L éthique Est Elle Un Frein Au Progrès Scientifique

------------------------------------------------- - Christian SOLON ------------------------------------------------- - Louis JEANNERET ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Directeur scientifique : Thierry FRICHETEAU ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Pilote : Agnès HEBRARD Date: 08/06 /2010 « L'équipe atteste que ce travail est original et indique en bas

? 1. étudier la pensée économique 2. faire de l’histoire Définissons plus précisément ces termes. L’Histoire L’histoire en tant que domaine de connaissances articulé, n’a guère plus de deux siècles. Notre connaissance a donc fait d’énormes progrès en peu de temps. Exemples : • les conditions de travail au 19ème • la diffusion des technologies. L’histoire n’est jamais neutre. Cela ne veut pas dire que l’histoire soit inutile. Exemple d’un historien qui s’intéresse au rôle de la chrétienté dans

perpétuelle Etre haïtien aujourd’hui ? Chapitre II : La défaillance d’engagement citoyen La méconnaissance des valeurs citoyennes • La société haïtienne, une société incivile • Effritement de la moralité sociale et les dangers d’une éthique personnelle • Eclatement de la famille • Faillite du système éducatif haïtien Le désintéressement à la chose publique • L’égocentrisme matérialiste • Le fatalisme politique • Le fanatisme et le clientélisme politiques A- Le fanatisme

................................................................................ 35 4.4 Conclusion sur les aspects règlementaires .................................................................................. 35 Aspect social : analyse des freins et des leviers ................................................................................... 36 5.1 Enquêtes auprès des crèches et des maternités ........................................................................ 36 5.2 Enquêtes auprès

diviser en quatre dimensions : les responsabilités économiques (offrir aux consommateurs les produits qu’ils désirent, réaliser des profits, ...), les responsabilités légales (respecter les lois et règlementations mises en place), les responsabilités éthiques (respecter les fondements des droit d’égalité, de liberté, assurer la protection des individus...), et enfin les responsabilités dites philanthropiques (réaliser des bonnes actions, des bonnes causes...). L’entreprise citoyenne se doit d’offrir les

diviser en quatre dimensions : les responsabilités économiques (offrir aux consommateurs les produits qu’ils désirent, réaliser des profits, …), les responsabilités légales (respecter les lois et règlementations mises en place), les responsabilités éthiques (respecter les fondements des droit d’égalité, de liberté, assurer la protection des individus…), et enfin les responsabilités dites philanthropiques (réaliser des bonnes actions, des bonnes causes…). L’entreprise citoyenne se doit d’offrir les produits

diviser en quatre dimensions : les responsabilités économiques (offrir aux consommateurs les produits qu’ils désirent, réaliser des profits, …), les responsabilités légales (respecter les lois et règlementations mises en place), les responsabilités éthiques (respecter les fondements des droit d’égalité, de liberté, assurer la protection des individus…), et enfin les responsabilités dites philanthropiques (réaliser des bonnes actions, des bonnes causes…). L’entreprise citoyenne se doit d’offrir les produits

réagir face au danger du risque naturel. Au XVII siècle les philosophes et les moralistes englobaient le risque dans la notion de prudence. La notion de risque a été introduite dès que les probabilités ont été développées au XVIII siècle .Le progrès scientifique et le développement technologique ont a accru les risques liés au développent industriel et humain cette ère a vu la naissance de la notion de gestion des risques. Les organisations ont développé des méthodes et des moyens pour faire face à

Sud-est On parle souvent d’un miracle asiatique, d’abord japonais, et qui vient après une longue phase de torpeur. Le développement de la zone a semblé irrésistible, contagieux, miami no limit jusqu’en 1997. Depuis, l’Asie a repris sa marche vers le progrès, et vers l’amélioration des conditions de vie. Il y a de toute évidence un modèle asiatique de croissance original. Se pose aujourd’hui la question de la capacité de l’Asie à devenir un véritable modèle, et à l’exporter. I- Les origines du décollage

d’une altérité, que la philosophie classique a eu beaucoup de mal à penser : pour les Grecs, les autres (non-Grecs) ne sont que des « barbares » (non authentiquement humains). La prétention ultérieure du christianisme à être la seule vraie religion a freiné la reconnaissance de l’humanité non chrétienne. Ambiguïté de l’« alter ego » On peut être tenté de définir rapidement autrui comme « alter ego » (autre moi). Cela semble affirmer son égalité par rapport à ce que je suis, et garantir qu’il me ressemble