L épargne Est Elle Source De Croissance

Evénements particuliers…………………………………………………………………..8 PARTIE II : Evolution de la demande intérieure…………………….9 Sous-partie 1 : Sphère réelle, les déterminants de la demande intérieure…………………………………………………………………………………………..9 1. Contribution à la croissance du PIB…………………………………………………….9 2. Variables de tensions : Taux de chômage et Taux d’utilisation……………..10 3. Salaire, prix, Taux d’intérêt………………………………………………………………11 Sous-partie 2 : Analyse de l’investissement et de la consommation ………………………………………………………………………………

l’EBE qui ne va pas être distribuée ? Donner sa définition et à quoi cela va servir. 3) Qu’est-ce que l’investissement net ? 4) L’EBE et les salaires peuvent augmenter simultanément ? A quelles conditions ? La Valeur ajoutée peut-elle être source de conflit ? Faire le schéma sur son partage. |En millions d’euros |2009 |2010 | |Chiffre d’affaires

BERNARD Eric* Février 2000 Développement financier, politique monétaire et croissance économique : validations empiriques en données de panel Résumé : Cet article vise à valider l’ existence d’ lien empirique entre, d’ un une part, le développement des activités d’ intermédiation financière et le développement économique et, d’ autre part, entre une politique monétaire expansionniste et la croissance. La problématique posée se trouve ainsi à l’ intersection entre deux domaines de recherche

circulation dans une économie à un moment donné. La mesure de la masse monétaire permet de connaître la capacité de dépense des agents économiques. Le niveau de cette dépense peut avoir des conséquences sur le niveau général des prix et celui de la croissance. La masse monétaire est composée de différents éléments : – des actifs monétaires qui sont « liquides », c’est-à-dire des moyens de paiement qui peuvent être utilisés immédiatement, sans risque de perte ou de gain en capital, pour régler une

(Nayyar, 2006), et dont la libéralisation du marché des capitaux constitue l’élément le plus controversé de la mondialisation. En effet, selon le modèle néoclassique, la libéralisation du marché des capitaux devait être a priori bénéfique pour la croissance économique, et devait contribuer à réduire la volatilité de la consommation (Stiglitz, 2004). Nonobstant que les vertus conférées à cette libéralisation sont conditionnées par (i) une information parfaite ; (ii) un marché des capitaux parfait ;

très probablement été positifs sur l’emploi. Dans une perspective de plus long terme, on peut craindre que cette politique de réduction collective du temps de travail pèse lourdement sur les finances publiques et qu’elle ait entamé le potentiel de croissance économique. » . Ses propos sont-ils réels ? Tout d’abord, les 35H ont eu différents avantages. En effet, le passage au 35H a permis de créer des emplois. Même si l’objectif de créer 700 000 emplois n’a pas été atteint, on a quand même remarqué

2-3 % mais reste aux alentours des 2%. Alors cela entraîne des avantages pour les consommateurs. Car quand l'inflation est élevé cela se répercute sur le pouvoirs d'achats des ménages mais aussi sur leur épargnes pour l'avenir. Donc grâce à cette inflation stable et bas les ménages peuvent épargnés plus et avoir un « bon » pouvoir d'achat. Le pouvoir d'achat c'est « la quantité de biens et services qu'il est possible d'acquérir avec une somme d'argent donnée ». c) Au niveau de l'emprunt et du

CHAPITRE I : Industrialisation et Croissance Pays dominant le secteur industriel de l'aluminium = USA, France, Royaume Uni, ... Nouvelle filière industrielle = Capital + Main d'œuvre + Savoir faire + Publicité * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Première Phase d'Industrialisation ( Vers 1850 ) : _ Matières Premières = Charbon, Fer et Laine _ Source d'énergie = Charbon ==> Vapeur _ Biens de Production = Locomotives

s’agit d’une constatation ex-post. La décision d’investir est le principal déterminant du niveau de la production, de l’emploi et du revenu et elle n’est absolument pas limitée par une épargne préalable ; Elle découle des anticipations des entrepreneurs. De plus, l’investissement même provoque une épargne qui lui est égale par les variations de la production. 2. La révolution keynésienne Keynes et la révolution keynésienne « La Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » paru

considère que la consommation est le résidu non épargné. Pour les revenus les plus bas, on aurait tendance à d’abord considérer la consommation et vis versa pour les classes supérieures. Y= C+ S Y/Y = (C+S/Y) -> 1 = PMC + PMS S= Y - C Y = C + S -> 1 = PmC + PmS D’où la fonction d’épargne: S= Y- C = Y – (cY+ C0) -> S = (1-c) Y- Co La PmC peut elle être inférieure à 0 ou supérieure à 1 ? -> Lorsque les ménages puisent dans leur épargne (Ex : PmC = 1.3 donc PmS= -0.3 car PmS + PmC