L Illusion Naturaliste

Zola et ses carnets [ il préparait toujours ses romans par de minutieuses recherches faites en bibliothèque dans des ouvrages spécialisés ou sur le terrain ; ses Carnet d'enquête ou de notes sont de précieux outils pour comprendre comment le naturaliste qu'était Zola tentait au mieux de rendre le "réel"] ; Victor Hugo et ses feuillets [il écrivait ses poèmes sur de grandes feuilles de papier, qu'il pliait en 2  dans la moitié gauche figurait le premier jet du poème ; puis dans la partie droite

1848) - Stendhal, Le rouge et le noir (1830) - Flaubert, Madame Bovary (1857) - Maupassant, Une vie (1883) Le naturalisme Epoque : Seconde moitié du XIXème siècle Principes : S’appuyant sur les découvertes de la science, les écrivains naturalistes transposent dans le roman les lois de l’hérédité et du milieu sur les individus. Ils s’inscrivent dans la continuation du courant réaliste pour représenter la société de leur temps. Objectifs : - montrer la transmission héréditaire d’une fatalité

cette dominante éristique reflète, quant à elle, un bouleversement qui outrepasse le champ étroit de la connaissance. Car en découvrant qu'ils sont relativement responsables de leur devenir historique et politique et en développant une approche naturaliste et déterministe de la maladie, les Grecs ont par-là même pris conscience que tout n'est pas forcément soumis à la fatalité et qu'ils ne sont pas totalement prisonniers du destin. Or, cette découverte, qui n'est autre que celle de la liberté, constituera

succès du roman au XIXème siècle traduit l'importance nouvelle de ceux qui y sont représentés et dont la vie et les senti ments deviennent inspirateurs et intéressants : les bourgeois, les paysans, les ouvriers. Ex : Les Misérables de V. Hugo, Les Illusions perdues de Balzac, Germinal de Zola, etc. montrent l'intérêt suscité par la vie des personnages issus du peuple. 2. La société, contexte romanesque Quelle qu'en soit l'époque, le roman raconte une histoire fictive qui se déroule dans un contexte

Président exerce une sorte de magistrature d’influence. Il est l’incarnation du pvr d’Etat (Georges Burdeau), plmt incarne pouvoir démocratique. Cette magistrature d’influence que le constituant originaire a voulu créer dans le texte va devenir une illusion, une chimère car en raison de l’élection du président au suffrage universel (62 par la révision de la C°), ce président aura une légitimité démocratique tellement grande qu’il transgressera sans aucun pb les périmètres de cette fct arbitrale. Il

principal - Par son CADRE ECUME DES JOURS - Par la réflexion qu'il apporte ET SON INTRIGUE LES ANIMAUX DENATURES Le roman, écrit en vers au Moyen âge, puis en prose dès le XIV, est une oeuvre qui s'attache a créer un univers donnant au lecteur une illusion de réel. Les romanciers ont donc rendu vraisemblable leurs personnages, par le portrait ou leurs actions. Créant héros qui porte de bonnes valeurs ou un anti-héros qui porte de mauvaises. Les héros peuvent être purement fictifs, ou directement inspiré

Chabert » en 1844) sont des chefs d'œuvre salués pour la finesse de l'introspection sociologique. Le roman réaliste ou naturaliste observe avec minutie la réalité sociale, il raconte avec une écriture plus ou moins sèche, plus ou moins  flamboyante, des destinées banales. Dans « L'Assommoir », Zola brosse le portrait sans fard des faubourgs ouvriers de Paris où viennent s'échouer les illusions de Gervaise Macquart, Auguste Lantier etCoupeau. Les grandes fresques zoliennes (« Germinal », « Nana », « Au Bonheur

Tous ceux auxquels l’auteur s’est visiblement attaché sont des révoltés (Calyste du Guénic dans Béatrix, Lucien de Rubempré dans Illusions perdues), des hors-la-loi (Vautrin, Henri de Marsay dans Histoire des Treize), ou des bolides humains qui traversent avec violence les étages de la hiérarchie sociale (Eugène de Rastignac, Coralie ou Esther Gobseck dans Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes, Birotteau dans César Birotteau, le musicien extravagant Gambara, la femme « emmurée »

et devient pour lui une sorte de mentor littéraire, guidant ses débuts dans le journalisme et la littérature. Chez Flaubert, il rencontre le romancier russe Ivan Tourgueniev et Émile Zola, ainsi que de nombreux écrivains appartenant aux écoles naturalistes et réalistes. Il écrit beaucoup de vers et de courtes pièces. Il commence aussi à fournir des articles à plusieurs journaux importants comme Le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et L’Écho de Paris, puis consacre ses loisirs à l’écriture de romans

déterminés par la façon dont il est présenté, évalué et mis en scène par le narrateur. * L’effet personnage : Un personnage peut se présenter comme un instrument textuel (au service du projet que s’est fixé l’auteur dans un roman particulier), une illusion de personne (suscitant, chez le lecteur, des réactions affectives, ou un prétexte à l’apparition de telle ou telle scène (qui, sollicitant l’inconscient, autorise un investissement fantasmatique). On nommera respectivement ces trois dimensions :