La Bruyère Guerre

portrait : voilà les moralistes proprement dits. — Les moralistes proprement dits du XVIIe siècle sont La Rochefoucauld, Pascal, La Bruyère, — pour ne nommer que les principaux. — Encore faut-il faire entre eux une distinction importante. La Rochefoucauld et Pascal ont observé et décrit le coeur humain d'une façon absolue et dans ce qu'il a d'éternel; La Bruyère s'est intéressé surtout à ce qu'il en pouvait examiner chez ses contemporains. Les deux premiers sont plus philosophes, le troisième est

point de vue particulier. La question était de réfléchir sur la compatibilité ou non des deux modes d'expression. En d'autres termes il s'agissait de réfléchir à ce que l'on appelle la littérature engagée. Dans le corpus proposé les textes de La Bruyère et de L'Encyclopédie sont davantage des textes de conviction alors que Voltaire et Giraudoux cherchent d'abord à persuader. Cela étant, on pouvait souligner le fait que L'Encyclopédie énonce une thèse subjective sous une forme apparemment scientifique

théoriques et une pièce de théâtre. Ils ont un thème en commun : la guerre. Le premier texte est un extrait « Du Souverain ou de la République » issu des Caractères écrit par La Bruyère en 1688. Le deuxième document est extrait de l’article « Paix » écrit par Damilaville. Cet article appartient à L’Encyclopédie, ouvrage écrit par plusieurs philosophes des Lumières de 1750 à 1772. Le troisième texte est un passage de la section « Guerre » du Dictionnaire philosophique de Voltaire, écrit en 1764. Enfin

son temps, ainsi il fait le récit de la guerre livré par le roi Picrocole (colérique, excessif) au roi Grand Gousier (juste, débonnaire) ce qui lui permet de condamner la guerre offensive tout en reconnaissant la nécessité de la guerre défensive. Enfin, l’utopie de L’Abbaye de Thélème s’inscrit dans une société élitiste et raffiné. Sa devise : « Fait ce que voudra » montre l’importance du respect de la liberté de pensée humaniste. Montaigne : Les guerres de religion ont fait les œuvres, les certitudes

Question Le corpus est constitué d’une fable de La Fontaine, « Le lion s’en allant à la guerre », ainsi que d’un article tiré des Caractères de La Bruyère, « Du Souverain » etenfin d’un extrait d’Antigone, de Jean Anouilh. À partir de ces trois extraits, les deux premiers datant du XVII° siècle et le dernier du XX°, la question se pose de savoir qu’elleconception du pouvoir y est décrite. Dans les trois exemples, on remarque une description du pouvoir absolu, pouvoir représenté métaphoriquement

s'interroge sur les nouveaux visages du personnage de Tartuffe créé par Molière. Nous comparerons les  caractéristiques de celui­ci dans l'extrait de la comédie éponyme de Molière avec celles du personnage de la  fable de La Fontaine et avec le personnage d'Onuphre dont La Bruyère dresse le portrait. Tout d'abord, les trois auteurs mettent en avant l'attitude religieuse de leur personnage. En effet, Orgon,  dans sa tirade, extraite de l'acte I, scène 5 de la comédie Tartuffe créée par Molière, précise par le complément  de temps « chaque jour » (v

thèmes tels que la paix et la guerre. Ainsi, il est intéressant d’étudier comment la guerre est représentée chez les philosophes des Lumières. Seront étudiées, la description froide et ironique de la guerre dans leurs écrits, puis la déscription de l’atrocité et de l’absurdité de ces guerres. Enfin, seront évoqués les sentiments d’insolubilité et de fatalité des philosophes face à ces évènements. Les philosophes des Lumières témoignent de la guerre avec une certaine froideur car

évoqués par La Bruyère. L'honnête homme et l'honnête femme ne doivent pas être prétentieux tel que Acis qui utilise un vocabulaire compliqué pour paraître plus intelligent, ni menteur pour se faire remarquer comme Arrias, ni être égoïste en s'imposant au mépris des autres aussi bien que Théodecte, ne pas chercher à accaparer la fortune des autres comme Troïle, ne pas être orgueilleux comme par exemple Cléon et ne pas être manipulateur de même que Nicandre. En conclusion, La Bruyère dresse un portrait

systématiques. Dans le corpus proposé, les textes de La Bruyère et de L’Encyclopédie sont davantage des textes de conviction alors que Voltaire et Giraudoux cherchent d’abord à persuader. La volonté de convaincre, donc de construire un raisonnement, utilise la logique comme arme privilégiée. La Bruyère, comme l’auteur de l’article "Paix", énonce des faits que nul ne peut réfuter. La logique se voit également dans l’opposition entre l’état de Paix et la guerre. L’Encyclopédie utilise un autre procédé : l’analogie

Synthèse : Des jugements, Les caractères XII La Bruyère. Problématique : Nous verrons comment La Bruyère raisonne-t-il les hommes sur la guerre à travers un discours polémique ? I- LA CRITIQUE DE LA GUERRE : a) L’absurdité de la guerre : L’utilisation de registre polémique et l’utilisation de l’argumentation directe. L’utilisation du présent et l’utilisation de la 1ère pers. du singulier, de la 2ème pers. du pluriel ainsi que la 2ème pers. du singulier.  Arguments absurdes : utilisation d’antithèses