L Hypocrisie De Valmont Et De Merteuil

justification du titre Tourvel dit de Valmont qu’il est « un exemple de plus du danger des liaisons »/ Mise en garde de Volanges à Tourvel « Quand il ne serait comme vous le dites qu’un exemple du danger des liaisons, en serait-il lui-même une liaison dangereuse »/ Fin du roman Volanges, dupée par Merteuil, avoue à Rosemonde « Qui ne pourrait pas frémir en songeant au malheur que peut causer une seule liaison dangereuse. ») 1) le danger du libertinage a) Valmont b) femmes en danger

mariée à un certain Gercourt, par sa mère dévouée qui la surveille étroitement. Or la marquise de Merteuil, libertine masquée en jeune veuve respectable, parente de Mme de Volanges, apprenant ce projet de mariage, décide de se venger de Gercourt, ancien amant qui l’a quittée pour une autre femme. Pour cela, comme elle échange une correspondance scandaleuse avec son ami et ancien amant, le vicomte de Valmont, un libertin riche, beau, charmant, plein d’esprit, mais impitoyable et éhonté, vivant dans l’oisiveté

portrait d’une libertine - Adaptation de sa stratégie au fur et à mesure des capacités de Valmont… - C’est une femme intelligente - Volonté de puissance - Une conception de l’amour typique des libertins - C’est une femme perfide - Elle a compris les sentiments de Valmont et les réutilise à son avantage 81. La marquise de Merteuil au vicomte de Valmont : La marquise s'indigne des réflexions du vicomte sur sa conduite. Elle l'accuse de ne pas savoir

un autoportrait autobiographie de La Marquise de Merteuil (MDM)et une profession de foie libertine . L'extrait que nous allons étudier, constitue le début du portrait autobiographie , l'enfance ou la fin de l'enfance de la MDM , la naissance du personnage de la libertine Plan I.La création d'un masque II.Puissance et faiblesse de l’héroïne III.Une condamnation indirect PB possible : En quoi cette page , confère t-elle a Mme de Merteuil le statue d’héroïne ? Héros  Personnage autour

critiqué par la société de l’époque, très puritaine. Les deux personnages principaux sont la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, anciens amants complices qui se sont alliés, l’un pour reconquérir une femme prude, Mme de Tourvel, l’autre pour se venger d’un ancien amant, Gercourt. Dans cette lettre, la marquise révèle a Valmont ses secrets, son art de la manipulation et son hypocrisie. Comment cette lettre représente-t-elle une véritable confession de la marquise ? Dans un premier temps

Cette fin de siècle place donc les héros au cœur du libertinage de mœurs. Dans la lettre 9, Madame de Volanges, évoque les deux protagonistes d’un combat inégal : Madame de Tourvel, modèle de vertu et le Vicomte de Valmont, libertin notoire. Tout en dressant un tableau très noir de Valmont, Madame de Volanges cherche à mettre en garde son amie : la présidente de Tourvel. Au-delà du portrait d’un libertin, c’est tout l’art de convaincre qui transparaît dans cette réponse inquiète d’une amie qui tente

| | | |Lettre 141 M envoie à V la lettre « ce n’est pas ma faute » | | |5. son hypocrisie sociale, son rôle d’actrice |Lettre 81 « Alors je commençai à déployer sur le grand Théâtre les talents que je m’étais donnés » | | | |« je m’amusais à me montrer sous des formes différentes »

s’inscrit dans le courant du libertinage de mœurs. Ce roman épistolaire raconte l’histoire de deux héros libertins, le Vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil. Tout au long de l’œuvre, les deux personnages qui ont été amants dans le passé s’envoient des lettres pour se raconter leurs exploits de conquête. Ce texte est la lettre 40, écrite par le Vicomte de Valmont sur le dos de ses maîtresses qui est Emilie, il s’adresse à Madame de Tourvel pour lui exprimer ses sentiments. Nous verrons dans

un auteur du siècle des lumières mais nous verrons dans cette analyse que ce roman s’inscrit dans le courant libertins.LectureSituer le passage · Le texte se situe dans la lettre numéro 81, dans cet extrait la marquise de Merteuil, une manipulatrice

tranquilles et obéissantes. Les hommes préfèrent comme épouses les femmes avec cette sorte d’éducation, comme on peut le voir dans la lettre II de Mme de Merteuil où elle écrit que le Comte de Gercourt « préfère les filles avec une éducation cloîtrée ». De l’éducation de Cécile au couvent on trouve seulement la harpe, le dessin, le chant. Selon Mme de Merteuil, elle est jolie, gauche, nullement maniérée. Elle n’est pas habituée à l’attention des autres, surtout des hommes. Elle sait également que « Demoiselle