L Hypocrisie De Valmont Et De Merteuil

évocation est tout à la fois de ramener le « fin » amant à la réalité de ces obstacles sociaux l’engageant à réfréner son impatience et de lui permettre de se convaincre de la fidélité de sa dame («... en qui personne ne peut relever la moindre hypocrisie ») dont il peut ici affirmer, sans risque, être le seul élu de son cœur (« ... nous en avons la pièce et le couteau. »). L’évocation du secret qui les unit pardelà la distance rapproche le « fin » amant de sa dame et le console des tourments qu’il

où il fallait être, et à quelle heure. L'argent de poche parental ne couvrant plus ce train, il vendit ses connaissances aux journaux. Ainsi, pendant que les invités se saoulaient, il pouvait se justifier : sa présence parmi eux était rétribuée. Hypocrisie confortable : attention, une pantomime peut en cacher une autre. S'il est possible que la vie soit une fête, Marc a toujours eu du mal à croire que la fête puisse convenablement remplir une vie. Comme on va le voir, il ne se trompait qu'à moitié

précisément à ce dernier qu’il est en train de débiter ces mensonges. Après un portrait en actes, ou plutôt en paroles, une chute savoureuse vient, mieux qu’une morale, condamner le piètre menteur. Le poème de Verlaine pointe, quant à lui, les hypocrisies sociales et la comédie humaine, à travers la description ironiquement riante d’un enterrement. Fossoyeur, prêtre, croque-morts et enfants de chœur font l’objet d’une satire mordante, qui passe par un art subtil du détail. Ainsi, le prêtre prie «

séduite par un libertin. va être séduit aussi par une femme. La Marquise de Merteuil elle a le pouvoir de manipuler toutes les personnes du roman. Ce personnage introduit une grande nouveauté car il va faire de la femme un personnage actif, important. Elle est autodidacte, va apprendre par elle-même et va faire de sa masque, sa force. Tout le monde pense qu’elle est un ange, et elle est un démon. Monsieur de Valmont un libertin. Bourgeois 3.5. Le Drame Bourgeois C’est une tendance du

la « galanterie ». Cette vision du monde, héritée de sa mère, présente l’amour comme un piège et les hommes comme étant peu dignes de confiance. L’extrait des Liaisons dangereuses, pages 82-83, montre le système « moral » de la Marquise de Merteuil. Elle s’impose un certain nombre de règles très rigides, destinées à faire d’elle une parfaite libertine : « Cette utile curiosité, en servant à m’instruire, m’apprit encore à dissimuler » (l. 6-7) ; « je me suis travaillée » (l. 14), etc. La

la « galanterie ». Cette vision du monde, héritée de sa mère, présente l’amour comme un piège et les hommes comme étant peu dignes de confiance. L’extrait des Liaisons dangereuses, pages 82-83, montre le système « moral » de la Marquise de Merteuil. Elle s’impose un certain nombre de règles très rigides, destinées à faire d’elle une parfaite libertine : « Cette utile curiosité, en servant à m’instruire, m’apprit encore à dissimuler » (l. 6-7) ; « je me suis travaillée » (l. 14), etc. La

vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil qui ont été amants se lancent des défis de séduction : Valmont doit s’emparer du coeur et du corps d’une femme mûre, prude et dévote – la présidente de Tourvel -, et des mêmes éléments chez une jeune fille de quinze ans – Cécile de Volanges – qui doit épouser Gercourt, ancien amant de la marquise. Les plans vont aboutir au prix de mille mensonges et trahisons : la présidente de Tourvel, si prude, si fidèle soit-elle, tombe dans les bras de Valmont. Cécile

vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil qui ont été amants se lancent des défis de séduction : Valmont doit s’emparer du cœur et du corps d’une femme mûre, prude et dévote – la présidente de Tourvel -, et des mêmes éléments chez une jeune fille de quinze ans – Cécile de Volanges – qui doit épouser Gercourt, ancien amant de la marquise. Les plans vont aboutir au prix de mille mensonges et trahisons : la présidente de Tourvel, si prude, si fidèle soit-elle, tombe dans les bras de Valmont. Cécile

below stairs. 190 THE AGE OF ENLIGHTENMENT Laclos Les Liaisons dangereuses (1782), the only novel of Choderlos de Laclos (1741–1803), has been interpreted in many ways. When it was published, its author was identified with the cynicism of Valmont, and Laclos’s life and personality are still invoked to explain a book which has so many levels and facets that it yields no single meaning. Is it a neutral picture of manners based, perhaps, on real letters which may yet be discovered? An indictment