La Beauté Est Elle Utile

Lucie larregleEn général, dès qu’une chose devient utile elle cesse d’être belle. Théophile GautierThéophile Gautier théoricien du parnasse. Le parnasse est un courant littéraire du milieu du XIX siècle basé sur le culte de la beauté et de la forme. Ainsi, l’écrivain nous dit qu’en général lorsque qu’une chose devient profitable à quelqu’un, elle arrête de susciter l’admiration. Mais alors, en général lorsqu’une chose devient nécessaire arrête-elle ou continue-t-elle de susciter une admiration.Premièrement

lui est tout de même nécessaire. Si ce superflu est nécessaire, il est utile et répond don a un besoin. Une multitude d'art existent et certaines ont acquis une grande utilité! L'art a été présente dans toutes les civilisations et de tous temps! Ce qui est sûr, c'est que n'importe qu'elle forme d'art est belle, il ne suffit que de trouver le sens de sa beauté. Mais, la vrai question à se poser est : l'art peut il être utile ? Une oeuvre d'art peut être belle, montrer le prestige du lieu où

Dans le conte de Saint Exupéry, le petit prince s’exclame « C’est véritablement utile puisque c’est joli ».En effet, depuis des siècles la quête de la beauté est permanente tant en ce qui concerne la perfection physique que dans le domaine des arts ou de la nature. Cependant doit-on penser que le beau n’est pas nécessairement utile ? Ou, à l’instar de l’auteur penser que l’utile et le beau vont de pair ? Ou bien, la beauté et l’utilité étant deux notions relatives ne pouvons-nous pas penser que chacun

importante est le nuage sur le quelle repose la Sainte.Il représente le ciel et la Terre, il est comme le passage entre Dieu et les hommes.Il n'est pas poli en contraste aux autres éléments de la structure ce qui lui donne quelque chose de légèreté. La beauté signifie la sainteté de la Sainte,de la perfection religieuse et morale de la Sainte.C'est une vision Chrétienne de la Sainte.La Sainteté n'est pas un idéal spirituel mais la religion Chrétienne est incarnée.La sainteté resplendit dans la chair et

pour but d’être beau esthétiquement, mais aujourd’hui de nombreux artistes visent l’Idée de Beau sans pour autant faire preuve d’une technique exceptionnelle. Pourquoi alors se demander si l’art est utile lorsqu’on sait que l’artiste ne vise pas cette fin ? Peut-on attendre de l’art qu’il soit utile ? Il paraît toutefois paradoxal de penser qu’un artiste travaille à quelque chose d’inutile et que sa création au final n’ait aucune fonction, ne serve à rien. Il est en effet attesté que de nombreuses

Sigmund Freud s'interroge sur la qualification du degré culturel d'une société. Dans cet extrait de Malaise dans la culture, l'auteur va mettre en avant des exigences qui permettront d'évaluer le degré de culture d’une société. Pour l'auteur, « La beauté, la propreté et l’ordre » occuperaient une place importante dans la culture. Ces trois concepts constitueraient alors les conditions nécessaires et suffisantes de la culture en tant que telle. Le problème de ce texte est donc : Que signifie le

«  Il n'y de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature. D'ailleurs, l'endroit le plus utile d'une maison, ce sont les latrines. » La Beauté, notion abstraite, recouvre diverses significations et ne cesse d’évoluer suivant les époques et les individus. La délimitation entre ce qui peut être considéré comme beau ou non, la perception même

Le beau, est-ce qui est inutile ? Pose la question du rapport entre la beauté est l’inutilité. Est-ce que ce qui est beau ne sert à rien ? Dans quelle mesure la beauté est compatible avec l’utilité ? Le beau touche, le beau fait plaisir, rend heureux, élève l’âme et le cœur, et donc rend plus humain. : La beauté d’un geste, d’une victoire, d’une action, la beauté d’un discours, d’un texte, d’un poème, d’un film. Le beau peut aussi éduquer, il apprend, il passe un message. Le beau peut aussi être

En général, dès qu’une chose devient utile, elle cesse d’être belle.— Elle rentre dans la vie positive, de poésie elle devient prose, de libre, esclave. — Tout l’art est là . — L’art, c’est la liberté, le luxe, l’efflorescence, c’est l’épanouissement de l’âme dans l’oisiveté. — La peinture, la sculpture, la musique ne servent absolument à rien. Les bijoux curieusement ciselés, les colifichets rares, les parures singulières, sont de pures superfluités. — Qui voudrait cependant les retrancher ? —

d’abord que le beau peut être utile mais que ces deux notions peuvent aussi être séparées. Tout d’abord, pour un être vivant, le critère du beau semble résulter de la parfaite adaptation de la forme à la fonction. Telle est la pensée d’Aristote : une chose est belle si elle remplit parfaitement son but : un beau cheval de course est fait pour courir vite, un beau couteau est utilisée pour bien couper, une belle femme est proportionnée pour faire des enfants. La beauté est une forme adaptée à sa fin