L étranger Camus éblouissement Obscur

NOM : Prénom : QUESTIONNAIRE DE LECTURE A SUR L’ETRANGER DE CAMUS 1.Classez ces extraits dans l’ordre chronologique (6 pts) A. J’ai bien travaillé toute la semaine, Raymond est venu et m’a dit qu’il avait envoyé la lettre. B. Je me suis retourné une fois de plus Pérez m’a paru très loin, perdu dans une nuée de chaleur, puis je ne l’ai plus aperçu. C. Je me suis mis à crier à plein gosier et je l’ai insulté et je lui ai dit de ne pas prier. Je l’avais

NOM : Prénom : QUESTIONNAIRE DE LECTURE A SUR L’ETRANGER DE CAMUS 1.Classez ces extraits dans l’ordre chronologique (6 pts) A. J’ai bien travaillé toute la semaine, Raymond est venu et m’a dit qu’il avait envoyé la lettre. B. Je me suis retourné une fois de plus Pérez m’a paru très loin, perdu dans une nuée de chaleur, puis je ne l’ai plus aperçu. C. Je me suis mis à crier à plein gosier et je l’ai insulté et je lui ai dit de ne pas prier

Contrôle    de lecture L’ETRANGER   D’Albert    CAMUS   Vos réponses seront soigneusement rédigées et développées.  I L’incipit  « Aujourd’hui, maman est morte. […]   J’ai dit « oui » pour n’avoir plus à parler »  1   On a souvent fait observer que le « je » de l’incipit a les caractères d’un « il ». Quelles en sont les raisons, selon vous ? (2points) 2   Evoquant le décès de sa mère, Meursault recourt à des termes tels que « jours de congé », « excuse », « affaire classée ». Que semblent-ils

bsurde Quotidienneté Etude de L'étranger, d'Albert Camus   Avertissement : Les textes étant protégés par la loi sur la propriété intellectuelle, merci de me contacter sur le blog en cas de désir de reproduire cette analyse en totalité ou en partie. Merci aussi d'en indiquer la provenance en proposant un lien vers le site en cas d'évocation de cet article.     Traiter de l’absurde est difficile dans un roman. La notion désigne l’absence de sens et un roman sur l’absurde est un roman traitant

de l’argumentation, du xvie siècle à nos jours La Peste Albert Camus Édition de Marianne Hubac Dans les années 1940, une épidémie de peste s’abat sur la ville d’Oran. Jour après jour, le lecteur suit l’apparition et l’extension de la maladie. Il découvre les réactions de chacun des personnages face aux souffrances et à la mort : certains fuient, d’autres restent pour lutter. À travers ce grand ISBN 978-2-7011-6166-2 roman, Albert Camus 352 pages rend hommage à ceux qui affrontent la vie

intrinsèque. Le vers propose donc le réel vu et senti d'abord et ensuite sa traduction géométrique, sa substance inaltérable. Le vers transmue le réel contingent en idéalité spirituelle. Ce travail de poétisation par la géométrie nous est devenu totalement étranger puisqu'avec le romantisme, la poésie a été surtout l'expression des accidents de l'âme (même si Mallarmé a dépassé ce style, il ne parvient plus à réaliser l'idéal de perfection et s'en désole souvent en fin de poème, le poème devenant l'espace d'une

(p. 112 ES/S et Techno / p. 114 L/ES/S) La fin du personnage ? SÉQUENCE 1 – La construction du personnage : « l’entrée en scène du héros » du XVIIe au XXe siècle • Michel Butor, La Modification (p. 56 ES/S et Techno / p. 58 L/ES/S) • Albert Camus, L’Étranger (p. 60 ES/S et Techno / p. 62 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle • Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique (p. 76 ES/S et Techno / p. 78 L/ES/S) • Alain Robbe-Grillet, La Jalousie

brochée. « C’est trop, dit Oscar, et pas cher dans le Catalogue moderne. » On torréfie du café par là, le toit d’en face est rouge, un jet de vapeur siffle. Oscar est tout à fait accaparé. Réduit, stérilisé, il s’agite sur une chaise de fer. Un éblouissement confond le ciel et la rue. Derrière une grille de lumière, on voit sur les murs bleus des nuages affichés. Mais enfin les ombres autour des architectures tournent, tout court se tasser dans le fond pour le drame des perspectives car une majesté

brochée. « C’est trop, dit Oscar, et pas cher dans le Catalogue moderne. » On torréfie du café par là, le toit d’en face est rouge, un jet de vapeur siffle. Oscar est tout à fait accaparé. Réduit, stérilisé, il s’agite sur une chaise de fer. Un éblouissement confond le ciel et la rue. Derrière une grille de lumière, on voit sur les murs bleus des nuages affichés. Mais enfin les ombres autour des architectures tournent, tout court se tasser dans le fond pour le drame des perspectives car une majesté

Ceux qui tuaient le mieux et qui n'ont pas bronché Auront la croix d'honneur par-dessus le marché. Les vainqueurs en hurlant dansent sur les décombres. Des tas de corps saignants gisent dans les coins sombres. Le soldat, gai, féroce, ivre, complice obscur, Chancelle, et, de la main dont il s'appuie au mur, Achève d'écraser quelque cervelle humaine. On boit, on rit, on chante, on ripaille, on amène Des vaincus qu'on fusille, hommes, femmes, enfants. Les généraux dorés galopent triomphants, Regardés