Là-bas si j'y suis

et retournais dans les sentiers connus et aimés. Chaque arbre se dressait comme un barreau. Je disais tout ce que nous ne nous dirions jamais. Je respirais lentement à pleins poumons. Je n'osais m'asseoir, l'arrêt me faisait peur. Je marchais comme si j'allais sans fin à travers le monde. Je respirais comme on boit après une course. Je ne cherchais aucune solution puisque la solution existait. Elle n'était pas supportable. Voilà tout Jusque-là, je n'avais jamais été intéressée par la mort. Je ne

n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au-devant du souhait des gens: tant il est vrai, que le tabac inspire des sentiments d'honneur, et de vertu, à tous ceux qui en prennent. Mais c'est assez de cette matière, reprenons un peu notre discours. Si bien donc, cher Gusman, que Done Elvire ta maîtresse, surprise de notre départ, s'est mise en campagne après nous; et son cœur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici? Veux-tu qu'entre nous je te

n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au−devant du souhait des gens : tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent. Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours. Si bien donc, cher Gusman, que Done Elvire, ta maîtresse, surprise de notre départ, s'est mise en campagne après nous, et son coeur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis−tu, sans le venir chercher ici. Veux−tu qu'entre nous je

arrivant au pont de Neuilly, M. Dufour avait dit : " Voici la campagne enfin ! " et sa femme, à ce signal, s'était attendrie sur la nature. Au rond-point de Courbevoie, une admiration les avait saisis devant l'éloignement des horizons. A droite, là-bas, c'était Argenteuil, dont le clocher se dressait ; au-dessus apparaissaient les buttes de Sannois et le Moulin d'orgemont. A gauche, l'aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l'on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain

adolescente, Alice, but innocemment au cours d'une "party". Il contenait du LSD. Elle recommence par curiosité, désire d'être "dans le coup" et bientôt c'est l'infernal engrenage qui commence. Elle touche à toutes les drogues et descend de plus en plus bas, elle descend en enfer. Alice essaie de se ressaisir, soutenue par ses parents et une volonté farouche de s'en sortir. Elle réussit à remonter la pente, mais la vieille bande de drogués la guette. C'est la rechute, elle repart alors pour une vie pire

chinois du Japon ! C’est peut-être certes le plus grand, mais les choses intéressantes ne se passent que dans quelques rues (2, voir 3). A part ses couleurs ultra pimpantes, personnellement je ne trouve aucun charme particulier à ce quartier. Non, si j’y vais, c’est pour sa délicieuse cuisine et ses différents snacks que l’on peut trouver un peu partout. En effet, dans ce quartier ce trouve les boutiques des meilleurs chefs chinois et on retrouve par exemple les meilleurs Nikuman (Baozi en chinois)

n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au−devant du souhait des gens : tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent. Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours. Si bien donc, cher Gusman, que Done Elvire, ta maîtresse, surprise de notre départ, s'est mise en campagne après nous, et son coeur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis−tu, sans le venir chercher ici. Veux−tu qu'entre nous je

mode ? Une nouvelle page de la littérature est en train de se tourner, et j’y participe. Je ne subis pas un nouvel engouement collectif. Je crée, monsieur, une nouvelle façon d’écrire des romans. Ils contiennent des pages d’une vérité effrayante, et c’est sans doute leur franchise brutale qui blesse votre délicatesse. (Sourire ironique). - Il faut bien mettre un peu de vérité dans les romans, mais pourquoi descendre si bas ? Il y a chez vous un parti pris de provocation : la mort de Gervaise, dans

Journée I,1 : les voyageurs Jacques et son maître chevauchent dans le brouillard. Diderot à son écritoire. A l’avant-scène, Maître Tu as donc été amoureux ? Jacques Si je l’ai été ! Maître Et cela par un coup de feu ? Jacques Par un coup de feu. Maître Tu ne m’en as jamais rien dit. Jacques Je le crois bien. Maître Pourquoi donc ? Jacques C’est qu’il était écrit là-haut que cela ne pouvait être dit ni plus tôt ni plus tard. Diderot Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout

courir derrière elles. Alors je m'attache à ceux que j'ai encore, et j'attends de voir comment tout va finir. Même si plus le temps passe, plus je me demande si ce que j'ai perdu va revenir un jour. « Rien ne se console parce que rien ne se remplace, même les départs forcés sont pris pour des abandons. Mon cœur peut se briser, mais jamais il ne s'arrête de battre. Je n'ai rien oublié, j'y pense encore, j'ai toujours un pied coincé dans le passé, je tombe sans cesse dans le présent. Est-ce que tout