coups du héros que le sort d'un troisième tribut condamnait à être dévoré. Thésée, à l'aide du fil d'Ariane, revient à la porte du labyrinthe qu'avant lui nul autre n'avait pu retrouver. Soudain,

château du marquis de Bertrans, pour rafistoler les chaises. Enfant, elle était solitaire, pauvre «Elle n'a jamais eu de logis planté en terre.»et mal aimée «la voix du père en colère la rappelait, c'étaient les seuls mots de tendresse qu'elle entendait.». Un jour, en passant devant un cimetière, elle donne, par compassion, tout son argent, soit sept sous, au petit Chouquet qui pleure. En échange de sa générosité, elle s'approprie le droit de l'embrasser. C'est son premier baiser! Le manège

Hugo - Notre Dame de Paris Nous n'essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre, de cette bouche en fer à cheval, de ce petit oeil gauche obstrué d'un sourcil roux en broussailles, tands que l'oeil droit disparaissait entièrement sous une énorme verrue; de ces dents désordonnées, ébréchées çà et là, comme des créneaux d'une forteresse; de ette lèvre colleuse, sur laquelle une de ces dents empiétait comme la défense d'un éléphant, de ce menton fourchu; et surtout de la physionomie

L’amour interdit Aicha était une fille très intelligente, elle était aimée de tous. Elle vivait à Dakar avec ses parents qui étaient très sévères avec elle. Elle était sérieuse, le rêve de tous les parents. Mais un jour un événement bouscula sa vie. Aicha étant rentrée de l’école, vit un monsieur qui avait l’air si joyeux de l’a voir. Il était plutôt arrondis avec des yeux qui eux n’avait pas l’air si joyeux que ça, son nez était pointu et sa peau rappelée la nuit sombre et obscure. Il s’approcha

absolu, celui dont il jouirait s'il pouvait entrer en possession de la Lampe merveilleuse que détenaient de fabuleux génies. Le Magicien vivait en Afrique avec, pour seuls compagnons, le hibou Hou Hou et une boule magique qui lui permettait d'interroger les génies. Ainsi finit-il par apprendre que la Lampe merveilleuse était cachée en Asie au sein de la terre, et que seule une main innocente, une main d'enfant, pourrait s'en emparer. Le Magicien se mit en route. Après bien des aventures, il parvint

 Ce passage constitue le dénouement du roman. Le Père Goriot est mort sans avoir pu revoir ses filles et Eugène de Rastignac assiste, seul, à l'enterrement. La mort du Père Goriot coïncide avec la mort du jeune homme qu'était Rastignac et s'accompagne de sa révolte. «À nous deux maintenant!» Cependant, au moment où le corps fut placé dans le corbillard, deux voitures armoriées1, mais vides, celle du comte de Restaud et celle du baron de Nucingen, se présentèrent et suivirent le convoi jusqu'au

L'hydre de Lerne Présentation de l'hydre de Lerne : L'hydre de Lerne est une créature de la mythologie grecque antique. Ce monstre est né de l'union de Typhon (fils de Tartare et de Gaïa, mi homme mi fauve) et Echidna (femme serpent) qui sont aussi les parents de Cerbère (chien à trois têtes et gardien des Enfers). Elevé par Héra (déesse du mariage et épouse de Zeus) près de la source Amymoné et du lac de Lerne, en Argolide, l'hydre est un serpent d'eau à corps de chien, possédant cinq à neuf

Angoualima comme modele est tous simplement le besoin de retrouver son identitè et de se expliquer et comprendre le monde, la sociétè où il est nait, la meme societe qu'il deteste et que “ elle ne me comprenait pas “. Angoulima en fait represente un homme qui, né sans rien, est reussi à devenir meme plus connu que le president ( comme nous raconte Gregoire pg 64 ) qui se moque de la police ( “ angoualime envoya a tous les commisiarats et au prefet une lettre humiliante dans laquelle il disait de ne

LA LÉGENDE DU COCOTIER Dans le district de Tererauta vivait, il y a bien longtemps, une jeune fille dont la beauté faisait l’orgueil de ses parents. Ses yeux noirs, les lignes harmonieuses de son corps brun, la souplesse de sa taille, et surtout la soie de ses longs cheveux la rendaient la plus jolie fille de nos îles. Quand elle atteignit l’âge de seize ans, son père, qui était le chef du district, résolut de la marier... Il se mit à chercher un époux digne de sa fille. Quand le jour de ses

possible. Dans cet univers, aucune loi, aucune règle pas | | |même une morale. La vie comme on se l'imagine | |nous être humain n'existait pas mais allait pourtant bon train, sous différents signes et symboles. Au départ il y avait | |l'univers. La vie? Le mouvement intemporel, incessant, mystérieux. | Cet univers était heureux. Simple, immatériel, spirituel