La Bruyère Les Caractères Chapitre Xi De L Homme Morceau 145

rêve (après la lecture du livre) P. 19 4 Le mythe (après la lecture du livre) P. 20 5 A, B L’épicier du village (après le ch. III) P. 21-22 6 A, B La Forêt de l’Oubli et la prairie (après le ch. VII) P. 23-24 7 Le village des Parfumeurs (après le ch. XI) P. 25 8 A, B La traversée de l’Océan (après le ch. XIV) P. 26-27 9 A, B Découverte de la rivière Qjar (après le ch. XVII) P. 28-29 10 A, B, C De retour à la maison ((après le ch. XVIII et l’épilogue) P. 30-31-32 11 A, B Les champs lexicaux (à tout

Constat et analyse sur la progression de l’œuvre. Une structure fondée sur l’assombrissement et le pessimisme. Chapitre 1 à 4 : adaptation complexe du prince à la nouvelle réalité sicilienne : incarné par l’intrigue amoureuse Don Calogero, Angelica et Tancredi. Chapitre 5 père Pironne. Les trois derniers chapitres : ceux de la décadence : elle touche le prince Salina et le prestige de sa famille, mais aussi le monde éphémère de ses souvenirs, des objets, des personnes

souvent attribuer des numé- ros d'ordre à des pièees facilement le non numérotées. sens de chaque chiffre tables des matières. <•;/ On comprendra se reportant aux COULEUR LA LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS MÉTAPHORES LES Dli VICTOR HUGO CHAPITRE LES Victor Hugo I METAPHORES CLASSIQUES dit dans les Contemplations : Je massacrai l'albâtre, et la neige, et l'ivoire, Je retirai le jais de prunelle noire, la Et j'osai dire au bras : Sois blanc, tout simplement. I, 30(1, vi)

Soleil bleu − IV. Brigands pour les oiseaux − V. Chez monsieur le marquis − VI. Effet de neige − VII. Où le roman justifie son titre − VIII. Les choses se compliquent − IX. Coups d'épée, coups de bâton et autres aventures − X. Une tête dans une lucarne − XI. Le Pont−Neuf − XII. Le radis couronné − XIII. Double attaque − XIV. Les délicatesses de Lampourde − XV. Malartic à l'oeuvre − XVI. Vallombreuse − XVII. La bague d'améthyste − XVIII. En famille − XIX. Orties et toiles d'araignée − XX. Déclaration d'amour

.....................................2 Chapitre I.............................................................................................3 Chapitre II..........................................................................................13 Chapitre III........................................................................................21 Chapitre IV........................................................................................27 Chapitre V ....................................

..................................2 Chapitre I.............................................................................................3 Chapitre II..........................................................................................11 Chapitre III........................................................................................18 Chapitre IV........................................................................................23 Chapitre V .................................

1 TOME PREMIER - CHAPITRE I......................................................2 CHAPITRE II......................................................................................7 CHAPITRE III. .................................................................................17 . CHAPITRE IV..................................................................................23 CHAPITRE V....................................................................................33 CHAPITRE VI..............

lignea monstra bovis (TV, 1,57- 58)), sorte de cheval de Troie erotique destiné à tromper son partenaire. Il est loisible de supposer, avec un peu de bon sens, que le mythe, tel qu'il est perçu alors à Rome, figure la bestialité du désir, dans son caractère irrépressible. Une souveraine se soumet à la domination d'une bête, abdique non sans scandale son statut, la plus haute position sociale, pour se livrer à son désir le plus brut : ce 71 faisant, elle quitte le rang de l'humanité pour celui de

Vanité », « Misère », « Ennui ». La notion de grandeur définie pour l’essentiel dans la liasse n°6 semble, elle, plus simple. Imposer à l’homme de se regarder en vérité est le grand désir des moralistes du XVII° s. ; comme un La Bruyère qui dit dans la préface de ses Caractères : « Je rends au public ce qu’il m’a prêté ; j’ai emprunté de lui la matière de cet ouvrage […] Il peut regarder avec loisir ce portrait que j’ai fait de lui d’après nature, et s’il se connaît quelques uns des défauts que je touche

veut la cérémonie de l’hommage. L’adoubement de Lancelot par le roi Arthur (voir p. 21). Cette enluminure a été réalisée d’après le Lancelot du Lac en prose du début du XIIIe siècle. Suite à un bain purificateur et à une nuit de prière, le jeune homme prête serment de fidélité à l’Église et à ses valeurs. Viennent ensuite la remise de l’épée et celle des armes. Agenouillé en signe de respect, Yvain reçoit son épée du roi (qui, ici, contrairement à l’usage, ne la lui ceint pas). La main d’Arthur