L'Humanité

Après des études de droit et de littérature Léon Blum est nommé, en 1895, auditeur au Conseil d'Etat où il fait une carrière de 25 ans. En 1902, il adhère au Parti socialiste français de Jean Jaurès en 1902 puis participe à la fondation de "L'Humanité" à partir de 1904. De 1914 à 1917, il est chef de cabinet auprès du ministre socialiste des Travaux publics, Marcel Sembat. Léon Blum est élu député de 1919 à 1928 puis de 1929 à 1940. En 1920, au congrès de Tours, lors de la scission avec les communistes

personnes ce qui évitait de publier le poème et d’éviter le censure. Le 5 mars 1955, à l’occasion de l’inauguration d’une rue qui s’appelle « groupe Manouchian » à Paris, il écrit le poème « strophes pour ce souvenir »qui est publié dans le journal l’humanité avant d’être insérée dans son recueil poétique Le roman inachevée, l’année suivante. II-Etude du poème Comme l’indique son titre, ce poème honore la mémoire de ceux qui sont morts pour la liberté et pour commémorer le combat des résistants du

En 1928, il rencontre Elsa Triolet, femme écrivain d'origine russe, qui sera l'amour de sa vie et qui lui inspirera de nombreux poèmes. Membre du PCF, Louis Aragon s'engage aux côtés des communistes. Aragon, le politique - Le journaliste À L’Humanité (1933) Louis Aragon adhère au Parti communiste français en janvier 1927. Contrairement à la plupart de ses amis surréalistes qui s'en détachent les années suivantes, il reste fidèle à cet engagement jusqu'à sa mort. (Il ne devient critique à

souhaitant s’informer, a la possibilité de le faire en choisissant le journal souhaité en fonction de sa propre sensibilité politique. A titre d’exemple, nous savons tous que le Figaro est plutôt de droite, tandis que, Libération, ou bien encore l’Humanité sont des journaux de gauche. Il suffit juste de regarder les titres de presse au lendemain du débat d’entre deux tours du 2 mai 2012 entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. Libération prenait clairement position pour le candidat socialiste

de fers 
Que chantent les lendemains Il chantait lui sous les balles 
Des mots sanglant est levé
 D'une seconde rafale 
Il a fallu l'achever Une autre chanson française
 A ses lèvres est montée 
Finissant la Marseillaise 
Pour toute l'humanité 

Aragon COMMENTAIRE : Sous l'identité de Jacques d'Estaing, Louis Aragon publia ce poème le 14 juillet 1943, dans l'Honneur des Poètes. En hommage à Gabriel Péri, résistant Français, la ballade de celui qui chanta dans les supplices

Aragon est un homme engagé, prêchant le communisme. Il fut fidèle aux idées Staliniennes et un communiste convaincu jusque sa mort. Il fut aussi un résistant pendant la Seconde Guerre Mondiale mais a proné la paix. Il fut journaliste aux journaux L'Humanité et Commune. Il fut directeur des journaux Ce Soir et Les Lettres Françaises. Il est aussi éditeur en étant directeur de la maison d'édition les Editeurs Français Réunis. Maintenant, parlons de l'oeuvre : elle est composé de 7 strophes dont 1 parlant

liberté au rythme même des saisons et des marées, du jour et de la nuit. Louis Aragon : Ballade de celui qui chanta dans les supplices Ce poème rend hommage à Gabriel Péri, membre du Comité central du parti communiste français et journaliste à l’Humanité, héros de la résistance qui fut arrêté et fusillé par les Allemands le 15 décembre 1941. Louis Aragon utilise très librement la forme de la ballade, en faisant alterner couplets et refrain. Et s'il était à refaire Je referais ce chemin Une

militante, il se consacre à l'écriture de romans en revenant à un style plus classique et en les orientant vers la critique sociale : les Cloches de Bâle (1934), les Beaux Quartiers (1936), les Voyageurs de l'Impériale (1942). Il est journaliste à l'Humanité et, en 1937, il crée le journal "Ce soir" à la demande des instances du PCF. En 1939, il épouse Elsa Triolet. Pendant la Seconde guerre mondiale, Louis Aragon participe à la Résistance. Il s'engage aussi par ses poèmes comme "Les Yeux d'Elsa"

et ses valeurs : liberté, fraternité, innocence, confiance, etc. Gabriel Péri : homme politique français (Toulon, 1942 – Paris, 1941) Secrétaire général des jeunesses communistes, il fut rédacteur au journal Clarté (de Barbusse) et entra à l’Humanité (1924) où il s’occupa du service de politique étrangère.Membre du comité central du PC français (1929), élu député en 1932, il anima les Cahiers clandestins u parti sous l’occupation. Livré aux Allemands, il fut fusillé avec d’autres otages, au

discours lors des obsèques de Jean Jaurès l'un des plus grand membre de la CGT et entre autre défenseur de Dreyfus durant l'affaire. Le 29 juillet 1914, alors que la tension internationale grandit et que la marche vers la guerre a commencé, l'humanité publie un manifeste de la CGT qui prend clairement position contre la guerre européenne qui se prépare. Il est dit clairement dans cet extrait que « la guerre européenne peut, doit être évitée ». Le comité confédéral affirme même que «  la protestation