La Baïonnette

serment du jeu de paume Versailles: salle des « menus plaisirs » Les députés élus des États Généraux votent par Ordre Le Tiers refuse le vote par ordre: « nous sommes ici par la volonté du peuple et n’en sortirons que par la force des baïonnettes » Mirabeau Serment du jeu de Paume (Bailly) Le Tiers-État se proclame assemblée nationale et jure de ne pas se séparer avant d’avoir donné une constitution à la France La prise de la Bastille Louis XVI influencé par son entourage

fois déshabillé les femmes vont directement dans les chambres à gaz en empruntant le « Schlauch » c’est une allée camouflée où les personnes doivent courir pour attendre l’autre côté. Celles qui refusent de courir sont matraquées piquées à coup de baïonnettes. Les chambres à gaz sont étroite sept mètre sur sept avec des pommeaux de douche au centre.il y dix chambre dans le centre. Les SS poussent les femmes à aller dedans où elles seront gazées. Une fois les corps morts, les commandos de travail viennent

répètent les couleurs de la lanterne et montre son innocence. Sur la droite se tient le peloton d'exécution, pris dans les ombres et dépeint comme une unique unité monolithique. Pratiquement vus de dos leurs visages ne peuvent être vus, leurs baïonnettes et leurs shakos (les couvre-chefs militaires qu'ils portent) forment une colonne implacable et immuable. Sans que cela ne distraie de l'intensité de la scène au premier plan, l'on peut apercevoir dans l'obscurité, à l'arrière plan, un village et

armées ». C’est l’éloge d’un spectacle. 2) La guerre est décrite comme une mise en scène avec des successions de figures imposées. Ici la guerre est montrée comme un art « l’ordre de la bataille, d’abord les canons, puis les mousquets, puis les baïonnettes ». Tactiquement c’est parfait bien ordonnée, c’est donc trop beau pour être vrai : l’ironie est ici 3) Le nombre de victimes est dénoncé avec légèreté alors qu’il est considérable « à peu près 6000 … environ 9 à 10 milles … quelques milliers …

poudre ; derrière celle-ci se trouve un bataillon d'infanterie attaqué. La femme joue un rôle clé dans ce tableau; elle est au sommet d'une pyramide de corps, elle attire notre regard et celui des hommes qu'elle comine, elle est munite d'un fusil à baionnette . Elle est pieds nus, le buste dénudé, elle parait sale et dangereuse. Dans ce tableau, il y a de la violence omniprésente et les détails macabres peuvent inquiété; nous ne voyons pas un grand peuple mais une populace dangereuse quidée pas une

édifices publics et sur les murs des villes et des villages. Tout d'abord, ce dessin est composé d'une pièce de monnaie et d'un personnage se détachant sur un fond blanc. Il s'agit d'un soldat allemand dû à son casque à pointe, le fusil en main baïonnette au canon. En effet le soldat est à genoux,déséquilibré et assailli par un coq, lancé a son attaque son bec visant les yeux remplis de terreur du soldat. De plus le coq est sur une pièce de monnaie française dont la devise est « Liberté,Égalité

soviétique surnommée l’armée rouge. On peut aussi voir un « slogan » russe : « Mort à la vermine fasciste ! ». Au second plan, on trouve deux serpents noirs, qui forment la croix gammée, symbole du nazisme. Les serpents se font transpercer par la baïonnette du fusil du soldat. On aperçoit dans le coin supérieur droit de l’affiche, la faucille et le marteau, symbole de l’U.R.S.S. (Union des Républiques Socialistes Soviétiques) de couleur rouge. Le fond de l’affiche est blanc. Les formes se superposent

mécaniques qui s'emboîtent ou se vissent pour amener les deux fibres en vis-à-vis. Cours MRIM: La fibre optique Page 18/35 6 - Types de connecteurs Les connecteurs les plus utilisés sont : • Le connecteur à baïonnette ST ou ST2 : il utilise un système de verrouillage à baïonnette. C'est le connecteur le plus courant. Sa férule en céramique garantit de hautes performances. • Le connecteur à encliquetage de type 'pushpull' SC. Il possède un corps surmoulé et un système de verrouillage à pousser

prédelle en dernière positions. 5) Les couleurs utiliser sont des couleurs sombre pour monter l’enfer du combats et que la mort et reine et a envahit le champ de bataille .On peut aussi distinguer des formes pointue comme par exemple les baïonnettes des soldats allant au combats. 6) La chronologie impliquée dans le tableau évoque également un cercle vicieux, infernal : à gauche les soldats partent au front, au milieu, ils subissent l’horreur, à droite, blessés, ils rentrent chez eux ou

française ennemie: une longue file de soldats allemands de dos, sans visage, reconnaissables à leur casque, marche "aveugle" dans le brouillard vers la bataille et ses atrocités. Anonymes ces soldats forment un rempart d'acier, de casque et de baïonnettes. Grande précision du "barda", du sac à dos avec chaussures à clou du premier fantassin. -Panneau central: Le résultat meurtrier C'est le tableau le plus grand: on distingue un unique survivant avec un masque à gaz qui le déshumanise. Perdu