La Cage aux folles

nous encerclait. Je me retrouvai seule, perdue, ne sachant où fuir. Je fus prise dans un filet tendu par des hommes. J’étais désespérée. Mise dans une cage, pleurant ma belle liberté perdue je fus chargée sur un camion, en compagnie d’autres bêtes. Le voyage fut très long et épuisant. J’avais un immense chagrin de me voir enfermée dans cette cage. Moi la gracieuse et superbe gazelle j’étais traitée en être inférieur et rejetée au niveau d’une vulgaire marchandise. Et par qui ? Par des êtres vraiment

: deux heures et demie (= deux heures et la demie d’une heure) ; à mains nues. ► Les adjectifs beau, fou, mou, nouveau, vieux : Les adjectifs beau, fou, mou, nouveau, vieux font bel, fol, mol, nouvel, vieil devant un nom masculin singulier qui commence par une voyelle ou par un « h » muet : un bel homme, ► un fol amour, un mol oreiller, un nouvel appareil, un vieil immeuble. ► L’adjectif feu : L’adjectif feu ne prend pas un x au pluriel mais un s. Il est invariable quand il précède l’article ou

pas nous aimer. La crasse . . . Les Bonnes CLAIRE, 41 c'est presque dans un aboiement. Ah ! . . . SOLANGE . . . N'aime pas la crasse. Et tu crois que je vais en prendre mon parti, continuer ce jeu et, le soir, rentrer dans mon lit-cage. Pourrons-nous même le continuer, le jeu. Et moi, si je n'ai plus à cracher sur quelqu'un qui m'appelle Claire, mes crachats vont m' étouffer ! Mon j et de salive, oc' est mon aigrette de diamants. CLAIRE, elle se lève et pleure. Parle plus

numérique terrestre qui vont gonfler l’offre télévisuelle. Que peut-on constater dans cet univers hyperconcurrentiel ? D’abord que les recettes publicitaires se sont diluées et ont globalement baissé depuis 2000. On note par ailleurs que les folles années de la télévision payante sont finies : depuis 2001, le taux de croissance des dépenses des ménages dans le domaine du câble et du satellite marquent le pas. Ces taux pour s’abonner au câble ou au satellite en Europe de l’Ouest sont passés de

Look International (Chorégraphie signée A. CZAMECKA), ou plus récemment Carmen (sept. 2003), ainsi que le Ben-Hur de Robert HOSSEIN (sept. 2006) au Stade de France. Il vient aussi notamment de créer la lumière de la reprise de La Cage aux Folles au Théâtre de la Porte Saint Martin (Paris) et de l'opéra-rock Mozart au Palais des Sports de Paris (septembre 2009). Il travaille également pour des émissions de télévision, dont Johnny HALLYDAY à la Tour Eiffel réalisée par G. PULLICHINO

C’est tout à fait normal de ne plus savoir où l’on est puisque l'imagination est la fuite du réel et vous fait voyager avec les nuages. A l'opposé, avez-vous déjà vu quelqu'un en situation de création, tournant en rond dans sa chambre comme un ours en cage, taillant la pierre comme une bête, déchirant ses pages et recommençant, acharné sur une feuille pour y dessiner une idée, parlant tout haut, bataillant, battant des bras comme des moulins à vent ? Il y a une grande différence entre un mouvement qui

compte de l'ordre des temps. Nous vivions alors dans une époque étrange, comme celles qui d'ordinaire succèdent aux révolutions ou aux abaissements des grands règnes. Ce n'était plus la galanterie héroïque comme sous la Régence, le scepticisme et les folles orgies du Directoire ; c'était un mélange d'activité, d'hésitation et de paresse, d'utopies brillantes, d'aspirations philosophiques ou religieuses, d'enthousiasmes vagues, mêlés de certains instincts de reconnaissance ; d'ennuis des discordes passées

en mettant en exergue les deux extrêmes : la bourgeoisie et les classes laborieuses, que sont les ouvriers. Les classes les plus aisés consomment l’alcool comme une boisson euphorisante, qui détend, permet tout, même les choses les plus folles. Ils boivent entre eux, dans des salons bourgeois, ce sont uniquement des hommes. Ils plébiscitent les alcools les plus rares. En revanche, les classes les plus défavorisés consomment des boissons alcoolisées pour oublier la misère de leur condition

effet, le texte s’organise en trois mouvements. De la ligne 1 à la ligne 11, il formule une critique à l’encontre des Européens créateurs de désordre social. Il condamne la violence dont ils sont à l’origine par la gradation croissante : « fureur », « folles », « féroce », « haïr », « égorgés », « sang » (l. 7-9). L’alternance des pronoms « tu » et « nous » dans un rythme binaire systématique accroît l’opposition qui s’établit entre les deux peuples. Le connecteur « et » des lignes 3, 4, 5 et 7 prend

de commun avec ma Thérèse, dont le drame était de n’avoir pas su elle-même ce qui l’avait poussée à ce geste criminel. » Intérêt de l’action Le texte est précédé d’une épigraphe intrigante : « Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! Ô Créateur ! peut-il exister des monstres aux yeux de celui-là seul qui sait pourquoi ils existent, comment ils se sont faits, et comment ils auraient pu ne pas se faire… » (Charles Baudelaire). Elle est empruntée à un texte des ‘’Petits poèmes