L Instinct De Survie

Ainsi parlait Zarathoustra, une des œuvres les plus célèbres de Nietzsche, on retrouve sous une forme métaphorico-poétique l’essentiel de sa conception de l’être humain, une conception qui souligne à grands traits l’importance du corps et de ses instincts dans la détermination de nos manières d’être et d’agir. Nous nous efforcerons donc ici de décoder, presque phrase par phrase, ce texte énigmatique, afin d’en comprendre le sens et la portée. Cela nous permettra de mettre en évidence les principales

singe. En effet nos ancêtres n’avaient pas l’air d’être véritablement civilisés. Les chiens ne font pas des chats, nous restons des animaux. Malgré tous nos efforts et ainsi que les bêtes nous agissons par instinct. La violence, par exemple, est commune chez les deux espèces. Seulement ces instincts sont camouflés par la société. Et si la sagesse des animaux est encore chose à douter, c’est notre impossibilité à les comprendre, faute de preuve perceptible, car si les bêtes nous sont si semblables il

disctinction bien réelle entre les Hommes et la gente animale. En effet les humains sont dotés d'une conscience leur permettant de réagir face à eux même ou face au monde qui les entourent. Cependant, les animaux eux, ne sont dotés que d'un instinct de survie . Dans ce cas, peut on lier la conscience humaine à l'instinct animal ou créons nous forcement une séparation bien distinct entre la vie humaine et la vie animale? Nous allons expliquer dans une premiere partie que la conscience est le propre

doit absolument posséder une ou un partenaire amoureux, sans quoi l’état le transforme en animal. Ainsi, durant l’ensemble de l’œuvre, l’auteur oppose l’animal et l’humain. De fait, il présente la vie animale comme punitive et maussade, où seule la survie compte et la vie humaine comme supérieure, privilégiée, où la raison, les émotions et la liberté priment. En effet, en présentant un protagoniste sensible, opposé au système, Lanthimos montre la capacité de l’homme à se déterminer, et ce, malgré un

entoure, nous nous posons la question « L'homme est-il un animal comme les autres ? ». Pour cela, nous allons organiser une réflexion la plus objective possible, en annonçant et en développant les différents points qui confirment, comme son instinct de survie, sa loi du plus fort ou infirment, comme son intelligence ou ses travers de la société, cette citation. Nous terminerons en exposant notre conclusion de notre réflexion. Tout d'abord, l'homme est la descendance du singe. Il a évolué au fil

que Pascal pose à ses lecteurs où il exprime de manière tout de même assez explicite sa thèse quant à la différence entre raison et instinct. Dès les premiers mots ont comprend que Pascal prône la supériorité net et unanime de la conscience humaine sur celle de l’animal –si il en a une. L’utilisation du mot « indignement » (ligne 117) face à la comparaison raison/instinct montre bien sa répugnance à placer l’Homme sur un pied d’égalité avec les animaux. Pour cet auteur, l’Homme est nettement supérieur

résister. Comment ces personnes ont réussi à résister dans les camps nazis ? Pour répondre à cette question, nous allons montrer dans un premier temps, que l’entraide était d’une grande aide pour les déportés puis dans un deuxième temps que l’instinct de survie était très présente chez les résistants et pour finir nous allons démontrer que la révolte dans les camps de concentration aidait les détenus à rester en vie. Les conditions de vie dans les camps de concentration nazis étaient extrêmement

pas forcément libres, cela s’explique par le fait que nous possédons, de même que les animaux, des instincts naturels de survie ou autres. Nous pouvons prendre l’exemple de la tique qui agit seulement pas un déterminisme génétique qui lui fait à chaque détection de sueur ou de chaleur surgir pour se nourrir. Nous pouvons aussi reprendre l’exemple d’Aquin, la brebis fuit le loup par instinct de survie car elle sait naturellement que le loup est un danger pour sa vie, la brebis sait grâce à l’enseignement

roule mais ne peut prendre conscience du choc qui l’a déterminée a rouler. À l’inverse, la brebis « qui fuit » est un être de pure nature puisque ses actions sont basées sur l’instinct, qui, dans cet exemple est l’instinct de survie. Elle ne choisit pas de fuir, c’est son instinct qui le lui ordonne. Cet animal ressens le besoin de fuir, mais ne l’éprouve pas, elle ne réfléchit pas à l’action qu’elle va faire car pour elle, c’est un réflexe. Au contraire, l’homme est conscient, et sais ce qu’il fait

certain équilibre afin d'assurer la survie de ces espèces. Par exemple, il donne à certains, la force mais pas la rapidité et aux races plus faibles, il leur offre le privilège de la vitesse. Après avoir prémunis suffisemment contre les destructions réciproques , il s'occupa de défendre les différentes espèces mortels des intempéries de Zeus, les protégeant contre le froid. Poutant, Epiméthée avait sans y penser, dispenser l'homme de qualités indispensables à la survie, ce dernier est nu, sans chaussure