L Inconscient M Empêche T Il D être Le Maître De Moi Même

d’abord, pour moi la première chose qui fait de l’homme un être non libre, c’est la loi et les différentes règles que l’on nous impose dans la société. Elle nous empêche de vivre pleinement notre liberté et nous conditionne de ce fait. Par exemple, certaines règles qui nous sont imposés à l’école peuvent parfois être stupide et sans aucun sens, comme le fait de nous empêcher d’aller dans le parc avant une certaine heure, ou nous empêcher à avoir accès au casier toute la journée alors que nous payons

L’idée d’inconscient exclut-elle la liberté ? La théorie freudienne parait être une hypothèse légitime et nécessaire pour définir l’idée d’un inconscient. D’ailleurs cet inconscient est guidé par notre appareil psychique. Toute pensée et tout acte ne sont pas pensés par moi mais par cet appareil dit psychique, le ça représente le neuf dixième de cet appareil (libido). L’inconscient est donc inaccessible à la conscience puisque celle-ci a défini comme vérité première « je pense donc je suis » donc

conditionnée par notre corps (filtre des organes sensoriels), par notre culture (filtre de nos valeurs), par notre action (filtre de nos intérêts actuels), par notre expérience passés (filtre de nos habitudes). La perception est donc limitée, mais elle peut être argumentée: par la technique (avec des jumelles…), par la réflexion (si je perçois de la fumée, je déduis la présence du feu) ou par l'art (le peintre me fait voir ce que je ne voyais pas). La perception est-elle fiable? La perception permet

Theme : Le sujet Notion : Conscience , inconscience , sujet I) Problematique et enjeux A Delphes , sur le fronton du temple de la pythie (oracle du dieu d'Apollon) était écrit ''Connais toi toi-meme''. De cette maxime Socrate fait la tache principale de la philosophie. Dans un dialogue de Platon (Disciple de Socrate) Apologie de Socrate (Socrate est alors condamné a mort par les Athéniens) : '' Moi, athénien, j'obéirai au dieu plutot qu'a vous, et , tant que je respirerai, n'esperez pas

DISSERTATION PHYLOSOPHIQUE : PEUT-ON NE PAS ETRE SOI MEME ? L’homme ne peut échapper à la présence à soi qui est celle d’un être d’ôté d’une conscience. Par conséquent, l’homme sait ce qu’il fait et pourquoi il le fait. Cela dit, l’homme ne peut pas être autre que le sujet de ses pensées, de ses actes et de ses états. Cette question apparait donc, à première vue, paradoxale, car il est impossible de penser qu’on ne peut pas ne pas être soi même. Néanmoins elle nous encourage à nous demander si

sexualité, à un préjugé qu’il appelle « esthétique-moral ». Qu’est-ce à dire ? D’abord lorsque nous parlons de principes de base, il faudrait plutôt dire découvertes. Freud a découvert des terres nouvelles : inconscient, sexualité. Ou plutôt ce qu’on nomme ainsi et que l’on croyait connaître n’a plus le même sens après lui que celui qu’il avait auparavant. Ensuite, ces deux terres ont détruit l’image traditionnelle de l’homme, d’où le dégoût, le recul. L’homme a toujours été pensé dans la tradition philosophique

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Suis-je libre de penser ce que je veux? Être libre (du latin liber), c’est n’avoir pas d’entrave, de chaînes, au contraire de l’esclave. « libertas » désignait l’état juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle

et pas simplement comme manque. Mais quelle que soit la définition de l’inconscient, celle-ci remet en question la définition du sujet cartésien dont toute pensée est forcément consciente. A partir de cette remise en cause, le sujet est-il encore maître « dans sa propre maison » ? Peut-on le tenir pour libre et responsable de ses passions ? L’homme peut-il encore se penser comme l’auteur et le fondement de ses actes et de ses représentations ? Où « ça » parle, le sujet existe-t-il encore ? I/

symptômes, les lapsus, et le rôle de l’analyse, expose sa première topique (De topos : Lieu) . Dans cette description du psychisme Freud distingue le conscient, l’’inconscient et le préconscient. Du coté de la conscience, il regroupe le préconscient et le conscient. De l’autre coté d’une sorte de barrière refoulante , il place l’’inconscient. Un conflit d’ordre territoriale existerait entre ces deux instances psychiques. Le préconscient se défendant du retour des représentations et affects refoulés par