La Camp D Auschwitz Birkenau

Née Simone Jacob le 13 juillet 1927 à Nice, Mme Veil est déportée à l'âge de 17 ans à Auschwitz-Birkenau, avec l'une de ses sœurs, Madeleine, et sa mère, Yvonne. Elle y passe treize mois et sort seule du camp. Elle ne reverra pas plus son frère ni son père, déportés en Lituanie, mais retrouvera sa sœur aînée, Denise, déportée à Ravensbrück et Mauthausen. Son nom restera associé à la cause des femmes, à la construction européenne. Simone Veil entre, jeudi 18 mars, à l'Académie française, à l'âge

le police française, le 20 février 1943, interné à Drancy, puis déporté vers Auschwitz le 2 mars, dans le convoi n°49. Il est sélectionné pour le travail et commence par être terrassier. Puis, il est désigné pour faire partie du Sonderkommando, au Crématoire III de Birkenau où il transporte et brûle les corps au sortir de la chambre à gaz. En 1945, il survit à la "Marche de la Mort" et est envoyé à Buchenwald, puis au camp de Melk, puis à Ebensee où il est libéré par l'armée américaine. Il meurt

résistance. Simone sera déportée à Auschwitz Birkenau (avril-juillet 1944) et ensuite dans le camp de Bobrek ( juillet-janvier 1945) , lors de l’évacuation des camps en 1945 Simone sera l’une des prisonniers qui devront traverser la marche vers Gleiwitz ou aussi appelée «la marche de la mort », Kelice Basse 3B Vie professionnelle et familiale après la guerre : Simone Veil est de retour en France le 23 mai 1945 à Paris, elle apprendra que son père est mort dans un camp et sa sœur avec sa mère pendant

artistes. Naturalisé français, en 1939, il est mobilisé dans l'infanterie. Suite à sa démobilisation, il est astreint au statut des Juifs du régime de Vichy. tD33a Arrêté par la police française en 1943, il est emmené à Drancy puis déporté à Auschwitz. Marqué du matricule 106144, il est intégré au Sonderkommando, unité spéciale dont le rôle est de sortir les corps des chambres à gaz, de récuperer les objets de valeur puis de les transporter dans les crématoriums. Son talent de dessinateur retient

Février, tous les juifs du camps sont envoyés à Auschwitz . L'auteur raconte alors son long voyage de 15 jours dans des wagons de marchandise, entassés tel du bétail où la soif et la faim sont omniprésentes. A l'arrivée, les détenus sont tout de suite triés par sexe, âge et état de santé général. Les femmes, les enfants et les personnes âgées sont envoyés de suite pour les chambres à gaz. Primo Levi, lui, est " apte " au travail et part pour le camp de Monowitz. Une fois là-bas, les prisonniers

à reconstituer des instants de vie avec des objets qui ne lui ont jamais appartenu mais qu'il expose pourtant comme des objets dépositaires de souvenirs. Valises ayant appartenu à des personnes déportées. Photographie prise après la libération du camp d’Auschwitz par les forces soviétiques en janvier 1945. Crématorium en Lorraine 200 000 pièces de vêtements usagés étalées Le spectateur arrive ensuite dans une immense salle : au sol, 42 rectangles formés de vêtements rangés à plat. Ils composent

habitants de Weimar âgés de 18 à 45 ans, furent amenés par les soldats américains à l'intérieur du camp afin qu'ils prennent conscience des crimes nazis . Parmi eux se trouvaient des membres du Parti nazi. Dans plusieurs camps, les soldats alliés obligèrent les civils à enterrer les cadavres. Des civils allemands découvrent un amoncellement de cadavres lors de leur visite du camp de Buchenwald, le 16 avril 1945.

 il est déporté de Drancy vers Auschwitz avec 1000 Juifs, par le convoi no.493. Matricule  106144, il est choisi pour faire partie du Sonderkommando, le « commando spécial » dont le  rôle principal est de sortir les corps des chambres à gaz et de récupérer sur leurs cadavres tout  objet de valeur avant de les enfourner dans les crématoriums, manufacturés par la firme Topf  und Söhne. Les membres des Sonderkommandos, bien que relativement mieux traités que les  autres  prisonniers  du  camp  à  cette  époque, 

Document 5 – Treblinka : un camp d’extermination. Le témoignage d’un ancien SS Shoah – Extraits, de Claude Lanzmann Témoignage de Franz Suchomel (6,9 Mo). Extrait 2, séquence 1, 00 :01 :22 © CNDP, 2001. Ce document présente le témoignage du sergent SS Franz Suchomel qui a participé au processus d’extermination à Treblinka. Ce témoignage a été enregistré en caméra cachée par Claude Lanzmann. Le camp d’extermination de Treblinka a été achevé en juillet 1942. Le camp a eu trois chambres à gaz

Mémorial de l'Héritage juif, à Holocauste à New York, cette peinture fut réaliser par un peintre juif, né en 1902 et mort en 1985. - Cette oeuvre fut réalisée juste après la fin de la 2nde GM, après la libération des camps d’extermination comme Auschwitz dont les populations ne savaient presque rien. Un camps mis en place à partir de fin 1941 et surtout généralisés à partir de janvier 1942 afin de réaliser l’extermination de masse des populations Juives. - L'oeuvre est proche du mouvement expressionniste