L Universalisme De Socrate

que ce n'est pas la représentation du monde qui me procurera du plaisir, de la curiosité, mais la raison du fini dans l'exécution, de la couleur ou autre. Socrate disait à Hippias: « Il te demande, non pas ce qui est beau, mais ce que c'est que le beau » (« Hippias majeur », Platon). Pour Hippias, qui incarne l'homme têtu dans l'œuvre et Socrate le sage, ce qu'il peut appelé beau, ce sont les jolies filles, les choses agréables à voir Mais le beau de l'art, n'est pas le même, on peut dire que c'est

monde) -Idolâtrie = vénérer quelque chose inventé par l’homme Si dieu a dit que alors c’est comme ca ! -Echapper a l’idolâtries :-unicité -Transcendance -universalisme -La raison :Ce dont on est sur qui a été prouvé -La foi = Confiance en une parole qui vient de plus loin que de la raison -Icône = Peinture sur bois qui représente un personnage biblique qu’on vénère [pic]fenêtre sur

considérées comme relatives, variables selon les peuples et les époques, ou au contraire comme universelles, indépendantes du lieu et de l'époque, et établies par la raison humaine ou exigées par une certaine représentation de l'être humain en général (universalisme, droits de l'homme). Selon l'approche philosophique, le critère définissant une conduite morale (ou ce que signifie « bien agir ») ne sera pas le même. En effet, la valeur morale d'une action (le fait qu'elle soit bonne ou mauvaise) peut être

Qui sont les Philosophes ? Antiquité Gréco-romaine : 6ème s. avt JC – 3ème s. ap JC Socrate 5eme s. avt JC à Athènes => Apparition Philo. Contexte important : expérience de la démocratie (Démo : peuple / Cratie : Pvr) Nvlle façon de gouverner les ♂ Apparition de la liberté d’opinion et d’expression publique ce qui permet libre circulation idées. Il a ainsi de nveaux droits et de nvlles responsabilités ac pratique du suffrage universel (statut citoyen : droit de vote et de choisir

|Temps Modernes | | | | |Universalisme : |Individualisme : | |C’est une vision très large, universel : les pensées des gens |Mouvement individualiste contrairement à l’universalisme

LA CULTURE Le sens de la culture : La culture est-elle se qui sépare ou ce qui unit les hommes ? INTRODUCTION : Le face à face des cultures et la question de la culture I) Le sens de la culture  : Conception classique et universalisme des Lumières 1) Le sens classique de la culture 2) L'universalisme rationaliste des Lumières a) L'unité de l'humanité et la raison b) Culture, civilisation et progrès 3) Les difficultés du modèle des Lumières  : logique évolutionniste et ethnocentrisme II)

souffrir = passif= être esclave= aller dans le sens de la faiblesse. Si l’on est fort, subir l’injustice c’est être frustré. -> image dégradente de l’H que propose la thèse socratique : « il vaut mieux subir l’injustice que de la commettre » Avec Socrate, morale d’humilité. Pb : cette morale ne convient qu’aux faibles. (Faiblesses physiques et mentales). Ds l’ordre de la loi (juridique et morale) : il est mal de déployer la force. La conviction de la justice qui prévaut ds l’ordre social : justice-égalité

l’ébranlement. Dans les toutes dernières réflexions de Jan Patočka apparaît un troisième motif, le motif kantien3. Commençons par le motif socratique. Le savoir de Socrate, qui a selon Jan Patočka toujours une pertinence éthique, ne se laisse pas saisir à l’aide d’une délimitation positive : « réfléchissant à ce qui est bon, [Socrate] ne constate pas le bien (au contraire, sa pensée se dérobe toujours à la simple définition constatante), mais devient bon — le bien s’établit dans sa vie même et dans

- Paternalisme : attitude de qq qui se conduit avec ceux sur qui il exerce une autorité comme un père. - Impérialisme : politique d’expension d’un état visant à mettre d’autres état sous sa dépendance politique, économique et religieuse. - Universalisme : conception selon laquelle les idées et leur valeurs sont indépendantes du temps et du lieu. - Relativisme : théorie philosophique fondée sur la relativité de la conception. Dépends du temps et du lieu.  Montaigne est universaliste, pas relativiste

convaincu que la Croix était la volonté de Dieu, Jésus y serait allé en toute sérénité. Combien de saints sont mort après lui sans verser de larme sur leur sort ? Jésus était-il plus faible que tous les saints qu'il suscita ? Etait-il moins courageux que Socrate, qui, six siècles plus tôt, avait bu sereinement la ciguë en réconfortant ses disciples ? La vérité est que Jésus n'a jamais pleuré sur son propre sort. Par contre, il versait souvent des larmes pour Dieu et pour les hommes. Si Jésus a supplié Dieu