La Bruyere Le Berger Et Son Troupeau

révision: Extrait des Caractères de La Bruyère Intro: *La Bruyère XVIIème , Louis XIV (monarchie absolue) *Apologue: C’est un texte court ,récit imagé , une morale et écrit en prose *Problématique :Comment La Bruyère utilise-t-il l’imagé du berger pour exprimer sa vision du pouvoir? Plan: I)Comment La bruyère passe de l’image du berger au bon prince a)Description idyllique(qui à l’air parfait) du bon prince ,du berger et de son troupeau -image très positive dés le début

Les Caractères de La Bruyère I) Le mélange des genres A) L'essai (2 points) Un essai est un récit dans lequel l'auteur débat d'un sujet selon son point de vue. La Bruyère, dans "les Caractères" nous fait part de son opinion sur la souveraineté, il s'agit donc d'un essai. (Melina) Son implication est d'ailleurs montrée par l'utilisation du pronom personnel "je". (Sofiane) La Bruyère livre ici un texte structuré : de la ligne 1 à 5 il formule la thèse "Le peuple est aussi important pour le

"Les caractères" de La Bruyère INTRODUCTION Au XVIIè siècles, les auteurs classiques ne cesse d'utiliser des formes brèves et plaisantes pour satisfaire l'une de leur principale aspiration : la perfection du style .La Bruyère, moraliste français est célèbre pour une œuvre unique : Les Caractères parut en 1688 et qu'il enrichira aux fil des années par de nouveaux portraits. " Du souverain " , extrait de Caractéres est un texte avex plusieurs genres, l'essai et l'apologue et qui dénonce les

Français Synthèse p.33 Jean de la Bruyère est un moraliste français. Il est célèbre pour avoir écrit une œuvre unique," Les Caractères" ou "les Mœurs de ce siècle", en 1688, dans lequel il décrit l'esprit du XVII ème siècle. La Bruyère fut l’un des premiers écrivains à mettre en avant le style littéraire, en développant des phrases rythmées. Dans le texte choisi, il cherche à rappeler les fondements du régime monarchique. Il utilise surtout de nombreuses métaphores

La Bruyère, Caractères (1688) 1- Le caractère tranquille et serein du décor et la mise en valeur du rôle du berger: L'écrivain a choisi d'argumenter en sollicitant l'imagination du lecteur et en lui proposant une scène pastorale idyllique : celle d'un berger gardant quotidiennement son troupeau. Dans la scène proposée règnent l'harmonie et la tranquilité. La première phrase pose un décor champêtre, présente ensuite le personnage et son action : - Le groupe nominal « le berger » est

prairie, colline, troupeau • Lyrisme : interrogation, exclamationfait participer le lecteur B-Même idée : ¶28 : Interdépendance : Monarque Sujets  « D’un coté » : sujets : respects ; secours, obéissance, dépendance Enumération des  « D’un autre » : monarque : défense, protection, bonté, justice devoir de chacun. ¶29 : Interdépendance : Berger troupeau  Parataxe + énumération : « il les suit, il les conduit, il les change etc... »  Berger : soigneux, attentif

Une société passionnée au divertissement: Les Caracteres, La Bruyere decrit une societe dans laquelle les divertissements sont omnipresents, que l’on pense auxfetespar exemple, d’ailleurs les comediens du temps, Mondori et Floridor, sont convoques (IX,(VIII, 4), au theatre, celui de Racine (VIII, 42) 50), a la musique de Lully (VIII, 42). On trouve aussi, ici et la, des references a des parades militaires ou encore «un concert», «beau salut», «prestige de la Foire» (voir le portrait du «spectateur

La Bruyère, Les Caractères. Introduction : La Classicisme voit sont essor dans la seconde moitié du XVII, ce mouvement suit celui du Baroque. Il privilégie le rapport particulier entre l’imitation et la règle, la perfection et l’ordre, ainsi que la clarté et la simplicité. Ce mouvement s’inspire de l’Antiquité. Il cherche à crée des modèles comme Boileau et la Bruyère qui est un moraliste de son époque qui cherche à décrire des mœurs. Notons que le XVII est une époque ou les auteurs ont pour

Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau, qui répandu sur une colline vers le déclin d'un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur ; le berger soigneux et attentif est debout auprès de ses brebis, il ne les perd pas de vue, il les suit, il les conduit, il les change de pâturage ; si elles se dispersent, il les rassemble ; si un loup avide paraît, il lâche son chien, qui le met en

Jean de LA BRUYERE (1645-1696), Les Caractères ou les mœurs de ce siècle, section « Du souverain ou de la république », 1ère éd. 1688, 5ème éd. 1690 |1. | Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau, qui répandu sur une colline | | |vers le déclin d’un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute | | |dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé