La Bataille Des Gras Et Des Maigres

PORTRAIT DE CÉSAR PAR PLUTARQUE "Ce n'est pas, dit-il, ces gens si gras et si bien peignés que je redoute; je crains plutôt ces hommes si pâles et si maigres." Il désignait Brutus et Cassius. LXVI. Mais la haine la plus envenimée des Romains contre lui et la véritable cause de sa mort vinrent du désir qu'il eût de se faire déclarer roi. ( ... ) Le sénat ne fut pas plus mortifié de cette hauteur que le peuple lui-même ( ... ). César s'en aperçut et rentra sur-le-champ dans sa maison; là,

d'un monde meilleur. Elle prend la tête du cortège des grévistes et pousse son mari à jeter des briques aux soldats qui gardent la fosse. Elle se résigne, alors que tout est détruit autour d'elle, à reprendre un travail harassant. Zacharie : 21 ans, maigre, la figure longue souillé de quelques poils de barbes, avec des cheveux jaune et la pâleur anémique familiale. Il épousera Philomène Levaque dont il aura 2 enfants. Il n'aime guère le travail et se montre peu motivé par la grève. Il périt lors d'une

(deux catégories physiquement, géographiquement, socialement et moralement incompatibles) Leurs morphologies sont a priori comparables mais ici elles sont rendues visuellement opposées. « Les os et la peau » ≠ « puissant », « beau », « gras », « poli » (N’avait pour formule restrictive) (Énumération et enjambement quantitatif) Cette opposition physique est confirmée à travers la tirade du chien. « Point de franche lippée » soit mourir de faim ≠ « os de poulets, os de pigeons

Et l'on se sentirait très heureux ; et personne, Oh ! personne, surtout, ne vous ferait ployer ! On aurait un fusil au-dessus du foyer... ........................................................ « Oh ! mais l'air est tout plein d'une odeur de bataille. Que te disais-je donc ? Je suis de la canaille ! Il reste des mouchards et des accapareurs. Nous sommes libres, nous ! Nous avons des terreurs Où nous nous sentons grands, oh ! si grands ! Tout à l'heure Je parlais de devoir calme, d'une demeure

Et l'on se sentirait très heureux ; et personne, Oh ! personne, surtout, ne vous ferait ployer ! On aurait un fusil au-dessus du foyer... ........................................................ « Oh ! mais l'air est tout plein d'une odeur de bataille. Que te disais-je donc ? Je suis de la canaille ! Il reste des mouchards et des accapareurs. Nous sommes libres, nous ! Nous avons des terreurs Où nous nous sentons grands, oh ! si grands ! Tout à l'heure Je parlais de devoir calme, d'une demeure

très he Ecoutant le devoir comme un clairon qui sonne : Et l'on se sentirait très heureux ; et personne Oh ! personne, surtout, ne vous ferait ployer ! On aurait un fusil au-dessus du foyer.... « Oh ! mais l'air est tout plein d'une odeur de bataille Que te disais-je donc ? Je suis de la canaille ! Il reste des mouchards et des accapareurs. Nous sommes libres, nous ! nous avons des terreurs Où nous nous sentons grands, oh ! si grands ! Tout à l'heure Je parlais de devoir calme, d'une demeure

la table, avait, à sa droite le baron Gouraud, à sa gauche M. Toutin-Laroche, ancien fabricant de bougies, alors conseiller municipal, directeur du Crédit viticole, membre du conseil de surveillance de la Société Générale des ports du Maroc, homme maigre et considérable, que Saccard, placé en face, entre Mme d'Espanet et Mme Haffner, appelait d'une voix flatteuse tantôt « mon cher collègue », et tantôt « notre grand administrateur ». Ensuite venaient les hommes politiques : M. Hupel de la Noue, un

notamment l’ami de famille Gustave Flaubert. Il est mort en 1893 Vie Professionnelle : Guy eût son baccalauréat en 1869. Puis on Octobre 1896, il s’inscrit à la faculté de Droit de Paris et vit dans le même immeuble que son père qui lui verse une maigre pension. A partir de juillet 1870, lors de la guerre contre la Prusse, il est affecté dans les services de l'intendance à Rouen, c’est-à-dire qu’il se charge de l’administration et de la gestion financière, du ravitaillement, etc. Il assiste, horrifié

palais, et ses préoccupations basses et matérielles, une capeline. - il est faible => la comparaison « maigre et brave rat... méchant et gras chat » fait ressortir le manque d’ambition et la faiblesse d'Ubu. - il est peureux => « massacrer le Roi de Pologne ! plutôt mourir ! » l. 30 => c’est un froussard, ce qui est absurde puisqu’il est censé être le chef des armées et savoir mener une bataille. Son trait de caractère n’est pas du tout en adéquation avec ses fonctions.  - il est idiot => la reprise

a accompli des exploits par le passé (sa puissance peut être héréditaire) 2 Son portrait physique : C’est l’exact contraire du portrait d’un moine puisque le stéréotype du moine entendrait qu’il est vieux, gras tel le moine rubicon (le bon vivant)… Mais Frère Jean est "jeune","pimpant","maigre" : il a un air de fraicheur et d’élégance. Grandgousier dit à la page 293, "ce n'est point une face de carême", il a donc un visage heureux. Il porte un « froc » qui est la robe du moine. Et « un bâton de