La Bruyère Les Caractères Chap Viii

Les caracteres-ThéodecteLes caractères ● classicisme= imitation de l’antique anciens grecs et latin, plaire et instruire, honnete homme pleins d-themes das chap V, Les caractères= contination de le meme oeuvre de theophraste (4e s av JC), LB va l’enrichir ● Livre V à X : foncitonnement de la société V) De la société et de la conversation = art d’être en société: portraits de pers contraire au val de civilité VI) Des biens de fortune = rôle de l argent destabilise l ordre social VII)De la ville :

| |- Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane |Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? | |française |Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, | |- Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent|tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier| |HACHETTE Annales Bac 2007 |le manuscrit

est-elle faite pour être lue à voix haute ? | |- Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane française |Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui | |- Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent |refuse de publier le manuscrit dans sa collection des « Poètes

sonore dominant et dites en quoi il participe au sens. Commentaire : Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier le manuscrit dans sa collection des « Poètes d’hier et d’aujourd’hui ». Vous rédigerez la discussion qui les oppose, en vous référant

sonore dominant et dites en quoi il participe au sens. Commentaire : Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier le manuscrit dans sa collection des « Poètes d’hier et d’aujourd’hui ». Vous rédigerez la discussion qui les oppose, en vous référant

-> tableau imaginaire, irréel· oxymore “Soleils mouillés” : impossible -> convoque l’imaginaire· “Soleils mouillés” = iris de la ♀, “ciels brouillés” = blanc de yeux -> il voit un monde idéal dans les yeux de cette ♀┗> + pluriel souligne caractère changeant & diff facettes de♀· Diérèse s/ “mystérieux” -> exaltation du mystère + mise en valeur de la rime et donc des “yeux”BREF : ♀ sublimée + vue comme un moyen de salut, de se transporter dans un monde idéal ·

lui-même d’une autre œuvre de fiction (le Roman comique) : il serait excessif d’y voir une description historique des conditions de vie des comédiens. On retiendra cependant les allusions à leur situation particulière lors de l’enterrement du Matamore (chap. VI) qu’il conviendra d’expliquer. Recherches Il faudra prévoir quelques recherches et informations portant sur les origines des emplois tels qu’ils sont évoqués dans le roman, mais l’analyse portera surtout sur les représentations de cet univers,

L’Etranger de Camus • Texte 1 : L’ouverture du roman Du début jusqu’à « …. pour n’avoir plus à parler » • Texte 2 : I, Ch. VI : la scène du meurtre De « C'était le même éclatement rouge … », jusqu’à « … sur la porte du malheur » • Texte 3 : Le procès, II, Chap.4 Depuis « L’après-midi, les grands ventilateurs… » jusqu’à « …j’étais trop fatigué. » • Texte 4 : La fin L’excipit : Depuis « Lui parti j’ai retrouvé le calme… » jusqu’à la fin. LECTURE COMPLEMENTAIRE : • L’assommoir, Zola • Céline, Voyage au bout

enfance (Chap. I). La nuit suivante, dans un état de semi-somnolence, il revit une scène de son enfance (que l'on peut situer vers1822) : sur la pelouse d'un château du temps de Henri IV, fut chantée et dansée une ronde d'enfants à laquelle il a participé avec Sylvie sa petite compagne villageoise un peu sauvageonne, ronde qui fut illuminée par la présence fugitive de l'aristocratique Adrienne. Aux vacances de l'année suivante, le narrateur apprend qu'Adrienne est devenue religieuse (chap. II). Ce

seules preuves valables sont les preuves reconnues par les sciences naturelles. » 1 (1) Descartes, Œuvres, t. XI : Règles pour la direction de l'esprit, pp. 205-206. (2) John Stuart Mill, Système de logique déductive et inductive, liv. III, chap. XXI, § 1, vol. II, p. 94. P 3 : « Est rationnel, dans le sens élargi de ce mot, ce qui est conforme aux méthodes scientifiques, et les ouvrages de logique consacrés à l'étude des moyens de preuve, limités essentiellement à l'étude de la déduction