L Ombre Et La Lumiere Chez Zoroastre

temps .......................................... XX. À un poëte aveugle ................................................................ XXI. .............................................................................................. XXII. La fête chez Thérèse........................................................... XXIII. L’enfance .......................................................................... XXIV. ..................................................................................

subissant ce gréement comme un bât, Ses hunes, ses grelins, ses palans, ses amures, Étaient une prison de vents et de murmures ; Son ancre avait le poids d'une tour ; ses parois Voulaient les flots, trouvant tous les ports trop étroits ; Son ombre humiliait au loin toutes les proues ; Un télégraphe était son porte-voix ; ses roues Forgeaient la sombre mer comme deux grands marteaux ; Les flots se le passaient comme des piédestaux Où, calme, ondulerait un triomphal colosse ; L'abîme s'abrégeait

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

Où croissent, sans ombre et sans crainte, Les deux palmes des deux combats ! Palme du combat Ignorance ! Palme du combat Vérité ! L’âme, à travers sa transparence, Voit trembler leur double clarté, Innocence ! Vertu ! sublimes Même pour l’œil mort du méchant ! On voit dans l’azur ces deux cimes, L’une au levant, l’autre au couchant. Elles guident la nef qui sombre ; L’une est phare, et l’autre est flambeau ; L’une a le berceau dans son ombre, L’autre en son ombre a le tombeau. C’est

Lise XII.  Vere novo XIII.  À propos d’Horace XIV.  À Granville, en 1836 XV.  La coccinelle XVI.  Vers 1820 XVII.  À M. Froment Meurice XVIII.  Les oiseaux XIX.  Vieille chanson du jeune temps XX.  À un poëte aveugle XXI. XXII.  La fête chez Thérèse XXIII.  L’enfance XXIV. XXV.  Unité XXVI.  Quelques mots à un autre XXVII. XXVIII. XXIX.  Halte en marchant LIVRE DEUXIÈME  L’ÂME EN FLEUR I.  Premier Mai II. III.  Le rouet d’Omphale IV.  Chanson V.  Hier au soir VI.  Lettre

temps ....................................... 59 XX. À un poëte aveugle............................................................. 61 XXI.............................................................................................62 XXII. La fête chez Thérèse ....................................................... 63 XXIII. L’enfance .......................................................................66 XXIV. ...................................................................................

......................................................................................72 X. LILITH−ISIS....................................................................................................................................74 XI. JÉSUS CHEZ ANNE......................................................................................................................74 XII. LES DIX−NEUF.........................................................................................................

reste n ' é t a i t qu'apparence et jeu trompeur. C'est précisément Eourquoi ce leur étai t une difficulté prodigieuse d 'appré- ender les concepts comme des concepts, et, à l'inverse de ce qui se passe chez les Modernes, pour qui même ce qui est le plus personnel est sublimé en abstractions, chez eux la réalité la plus abstraite se concrétisait sans cesse dans une personne. Or Thalès a di t que a ce n'est pas l'homme,

liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ; et qu’il n’y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. (Il se rassied.) 3. Octave Mirbeau, Le journal d’une femme de chambre, 1900 Célestine est une jeune femme de chambre. Embauchée chez de nouveaux patrons, les Lanlaire, en province , elle s’ennuie mortellement et tient un journal où elle raconte sa vie, sa découverte du monde bourgeois, ses désirs et ses amours. Au début du chapitre V, elle raconte comment sa mère est tombée dans

autour de la connaissance de soi sur le plan du corps, des énergies, du plan émotionnel et du plan mental. Un manuel de cours et une bibliographie sont remis à chaque participant. Comment vivre les différences dans la société ? Le sens de la justice chez les philosophes grecs et dans la pensée égyptienne. L’éducation se limite-t-elle à la transmission d’un savoir-faire ? pour une renaissance philosophique N° 196 janvier - février 2007 — 4 € NOTRE COUVERTURE : L ESPRIT DE LA RENAISSANCE ’