La Bruyère Des Jugements

 (Apercevant ​ le comte) ​ Fiel ! ... Mon lampion !  Ce texte appartient au genre théâtrale. Il est dans un registre tragique.    TEXTE 3 Guillaume Apollinaire, ​ Alcools, ​ 1913  J’ai cueilli ce brin de bruyère  L’automne est morte souviens­t’en   Nous ne nous verrons plus sur terre   Odeur du temps brin de bruyère  Et souviens­toi que je t’attends    Ce texte appartient au genre poétique. Il est dans un registre lyrique.     TEXTE 4 Victor Hugo, ​ Les Chants du crépuscule, ​ 1835  Alors tout se leva. − L’homme

civilisation, des hommes de l’Antiquité à ceux du monde moderne dans lequel nous vivons ; elle est une inconnue à laquelle chacun voudrait échapper. Qu'elle soit considérée comme une fin pure et simple ou comme un rite de passage où l'homme doit faire le jugement de sa vie et surmonter sa peur pour accéder à un autre monde, la mort reste une question pour l'instant sans réponse. Bien qu'il puisse sembler macabre et déplacer d'en parler, la mort est présente au quotidien dans notre vie : dans les journaux

n'ont pas la maîtrise de leur salut (logique de la prédestination), tentent ardemment de trouver dans leur vie privée des signes de cette prédestination, telle la réussite professionnelle, afin d'atténuer leur angoisse vis-à-vis de la mort et du jugement qui la suit. Par ailleurs le rapport direct à Dieu prôné par la religion protestante accélère le processus de « désenchantement du monde » (en supprimant nombre de pratiques religieuses par exemple), ce qui concourt à l'émergence de la rationalité

nécessaires pour conduire les hommes et les évènements », ou encore de métaphores : « le Maréchal n’était qu’une proie offerte aux intrigues serviles ou menaçantes ». De plus, ce portrait permet à De Gaulle de se mettre en avant. En effet, alors que le jugement du procès tombe, il décide de gracier le maréchal : « J’étais, d’ailleurs, décidé à signer la grâce. ». Il se montre aussi comme un être, en quelque sorte, prêt à aider son prochain et à le protéger : « j’avais fais prendre les dispositions voulues

l'inconstance. Liasse V : Raison des effets (fragments 75 à 95) Pascal explique ironiquement ce qui a motivé certains usages des Hommes comme le respect dû aux nobles, la soumission de la justice à la forme, les jugements portés sur les autres et sur soi-même. Or les vraies causes échappent au jugement du peuple. (Fragment 86 : « renversement continuel du pour au contre », exposé de méthode.) Liasse VI : Grandeur (fragments 96 à 109) L'animal agit par instinct, l'Homme par raison. Mais c'est le cœur qui

courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, « Pauca meae » Les Contemplations, 1856- texte 2 : Ma bohème1 (Fantaisie) Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot2 aussi devenait idéal3 ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal4

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au−dessus des genêts et des bruyères l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

ainsi du projet stéréotypé d’une « aventure », d’une « horrible bataille », à l’image finale, simple et anecdotique, d’un cheminement « joyeux » sur une petite route de Touraine. 14 PANTAGRUEL • GARGANTUA VERS L’ÉPREUVE GROUPEMENT DE TEXTES : JUGEMENTS CRITIQUES (p. 268) TEXTE 10 • Pierre de Ronsard, « Épitaphe de François Rabelais » (1554) (pages 268-269) 1. La rhétorique de l’éloge consiste en principe à suivre l’ordre chronologique. Mais ici Ronsard encadre l’évocation du passé (Rabelais

question. Qu’est-ce que signifie alors le fait de la poser ? A quelles conditions se la pose-t-on ? Le mot « classique » se déploie dans une série d’acceptions sur lesquelles il faudra revenir. Quelques remarques s’imposent d’abord. Il s’agit d’un jugement porté sur des œuvres ou des auteurs (sans que rien, dans la formulation, demande de s’en tenir à la littérature), en même temps que du nom par lequel on a pris l’habitude de caractériser une (ou deux) période(s) de l’histoire littéraire : un moment

surpris de me retrouver avec tous mes compagnons à la messe catholique. Ils me demandèrent: « Et le bouddhisme ? » Je leur répondis que cela ne m'avait pas réussi. Ils n'en furent pas surpris et je n'en étais pas fâché tant il est vrai, comme le dit La Bruyère, qu'il n'y a de meilleure religion que celle où l'on naît. Jacques Ferron, « Le bouddhiste », Contes, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1993, p. 142-145 4 II. Refus global Rejetons de modestes familles canadiennes-françaises, ouvrières ou petites