La Bêtise De La Guerre

 Le déserteur Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher II faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter. Depuis que je suis né J'ai vu mourir

Mise en relation avec la biographie de l’auteur Eugène Émile Paul Grindel, dit Paul Éluard, né à Saint-Denis le 14 décembre 1895 et mort à Charenton-le-Pont le 18 novembre 1952. Il sera l’un des maîtres du surréalisme. Il vécut pendant la 2ème guerre mondiale où il participa à la Résistance et a écrit pour faire face à l’occupation Allemande. En 1943, il rassemble avec Pierre Seghers et Jean Lescure des textes de nombreux poètes résistants et publie l’Anthologie « L’Honneur des poètes ». A la

l’Afrique ? 12. Où se trouve la mère du narrateur au moment de la déclaration de guerre ? Pourquoi doit-elle partir ? 13 Où se rend-elle alors ? Qui l’accompagne ? 14. Que tente alors le père du narrateur ? 15. Pourquoi le narrateur et son frère trouve-ils difficile de vivre avec leur père ? 16. Quelle est la première bêtise commise par le narrateur et son frère à leur arrivée en Afrique ? 17. Quelle est l’origine de la guerre du Biafra ? Pourquoi les peuples Ibos et Yoroubas se sont-ils battus ? 18

contraire, obéit à des instincts, c’est-à-dire à des schémas définis qui ne font pas intervenir la volonté consciente. D’autre part, l’intelligence peut être opposée à la bêtise . De ce point de vue, certains hommes sont plus intelligents que d’autres ; ils possèdent à un degré éminent cette faculté spécifiquement humaine. Quant à la bêtise, comme l’indique l’origine même du terme, elle constituerait une sorte d’analogue humain – dont le sens serait à préciser - de l’animalité et de l’instinct. Dans le

le Square de Charleville ou la géographie de la bêtise bourgeoise, et dans une deuxième partie, nous verrons que le poème est un attentat poètique et politique d'un poète voyou. I – Le square de Charlesville : un espace "mesquin" envahi par les bourgeois 1) Un décor étriqué a) Repère spatiale en exergue Rimbaud déteste sa ville natale, son rêve est Paris. Sa ville lui inspire la bêtise. Dans une de ses lettres, il dit, en parlant de

burlesque et satirique de l’affaire. Paru en 1908, le roman arrive après la réhabilitation de Dreyfus mais Anatole France, membre de l’Académie Française (et le seul à avoir soutenu Dreyfus) est sorti de cette affaire désillusionné et accablé par la bêtise humaine qu’il cherche donc à dénoncer. C’est une vision pessimiste de l’affaire que nous livre l’auteur, pour lui, l’affaire Dreyfus n’a pas eu l’impact qu’il attendait et n’a pas vraiment changé les choses en France. Ce roman est une sorte de longue

La Guerre d'Otto Dix La violence et l'horreur de la guerre sont exprimés à travers les couleurs, la lumière et l'organisation du tableau dans le tableau ''la Guerre'' d'Otto Dix, crée en 1929-1932, dix ans après la première guerre mondiale dans le but de rappeler au spectateur l'horreur la violence et la bêtise de la guerre. Présenter l’œuvre: Nature de l’œuvre: peinture sur bois ( 204*204cm) Titre: La Guerre Auteur: Otto Dix (1891-1969) Date: 1929-1932 Genre: Expressionnisme, Triptyque

qu'être faisant partie de cette espèce ; Il est également dans le même état d'esprit d'incompréhension que le Sirien car ces guerres n'ont qu'un but superficiel, les hommes se battent sans savoir réellement pour quoi et surtout pour qui, d'où le passage à un sentiment non plus de peur mais d'indignation face à cette folie et cette bêtise et la volonté de mettre fin à toute cette bêtise tout comme le géant. Mais ensuite, après les explication du philosophe qui montrent que les hommes qui se battent ne sont

émeutes raciales des noirs américains après l’assassinat de Marin Luther King, l’engagement de Jean Seberg et d’autres artistes et intellectuels américains aux côtés des Afro- américains, les émeutes de Washington, la « question noire » sur fond de guerre du Vietnam, le racisme, y compris le racisme anti-blanc, les Black Panthers, les événements de Mai 68 en France, la société de consommation qu’il qualifie de société de « provocation » (cf : p.97-98), l’hypocrisie, la vengeance, la bonne conscience

c’est à la veille de l’annonce de la Première Guerre-Mondiale qu’il s’est marié. Il eut par ailleurs avec cette femme, un enfant, plus précisément un Fils, comme il nous le dit lorsqu’il s’adresse à son adjudant Angéli. De plus, on peut ajouter que notre narrateur fait attention, du moins au début de la guerre, à son apparence (Il continu à se raser, mais il sera vite soumis au critique de ses soldats qui lui firent comprendre qu’il était à la guerre, et que l’apparence n’avait pas vraiment d’importance :