L Hypocrisie De Valmont Et De Merteuil

de Merteuil»· Date : 1782· Mouvement littéraire : roman épistolaire/psychologique· Thèmes principaux : Affirmation d’une singularité, opposition avec une société aux opinions stéréotypées· Mouvements :· Critique de la condition de la♀+ singularité MdM (Mais moi…inaction)· Apprentissage de la maîtrise de soi + manipulation (j’ai su en profiter… inattendu)· Un sentiment de supériorité et une ambition (C’est ainsi…acquérir)· Visée : mettre en avant les moyens utilisés par la Marquise de Merteuil pour

*********************************************************************************************** Explication N°5 : Les Liaisons Dangereuses, lettre 81, Choderlos de Laclos Intro : Dans les Liaisons dangereuses, un roman épistolaire, deux libertins aguerris, la Marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, se flattent de leurs exploits amoureux, sur fond de défi et de séduction. Or, le libertinage de mœurs est ici assorti d’un libertinage d’esprit : la marquise se distingue et porte un regard critique sur son temps. LECTURE Questionnement

de l'hypocrisie, et le double inverse et jouisseur du personnage classique : le conflit, éthique, devient social et moral: le héros , en paix avec lui-même, recherche son plaisir en luttant secrètement contre le monde. Exemple de Madame de Merteuil, de Valmont, des personnages de Sade... III : Le héros moderne et contemporain: un personnage qui porte l'histoire de tous les autres personnages. A : Le personnage romantique : Très souvent déçu, déchu, ou tout au moins réfléchissant les bouleversements

les gens les corrigent. Satire sociale : Texte humoristique qui attaque la société, il y a un but moral à cette satire. 5.2.1.2 Acte II, scène 4 L’aspect comique de cette scène réside en plusieurs choses : * Le comique de caractère : Hypocrisie de Dom Juan et Sganarelle * Le séducteur pris à son propre piège * Les deux jeunes filles sont totalement naïve et agressives entre elles . * Comique verbal jouant sur la répétition. Dom Juan dis exactement la même chose à une formulation

tendresse. J’ai reçu vos serments de vivre toujours pour moi. Ah ! recevez le mien de consacrer ma vie entière à votre bonheur ; recevez-le, et soyez sûre que je ne le trahirai pas. Quelle heureuse journée nous avons passée hier ! Ah ! pourquoi Madame de Merteuil n’a-t-elle pas tous les jours des secrets à dire à votre Maman ? pourquoi faut-il que l’idée de la contrainte qui nous attend vienne se mêler au souvenir délicieux qui m’occupe ? pourquoi ne puis-je sans cesse tenir cette jolie main qui m’a écrit

lecture + rappel de la question + annonce du plan. I. Genre, registre, énonciation ➊➋ 62 II. Fonction dramatique de l'exposition* ➌ III. Cette tirade fait découvrir le personnage : son utilisation perverse du langage, sa perversité, son hypocrisie manipulatrice… ➐ Conclusion – [Après avoir résumé le développement :] Dès le début de la pièce, une plongée dans le mal et le malsain. Mais c'est en même temps passionnant et fascinant… DES PISTES POUR L'ENTRETIEN Voir aussi p. 00. Qu'est-ce

certaine dignité. Mais cette dignité apparente ne cache en fait que cruauté et duplicité. Le Lion n’avoue ses crimes et sa violence que pour mieux inviter chacun à faire de même : les vers 30 et 31 reposent sur un renversement, révélateur de son hypocrisie et de ses talents de comédien. Le regard du moraliste montre donc un roi corrompu par l’exercice du pouvoir abusif. Au travers du Renard, c’est ensuite à un vice de courtisan que s’attaque le fabuliste : il s’agit de dénoncer les excès de vile flatterie

donc un objet ambivalent, qui montre et voile à la fois. Pour Jung, chaque individu constitue une persona, qui est le masque qu’il porte pour paraître en société ; mais attention : il ne s’agit pas du tout pour Jung de faire la critique d’une hypocrisie sociale, qui ferait de la persona un mensonge voilant la véritable identité. La persona n’est pas mensongère, elle est partielle, ce qui est très différent. Pour Jung, la persona répond une nécessité sociale, celle qui demande à chaque individu

qu’il martèle, confondue avec l’utilité sociale, et la pointe finale semble bien appeler de ses vœux l’établissement d’une justice plus humaine. 44 LACLOS, LES LIAISONS DANGEREUSES, LETTRE CL LETTRE CL Le Chevalier Danceny à la Marquise de Merteuil En attendant le plaisir de te voir, je me livre, ma tendre amie, au plaisir de t’écrire ; et c’est en m’occupant de toi, que je charme le regret d’en être éloigné. Te tracer mes sentiments, me rappeler les tiens, est pour mon cœur une vraie jouissance

l’on sait être bon ou vrai. Cette intelligence du mal peut être appelée perversité, le pervers, selon la psychanalyse, étant celui qui, connaissant la loi, prend un certain plaisir à la transgresser, sans d’ailleurs se faire prendre. La marquise de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses ou Thérèse dans Les Âmes fortes –le cas étant toutefois plus problématique –en constituent de bons exemples. Le mal moral coïncide ainsi avec l’intention mauvaise beaucoup plus qu’avec l’acte mauvais : une bonne action