L édit De Caracalla 212

hostiles à cette requête mais progressivement au cour de ce siècle, les notables gaulois ont pu avoir le droit de devenir sénateurs romains. Caracalla (188-217 après J-C) est proclamé empereur en 212 avec son frère Geta qu'il fait assassiner en 212. La même année, il décide d'accorder le droit de cité à tous les hommes libres de l'Empire. L'édit de Caracalla n'est en réalité que l'aboutissement final d'une politique progressive d'octroi du droit de cité. Question 5 : La citoyenneté athénienne

Septime Sévère, que nous connaissons sous le nom de Caracalla, fut appelé Bassianus, du nom de son grand-père maternel (voir Julia Domna et tableau généalogique). Quand le bambin eut huit ans, quand son père eut accédé à l'empire et se fut autoproclamé fils adoptif de Marc Aurèle, notre Bassianus Junior reçut le nom de l'empereur philosophe (Marcus Aurelius Antoninus). Ce ne fut qu'après sa mort que ses biographes l'affublèrent du sobriquet de Caracalla, du nom du manteau gaulois qu'il aimait à porter

et 6 : quelle décision l’empereur Caracalla prend – il en 212 ? Pourquoi l’analyse de ce document est difficile pour les historiens ? 4°) Documents 4 et 6 : reproduisez le tableau suivant dans lequel vous classerez les motifs avancés par Caracalla pour justifier sa décision et les motivations avancés par Dion Cassius. Quels effets cette décision a – t – elle produite ? |Arguments avancés par |Arguments avancés par |Les effets de la | |Caracalla pour justifier|Dion Cassius pour

48 : Discours de Claude au Sénat (Tables claudiennes) 68 : Révolte de Vindex  troisième partie : Flaviens quatrième partie : Antonins 98 à 117 : Trajan 127 : Achèvement du mur d'Hadrien cinquième partie : Sévères 211 à 217 : Caracalla 212 : Édit de Caracalla I- La citoyenneté à Rome A) La citoyenneté et le régime politique de Rome. Rome connaît une cité-état puis une monarchie qui était le nouveau régime d'Auguste. Auguste était le premier empereur des romains. Ensuite Rome s'est

gravées sur des tablettes. Au fil des conquêtes, Rome s’étend jusqu’en Italie, confisque des terres aux peuples vaincus pour fonder des colonies de citoyens, mais respecte quand même les peuples et leur donnent la citoyenneté romaine. -212 : Edit de Caracalla qui donne la citoyenneté romaine aux peuples conquis. Début des guerres puniques qui confrontent Rome à Carthage en -264. La Première Guerre Punique (-264, -241) est un conflit naval en Sicile et en Turquie avec pour origine des luttes d’influence

est à la base de l'intégration des peuples conquis et va favoriser la cohésion de l'Empire . A partir de 212 l’empereur de Caracalla met en place « l’édit de Caracalla » L’empereur Caracalla augmente le nombre de citoyens par le texte de loi où il fait de tous les habitants libres ( les « pérégrins » ) de l’Empire des citoyens romains. Le texte de son édit indique qu’il veut « rendre grâce aux dieux » et faire cesser « plaintes et libelles » « rendre grâce aux dieux » Cela veut

multiplication des municipes (14 en Afrique, 8 en Pannonie). En 192, les orientations ainsi définies ont largement porté leurs fruits, puisqu’en orient où l’emportent désormais les cités, les honestiores s’identifient pratiquement aux citoyens romains. En 212, Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’Empire. C. Les raisons d’une telle diffusion L’État romain vu par Aelius Aristide au IIe s. ap. JC. Originaire de Mysie, Aelius Aristide vécut sous les règnes d’Hadrien et d’Antonin

affranchissement. Mais au début de l’empire, selon le statut des villes, on ne peut en détenir qu’une partie → les citoyens de droit latin possèdent le droit de vote, non celui d’éligibilité. Le droit de cité est progressivement étendu jusqu’à l’édit de Caracalla en 212 qui le reconnait à tous les individus libres de l’Empire. Les conditions d’accès sont moins contraignantes à Rome, ce qui explique le nombre croissant de citoyens du 1er au III siècle. La période étudiée couvre le Haut Empire (14-235), un

le jus gentium. Il ne peut pas utiliser le jus civile, car les pérégrins n’ont pas le droit de l’utiliser. En 212, l’empereur Caracalla donne un édit qui autorise tous les habitants de l’empire à utiliser le jus civile mais en pratique, le jus gentium a supplanté le jus civile car il parait plus raisonnable et moins strict et rigoureux que le jus civile. L’impact de l’édit de Caracalla sera donc limité, dans la mesure où il autorise les habitants de l’empire à utiliser un droit en plein déclin.

la main. Rome octroie donc la citoyenneté à tous les hommes libres italiens. -Comme les provinciaux citoyens demeurent rares, Claude accorde le droit de cités aux provinciaux, et en particulier aux magistrats gaulois. -Ce n'est qu'en 212, grâce à l'édit de Caracalla, qu'une vrai révolution intervient. L'empereur accorde la citoyenneté à tous les hommes libres de l'Empire. c) La Romanisation, qu'est que c'est ? Rome, en conquérant la Gaule, réussit à intégrer la culture romaine à tous les habitants