La Bete Humaine Incipit

reste, on suppose qu’il y a de l’air et du jour dans cette boîte de pierre. » Il semble évident ici que le cachot est déjà un cercueil. © Éditions Belin/Éditions Gallimard. 7 Le condamné dépeint la prison comme un lieu de solitude, privant l’être humain de liberté. Relisez le chapitre 2 et, en vous appuyant sur l’étude des pronoms personnels, montrez comment l’auteur exprime l’absence de libre-arbitre du personnage. On peut relever plusieurs exemples : « on m’avait amené…on vint me réveiller… on

[modifier] * « Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. » (incipit) * « Ça ne promet pas beaucoup de bonheur, » dit Gervaise lorsque ensemble, avec Coupeau, ils annoncent leur mariage aux Lorilleux. * L'idéal de Gervaise, tel qu'elle le décrit à Coupeau avant leur mariage : « Mon idéal, ce serait de travailler

passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il pourrait sauver de l’anéantissement, il entreprend de fabriquer un être humain. Une sinistre nuit de novembre, je pus enfin contempler le résultat de mes longs travaux. Avec une anxiété qui devint une agonie, je réunis les instruments de vie pour en communiquer une étincelle à la chose inanimée couchée à mes pieds. I1 était

Citations « Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. » (incipit) « Ça ne promet pas beaucoup de bonheur, » dit Gervaise lorsque ensemble, avec Coupeau, ils annoncent leur mariage aux Lorilleux. L'idéal de Gervaise, tel qu'elle le décrit à Coupeau avant leur mariage : « Mon idéal, ce serait de travailler tranquille

Citations[modifier] * « Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. » (incipit) * « Ça ne promet pas beaucoup de bonheur, » dit Gervaise lorsque ensemble, avec Coupeau, ils annoncent leur mariage aux Lorilleux. * L'idéal de Gervaise, tel qu'elle le décrit à Coupeau avant leur mariage : « Mon idéal, ce serait de travailler

d’orthographe. ( Séance 6 : (lecture) Objectifs : - Etudier le conte humoristique. - Analyser la durée dans la narration. Support : Extrait du Vicomte pourfendu de Calvino. ( Séance 7 : (lecture) Objectifs : - Analyser des incipits - Revoir la notion de point de vue. Support : Extraits du Roi lune d’Apollinaire, du Ravissement de Lol V. Stein de Duras et du Verdict de Kafka. ( Séance 8 : (écriture) Objectifs : Ecrire un récit complexe : bouleverser l’ordre

urbaines. • Métaphores surréalistes. • Les expressions imagées. • Le détournement de sens. • Imaginer des répliques. • Un mot pour un autre. • Compléter les répliques. • Les incipit. • La nouvelle à chute. • Le titre imposé. • Décrire un lieu imaginaire. • Rédiger un plaidoyer. • Défendre la langue française. Atelier d’écriture : faire son autoportrait. Le grand écrivain

nombreuses répétitions traduisent l’enthousiasme de Zénon. On notera l’éloge de l’Italie au passage, « pays d’Avicenne », le grand savant arabe et de l’Italie de Pic de la Mirandole, auteur du fameux traité De la dignité de l’homme qui affirme la liberté humaine et dont une longue citation est placée au début du roman. Une phrase de l’œuvre résume Zénon. C’est Dieu qui s’adresse à Adam : « Toi que ne limite aucune borne, par ton propre arbitre, entre les mains duquel je t’ai placé, tu te définis toi-même.

caractères. Là est le livre entier. J’ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair. Thérèse et Laurent sont des brutes humaines, rien de plus. Enfin, parce que Thérèse Raquin a inspiré dessinateurs, graveurs – comme Castelli (1825-1889), artiste de renom du XIXe siècle, qui fournit la plupart des illustrations de cette édition (la boutique de la mercerie, la guinguette

trottait vivement, harcelé par un malotru armé d’un fouet. Comme l’âne allait tourner l’angle d’un trottoir, un beau monsieur ganté, verni, cruellement cravaté et emprisonné dans des habits tout neufs, s’inclina cérémonieusement devant l’humble bête, et lui dit, en ôtant son chapeau : « Je vous la souhaite bonne et heureuse ! » puis se retourna vers je ne sais quels camarades avec un air de fatuité, comme pour les prier d’ajouter leur approbation à son contentement. L’âne ne vit pas ce beau