La Bataille du labyrinthe

s'engagent, les États font appel aux troupes coloniales. Si les blindés et les avions apparaissent sur le champ de bataille, les hommes jouent toujours le premier rôle. En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus ». • Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux. Les intempéries favorisent la prolifération des rats et des poux. Derrière cette ligne s'étendent les stocks

s'engagent, les États font appel aux troupes des colonies. Si les blindés et les avions apparaissent sur le champ de bataille, les hommes jouent toujours le premier rôle. En France, les soldats qui combattent sur le font sont appelés les « poilus ». • Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux. Les intempéries et la promiscuité favorisent la prolifération des rats et des poux. Derrière cette ligne

sous-sol sont des entrepôts. Le palais de Cnossos, dont l’architecture est très compliquée, à servi de base au mythe du labyrinthe. Les « nouveaux » grecs pensèrent qu’un palais de la sorte ne pouvait servir qu’à enfermer une bête qui ne devait en sortir. Le nom du palais autant « labyrinthe » (palais de la double hache, symbole royal minoen), les grecs ont donc associé le mot labyrinthe à la définition du mot dédale. Le palais fut découvert au XXème par Evans, qui par la suite en a commencé la reconstruction

lycée Cocteau à Miramas. Lecture linéaire du poème « Le vin des chiffonniers », Les Fleurs du Mal 1 5 10 15 20 25 30 Souvent, à la clarté rouge d'un réverbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au cœur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux Où l'humanité grouille en ferments orageux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête Butant, et se cognant aux murs comme un poète, Et sans prendre souci des mouchards, ses sujets, Épanche tout son cœur en glorieux projets

reste inébranlable5. Minos se moque de ce jeune homme qui prétend entrer dans le labyrinthe de Dédale, exterminer le monstre et en ressortir sain et sauf. C'est ne pas tenir compte de sa propre fille, Ariane qui est tombée amoureuse de Thésée et va lui donner une pelote de fil pour lui permettre de retrouver la sortie. Il abat le monstre avec un glaive (que lui avait préalablement donné Ariane), ressort du labyrinthe et se sauve en mer avec ses compagnons, Ariane et sa sœur, Phèdre. À Naxos (anciennement

payer aux vainqueurs pour les dommages qu'elle a causés. Dates clés : 28 Juin 1914 : attentat de Sarajevo Août 1914 : début de la guerre 6 au 13 septembre 914 : bataille de la Marne 1914 : guerre de mouvement 1915-1917 : guerre de position 1918 : retour à la guerre de mouvement 1915 : génocide arménien 21/02/1916 à déc 1916 : bataille de Verdun 02/04/1917 : entrée en guerre des USA Décembre 1917 : armistice germano-russe 11/11/1918 : armistice Rethondes 28/06/1919 : signature traité de Versailles

affronter le monstre. Le héros est aussi mis en valeur l. 19 et 20 par une sorte de tableau : « le chevalier se dresse à la proue », en brandissant son épée. Chant lexical danger : Pourpre=>couleur sang+< dangé Rudesse du combat : l15 « l’âpre bataille » Champ lexical courage : « seul l7s’exiter au combatl14,preux,l21 dressait l20, s’élança l21   * Champs lexical de la force et de la puissance : « cri furieux l15, épée brandie l20, »cria » l22, « enfoncé » l24 ---   * Verbes d'actions au PASSE

finalement comment tous ces éléments ajoutent au thème principal du texte : la création d’une identité à cause de la décomposition psychologique de la guerre. I) La monde la guerre comme intangible et malade Il y a très peu des images du champ de la bataille dans ce poème et avec les peu qu’il y a Ungaretti crée une image d’un monde malade et désagrégé. On est présenté avec un « horizon qui se variole de cratères ». Ici le mélange des mots de la guerre ; ‘cratères’, et un terme médical ; ‘se variole’

découpage en scènes, en actes ou en tableaux. Au théâtre, la fonction de la parole est double : Permet d’avoir des choses très courtes ● La parole-récit : Comme la scène est une contrainte matérielle à la représentation de certaines actions (une bataille de plusieurs milliers de personnes n’est pas représentable), celles-ci sont rapportées par des personnages. Elles sont l’objet d’un récit. La beauté du récit est d’ailleurs une valeur esthétique à l’époque classique. ● La parole-action : Le personnage

que de notre amour naisse la poésie Qui jaillira vers Dieu comme une rare fleur ! »   CV Le vin des chiffonniers Souvent, à la clarté rouge d'un réverbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au coeur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux Où l'humanité grouille en ferments orageux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête, Butant, et se cognant aux murs comme un poète, Et, sans prendre souci des mouchards, ses sujets, Épanche tout son coeur en glorieux projets