La Bêtise De La Guerre

HISTOIRE DES ARTS |Titre de l’œuvre | | |Otto Dix la GUERRE | | | |Date de création | |Auteur (dates naissance-mort)

précis. Elle permet de s’échapper face à la réalité des choses, des événements ou tout simplement de positionner ses idées et de les transmettre.Prenons Victor Hugo avec son poème « bêtise la guerre » qui traite d’un sujet très douloureux et très compliqué, avec ses conséquences, les souffrances et les dégâts que la guerre crée et aujourd’hui il y à eu James Blunt avec sa chanson « No Bravery » qui traite du même sujet mais d’une manière différente mais la finalité est la même :le sujet traité avec

Introduction La Guerre est une peinture ; tempera sur bois. Otto DIX la réalise entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place en Allemagne et où les gens commencent à oublier les terribles souffrances apportées par la guerre. C'est dans ce contexte particulier que le peintre réalise cette œuvre afin de rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Actuellement elle est conservée

extrait on parle de la guerre du Liban et de sa violence, c’est un registre réaliste. Comment cet extrait nous montre la violence de la guerre, et les réactions quelle suscite ? Dans un premier temp nous verrons qu’il décrit la guerre de façons réaliste malgré une certaine émotions, puis nous verrons, dans un deuxième temps, qu’il peut y avoir des réactions opposées face à cette atrocité. Premièrement, nous allons étudier en quoi c’est une description de la violence de la guerre faite sous le coup

LA GUERRE OTTO DIX ORIGINE DE L'OEUVRE Cette œuvre est une huile sur bois réalisé entre 1929 et 1932. Elle est composée de trois panneaux principaux et donc appelée « triptyque » et d'une «predelle» (partie inferieur d'un polyptique, ensemble de panneaux peints.) . Cette œuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. C'est

est une chanson française écrite par Renaud et composée par Jean-Pierre Bucolo, que Renaud interprète en duo avec Axelle Red, dans l'album Boucan d'enfer, sorti en 2002. Elle a été écrite peu après les attentats du 11 septembre 2001 et la seconde guerre d'Afghanistan. La chanson a été élue "Chanson originale de l'année" aux Victoires de la musique 2003 et "Chanson francophone de l'année" aux NRJ Music Awards 2003. La musique dure 3,50 minutes Jean-Pierre Bucolo avait composé la musique de la

Récit en prose ou en vers chargé d'illustrer une leçon morale "Candide ou l'optimisme" : A cette époque, l'optimisme a laissé place au pessimisme Révolté par l'intolérance : "Il faut écraser l'infame" → Intolérance religieuse Revolté par les guerres de son siècle. Règle ses comptes avec les théories optimistes/ providentialistes de Leibniz. Dans ce comte philosophique, Voltaire se propose de démontrer que les philosophies optimistes disant que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes

imaginations par sa bêtise, que je n’en pus tirer guère de plaisir. Sur ce que je lui demandai quel fruit il recevait de la supériorité qu’il avait parmi les siens (car c’était un capitaine, et nos matelots le nommaient roi), il me dit que c’était marcher le premier à la guerre ; de combien d’hommes il était suivi, il me montra une espace de lieu, pour signifier que c’était autant qu’il en pourrait en une telle espace, ce pouvait, être quatre ou cinq mille hommes ; si, hors la guerre, toute son autorité

donner des explications rationelles a des actes aussi démeusurés ? * Intro. Le terrorisme semble repousser les limites intellectuelles de l’homme. Trouver des explications a ces phénomènes reste très complexe. En retraçdant l’histoire de cette guerre sans visage, en développant certains points de vue, on peut trouver des explications a ce phénomènes si déroutants. Une étude de l'US Army datant de 1988 a recensé plus de 100 définitions du mot « terrorisme », j’ai choisis celle du Larousse qui

pays, rejet de la modernité associée à la bêtise des bourgeois. À l’inverse, du voyage en Égypte à Salammbô, les peuples primitifs gardent tout leur pouvoir de fascination lié à leur éloignement, qui caractérise aussi le Moyen Âge. Cette radicale étrangeté fonctionne en outre comme l’un des pôles déclencheurs de l’envie d’écrire, qu’elle agisse positivement – et on a alors le sauvage ou le barbare – ou négativement – c’est la fascination pour la bêtise, pas toujours distincte, d’ailleurs, de l’exotisme