L Impact Du Bale 2 Sur La Banque Au Maroc

Gérald Pasquier, Avocat, Luxembourg. Isabelle Riassetto, Professeur des Universités, Université du Luxembourg. Ibrahim Wardé, Professeur associé, Fletcher School of Law and Diplomacy, Tufts University, Medfor, Massachusetts, États-Unis d’Amérique. 2 Éditorial Nouveau diplôme et nouveau dossier pour entamer cette année 2013 qui commence. L’Executive MBA en Finance islamique a en effet vu le jour et compte, depuis janvier, sa première promotion1. Parallèlement, dans la continuité de nos activités

début du XIXe siècle, a augmenté de façon constante et atteint aujourd’hui un peu moins de 20 fois (voir le tableau 4.1). La seule exception à cette tendance a été la période 1950-1973, où ce différentiel a légèrement fléchi (Maddison, 1995 et 2001).2 D’une manière générale, les profondes disparités interrégionales du produit par habitant étaient déjà prononcées avant la Première Guerre mondiale mais ont continué de s’aggraver rapidement jusqu’au milieu du XXe siècle,3 puis à un rythme relativement

Mais surtout, la pression sur les marges s’est exercée de façon différente entre les deux semestres : inflation forte sur les prix d’achat des produits alimentaires, non totalement répercutables sur les prix de vente sur les 6 premiers mois, puis impact de la crise à partir de l’été sur les niveaux et la nature de la consommation. Nous avons vu cette année les comportements des consommateurs évoluer fortement. (1) Résultat net des activités poursuivies. Je perçois dans cette crise une source

1 La diversité des Suds Schématiquement, les Suds peuvent se fractionner en divers ensembles que l’on peut examiner selon trois critères : 1. Les pays selon les contraintes (risques naturels ; accessibilité ; taille). 2. Le degré de développement économique : pays émergents (NPI), producteurs de pétrole (en général membres de l’OPEP), pays non-classés (!), Pays les Moins Avancés (PMA). 3. Les intégrations commerciales et géopolitiques des différents pays dans des ensembles régionaux. Un exemple

LE GROUPE BANQUE POPULAIRE Document de référence / 2006 sOmmAIRE PRésENtAtION dU GROUPE BANQUE POPULAIRE Message du Président Profil, chiffres clés 2006 et notations 3 6 7 4 5 dévELOPPEmENt dURABLE L’engagement du Groupe Banque Populaire Les Ressources Humaines L’environnement et la solidarité Le mécénat et le sponsoring 85 86 88 94 100 1 GOUvERNEmENt d’ENtREPRIsE Le conseil d’administration Rapport du Président sur les conditions de préparation et d’organisation

fruits de la croissance. Les événements traversés depuis par le pays ont eu un impact majeur sur l’économie. Le secteur touristique et les IDE ont notamment souffert du contexte d’instabilités politique et sociale et le chômage a atteint près de 20% en 2011 (40% pour les jeunes). Mais l’économie tunisienne a montré sa résilience face à la crise. La Tunisie est en effet passée d’un taux de croissance négatif en 2011 (-2% selon les autorités) à une croissance positive du PIB pour l’année 2012 (estimée

et pour les judicieux conseils qu'ils m'ont prodigués. Qu'ils trouvent ici, l'expression de toute ma gratitude. Je remercie aussi tous les responsables achats des banques confrères qui ont répondu favorablement au questionnaire, nous permettant ainsi d’acquérir une vision des pratiques actuellement mises en place au sein des banques marocaines en terme d’achats. Enfin j'adresse mes remerciement à tout le corps professoral de ISCAE notamment Monsieur Sylvain PINTE le responsable pédagogique du

.................................15 I.1.1. De l'antiquité au XVIIIéme siècle...............................................................15 I.1.2. 1800-1950 : du tourisme élitiste au tourisme de masse.......................................16 I.2. Le tourisme de masse et le modèle des 4S..................................................18 I.2.1. Le tourisme de masse.............................................................................18 I.2.2. Le modèle des 4S.......................

développés et émergents, un Code Marocain de Bonnes Pratiques de Gouvernance d’Entreprise. Cette Commission, fruit d’une large concertation entre les secteurs publics et privés marocains, réunit l’ensemble des acteurs-clés de la gouvernance d’entreprise au Maroc qui, par leur engagement et leur implication importants en la matière, sont les mieux à même de porter ce projet et de contribuer à sa réussite. Le Code Marocain de Bonnes Pratiques de Gouvernance d’Entreprise constitue, sans nul doute, un signal fort

l'émission d'une monnaie. Dans le cas de la monnaie fiduciaire, émise seulement par les banques centrales, il est égal au montant émis, moins ses coûts de fabrication, de mise en circulation et d'entretien (remplacement des espèces usagées). S'ajoutent à ce revenu les intérêts de refinancement du système bancaire par l'institut d'émission. Dans le cas de la monnaie scripturale, ce sont les banques de second rang (banques commerciales) qui, ayant seules le privilège d'émettre cette monnaie sous forme de