L Universalisme De Socrate

ROSE Phyllis, Joséphine Baker. Une Américaine à Paris, Paris, Fayard, 1990. ROSELLO Mireille, Declining the stereotype, ethnicity and representation in French cultures, Hanover, University Press of New England, 1998. ROSELLO Mireille, « Tactical universalism and new multiculturalist claims in postcolonial France », in FORSDICK Charles, Murphy David (dirs), Francophone Postcolonial Studies. A critical introduction, Londres, Arnold, 2003. ROSSILLION Pierre, L’invasion étrangère en France en tant de paix

culturelles renforce l’objectif d’une cohésion sociale : c’est à partir de la diversité que l’on peut éduquer à l’égalité au-delà des appartenances culturelles, en évitant de confondre le principe avec la finalité (Dittmar, 2006, p. 24). Cet universalisme critique prend en considération à la fois les rapports réels entre individus et le principe de réciprocité permettant le dialogue interculturel (Dittmar, 2006, p. 264). L’école n’est donc pas un lieu approprié à la critique culturelle. En France

légiférant et universalité de l’objet sur lequel il est légiféré) ne sera pas une loi : une ordonnance royale n’est pas une loi, même si elle se donne des marques solennelles de promulgation et des objets généraux ; le jugement d’Athènes qui condamne Socrate n’est pas une loi bien qu’il émane de tout le peuple réuni en tribunal. Il manque à la première un auteur général, et au second un objet général. On remarque que les lois ne sont porteuses de justice qu’à cause de la façon dont elles ont été formées

des Droits spécifique qui dérogent au Droit Positif. Cela peut être à l'origine de conflit ou les droits naturels pourraient s'affronter. Ce qui fragilise le Droit Naturel c'est le fait que son contenu soit flous, incertains et qu'il n'y ai pas universalisme du Droit Naturel. Pour revenir à Kelsen, pour lui critiquer le Droit Naturel selon plusieurs modalités, pour lui nos sociétés étaient marqué par le dissensus, c'est la discussion, la remise en compte des valeurs, il n'es pas possible qu'un seul

Troisième aspect de ce logos qui nous vient de la Grèce : l’étude du langage. C. L’étude du langage et l’invention du concept. Pour converser, communiquer, il faut préalablement s’entendre sur les définitions. Les concepts, ce sont les grecs, Socrate en particulier qui ont inventé le concept. Max Weber écrit « ce fut les grecs qui les premiers surent utiliser cette instrument, cette instrument qui nous permettrai de coincer quelqu’un dans l’étau de la logique de telle sorte qu’il ne pouvait s’en

à la fois le sens des limites et des possibles. Elle enracine et ouvre en même temps l'expérience commune d'un sujet historique. Elle évite un faux universalisme sans visage. Elle redonne une certaine organicité dynamique à des sociétés qui risquent de s'enfermer dans de faux dilemmes : dogmatisme ou empirisme, particularisme ou universalisme, croissance économique ou patrimoine culturel, etc. Un ordre médiateur et non finalisateur. L'histoire politique est ici grosse de leçons. En effet

De la transdisciplinarité dans l’enseignement précoce d’une langue », Le Français dans le Monde, Recherches et Applications : Enseignements/Apprentissages précoces des langues, (août-septembre), p. 91-94. ▪ FUCHS C., 1998, « Les langues entre universalisme et relativisme », in Le cerveau et la pensée. La révolution des sciences cognitives, Auxerre, Editions Sciences Humaines, p. 143-152. ▪ GOLEMAN D., 1997, L’Intelligence émotionnelle 1. Comment transformer ses émotions en intelligence, Paris, Robert

valeur humaine. L’interhumanisme nécessaire à la science progressive a une valeur agissante classique. bien supérieure à L’interrationalisme l’universalisme est en du quelque rationalisme sorte un universalisme incarné et un universalisme en acte. L’universalité du vrai, aussi bien que l’universalité du vérifié, est, dans la science, formulée comme une actualité du rationnel. J’ai examiné longuement dans un chapitre de mon livre Le Rationalisme appliqué cette union

plus que des théoriciens conceptuels. Comme le souligne Pierre Hadot, leurs doctrines visaient plus à former qu’à informer1 . Souvenons-nous d’ailleurs de l’adage : « Connais-toi toi-même » dont l’auteur est resté inconnu, mais qui a été reprise par Socrate, Pascal et bien d’autres. Ce sont peut-être ces origines qui expliquent pourquoi de multiples questionnements métaphysiques se sont développés au sein de la psychologie. Nombre de ces interrogations tournent autour de la notion de liberté et de déterminisme

plus que des théoriciens conceptuels. Comme le souligne Pierre Hadot, leurs doctrines visaient plus à former qu’à informer1 . Souvenons-nous d’ailleurs de l’adage : « Connais-toi toi-même » dont l’auteur est resté inconnu, mais qui a été reprise par Socrate, Pascal et bien d’autres. Ce sont peut-être ces origines qui expliquent pourquoi de multiples questionnements métaphysiques se sont développés au sein de la psychologie. Nombre de ces interrogations tournent autour de la notion de liberté et de déterminisme