L Importance Des Didascalies

la lunette, se gratte bas-ventre des deux mains C a une puce ou un morpion hommes = morpions (48) 48-49 verse la poudre dans le pantalon, se penche, regarde, refait le geste coït/coite, le bas corporel 49 coite ou coïte ? le détail a son importance ! "si elle se tenait coïte, nous serions baisés" et ce pipi ? -Ca se fait. - de répétition 42-43 lunette 9 fois (pas de clarté de la vision), comique de répétition - de langage 42-43 il faut l'escabeau pour voir à la fenêtre humour

lecteur à se perdre entre un présent et un passé de la représentation. Le silence La technique la plus connue qui caractérise cette œuvre de Beckett est le silence. Dans cette pièce théâtrale, les silences plus ou moins longs, mentionnés en didascalies, se multiplient et le dialogue naît souvent de la nécessité de mettre un terme au silence. En d’autres termes, ce ne sont pas les silences qui constituent une pause du dialogue. Les efforts ostentatoires des personnages font apparaître en creux

à lui directement : 3ème pers. Du sg didascalie « repoussant rudement Pierrot » « cet impertinent » - il le met au niveau d’un enfant ou d’un animal voire même le nie : «  Que de bruit » - cette négation de l’existence de Pierrot se concrétise par une série d’interjections : « Ah ! », « Heu ?», « Houais ! », et Dom Juan finit par ne plus rien dire, ses seules réponses sont des soufflets (didascalies). - Les seules fois où DJ s’adresse directement

parviennent : des deux côtés et du haut. Elles s’enchainent sans interruption sauf aux endroits indiqués et s’enchainent sans ordre logique et sans propos clairs, avec de nombreuses répétitions. L’homme ne fait rien, il lève et baisse ses paupières ( didascalie) Les voix racontent diverses phases de la vie d’un homme : celle de A : un homme d’âge mûr, celle B : un jeune homme, et celle de C : un vieillard. A se rappelle de son enfance et où il se cachait. B évoque l’amour et les vœux de l’union et C

mieux convaincre le spectateur, mais il est toujours lié à la réalité grâce à des moyens diverses. Les dramaturges exagèrent le réel de manières diverses pour produire un effet sur le spectateur. Pour le théâtre destiné à la lecture, les didascalies mettent en place une forme d’accentuation de la scène. En effet, les décors peuvent être très précis et exagérés. Par exemple Ionesco dans Le roi se meurt met en scène un palais en ruine qui disparait progressivement au fur et à mesure que le roi

il intervient alors pour les séparer : « Séparez-vous, imbéciles que vous êtes, rengainez, vous ne savez pas ce que vous faites. » Puis, provoqué par Tybalt dès son entrée en scène, il est contraint à croiser le fer avec lui, comme l’indique la didascalie « [Ils] se battent. » à la fin du bref échange verbal qui est en fait une provocation en duel de Tybalt ,suivie d’un passage à l’acte : « TYBALT Quoi, tu croises le fer avec ces vauriens sans courage ? Retourne-toi, Benvolio, regarde la mort en

suis encore tout étourdie. J’en suis à mon premier voyage. Vous êtes très belle. Oh, comment peut-on garder son calme au milieu de ces secousses, de ces cahots ? Je dois être horrible à voir, non? LA COMTESSE (lui jetant un regard froid). Quelle importance ? LA RELIGIEUSE. Le Seigneur, en nous faisant femmes, nous a rendu la vertu bien difficile ! Il est si malaisé d’oublier son visage ! LA COMTESSE. À votre place, j’y arriverais très bien. LA RELIGIEUSE (admirative). Comme vous avez l’esprit juste

succès considérable jusqu’à son interdiction secrète par le roi sous la pression des dévots, qui venaient de faire interdire Tartuffe. Molière, auteur de nombreuses pièces de théâtre au XVIIe siècle, est classé parmi les représentants du classicisme (importance donnée à la clarté, la raison, la mesure, la morale, ainsi que par la fréquente référence à l’Antiquité). Dom Juan est néanmoins une pièce d’un genre hybride, une tragi-comédie, qui fait plus d’une entorse aux règles classiques. Le héros est plutôt

Chimène et l’Infante en compagnie de leur confidente. C’est grâce à elles que le spectateur découvre l’univers de la pièce : le lieu, l’époque, les personnages principaux a) les lieux : la didascalie initiale nous renseigne : nous sommes à Séville. Bien qu’il n’y ait pas d’indication précise, de didascalies, on sait que la scène 1 se passe dans l’appartement de Chimène, la scène 2 dans celui de l’Infante au palais. À l’époque de Corneille, la règle de l’unité de lieu n’est pas encore aussi stricte

d’Electre. => Electre attend Oreste depuis tjrs. Que révèle l’Etranger à Electre ? Quel élément est au centre de la scène ? II. L’importance du nom a) répétition du terme « nom » (3 occurrences) > ce nom se trouve au centre de la scène, d’où son importance. b) progression : « un seul mot » → « nom » → « Tu es Oreste ! » => caractère magique de ce nom ; Si au lieu de vous appeler par votre prénom, on vous désignait exclusivement par « tu », que ressentiriez-vous ? nommer quelque chose, c’est le faire