La Bonne Fortune

se convertir au catholicisme, c’est plus pour fuir un lieu qui le dégoûte et satisfaire ses ambitions personnelles que pour des convictions religieuses solidement ancrées. La façon dont on se débarrasse de lui après le baptême « On me souhaite bonne fortune, on fermera sur moi la porte, et tout disparut » achève de le conforter dans sa désillusion. A court d’argent, le jeune homme effectue quelques travaux pour une jolie marchande, Mme Basile. C’est une chaste idylle, bientôt interrompue. Chassé

a voulu brûler ce livre !Adverbe « essentiellement » = mais pas que !I Un couple marginal qui sert à critiquer la société du 18ème siècle (= thèse que porte en. Lui le sujet) (INSTRUIRE)1) Quelle est leur marginalité respective ?Un jeune homme de bonne famille, « d’une des meilleures maisons de P…. » entraîné dans la passion par une prostituée, « de naissance commune », qui devient « maîtresse de son cœur »Elle considère la fidélité des corps comme « une sotte vertu » (cf. quand elle le quitte une

peut faire et non pas ses désirs à ce qui peut arriver, qui n’est pas en notre pouvoir, enchaînement des événements ou ordre du monde. Par exemple, on ne peut pas maîtriser la fortune, il vaut mieux se maîtriser soi-même, que de vouloir maîtriser la fortune car cela est impossible. En effet, dans l’antiquité romaine, fortune signifié Hasard. C’est une sorte de puissance capricieuse sur laquelle les hommes n’ont rigoureusement aucun pouvoir. Nous sommes condamnés à la subir. Enfin, pour accéder au

acte de corruption de la part de Trivelin. L’abondant champ lexical de l’argent et des biens : « les richesses » ; « le prix » ; « maison […] maison » ; « faire fortune » ; « grands appartements » ; « nombre de domestique » mêle les sentiments amoureux aux intérêts matériels. Ceci montre qu’au 18ième siècle l’amour est souvent lié à la fortune. Ce que ne manque pas de rappeler Marivaux par la voix de Trivelin dans cette tentative de manipulation d’Arlequin. 2) En quoi est-ce comique ? Le mode utilisé

air si content, que toute la table s'empressa de faire chorus, ce moment fut court, mais délicieux à tous égards, ce fut un de ces moments trop rares qui replacent les choses dans leur ordre naturel, et vengent le mérite avili des outrages de la fortune. Quelques minutes après, Mlle de Breil, levant derechef les yeux sur moi, pria, d'un ton de voix aussi timide qu'affable, de lui donner à boire, on juge que je ne la fis pas attendre ; mais en approchant je fus saisi d'un tel tremblement, qu'ayant

GEORGES DUROY « cambra la taille frisa sa moustache [...] » D.R p15 « Je crève de faim tout simplement. Une fois mon temps fini, j'ai voulu venir ici pour... pour faire fortune ou plutôt pour vivre à Paris ; et voilà six mois que je suis employé aux bureaux des chemin de fer du Nord à quinze fracs par ans, rien de plus. » p21 D.R « J'y suis resté 28mois et j'ai séjourné les trois provinces. » DR parlant de l'Algérie p42 « la rue Boursault qu'il habitait » D.R p49 « hâte de sortir de là, de loger

vifs et assez rapides. Vera Elizabeth Claythorne Miss Claythorne était la gouvernante de Cyril, un enfant à la santé fragile. Elle devait se marier avec l'oncle de celui-ci, Hugo, mais apprit que c'est l'enfant qui allait hériter d'une vraie fortune au lieu de son fiancé, qui n'a pas un sou et n'avait pas assez d'argent pour financer son mariage avec Vera. Elle est soupçonnée d'avoir volontairement laissé se noyer le petit garçon. C'est une belle femme mais plutôt quelconque. Elle est forte et

l’argent apparaît dès le début de la pièce car elle conditionne généralement l’importance que l’on accorde à la personne, l’individu. Explication : Pour Dubois la pauvreté n’est pas un obstacle : certes, Dorante est désargenté, mais il est beau « votre bonne mine est un Pérou ». Et il en rajoute, comme pour rendre confiance à son ancien maître : « Voilà une taille qui vaut toutes les dignités possibles, et notre affaire est infaillible, absolument infaillible ». Dubois n’a aucun doute sur la réussite de

L’intérêt dramaturgique premier de cette scène d’exposition est d’informer le lecteur/spectateur du stratagème qui a été mis en place par les deux hommes, stratagème dont le mobile est ambigu comme le signale l’emploi polysémique du terme «  fortune  ». Dubois, héritier du valet machiniste de la comédie traditionnelle, rassure son maître et expose au public la machination ourdie. LectureA l’issue de cette scène d’exposition, il s’agira d’analyser comment Dubois, dans ce dialogue

Aujourd’hui il y a de bonne retombée pour celui qui fait un don au bon moment. Ainsi, de nombreuses entreprises et particuliers font preuve de générosité, mais tous on un objectif. Certain pour leurs images dans le cas de mécénat, d’autres pour aider les autres sans contrepartie. En présentant l’intéressement du don, notre société n’en dévoile t-elle pas les contrepartie ? Nous verrons tout d’abord que la définition du don est de n’attendre aucune réciprocité pour enfin expliquer les retours du