La Cantatrice Chauve Conclusion

Ionesco est un dramaturge, écrivain et professeur de Français du 20em siècles. Il passe sa vie entre ses deux pays, la Roumanie et la France. Il fera partie du mouvement du théâtre de l'absurde et écrira de nombreuses pièces tels que La cantatrice chauve (1950), La Leçon (1951) ou encore Rhinocéros (1959) - Rhinocéros est un pièce de théâtre divisé en 3 actes. Elle fut publié en 1959 et apparait comme une pièce emblématique du théâtre de l'absurde. Dans cette pièce, l'auteur invente une

phrases bizarres, quasiment poétiques (« nuage scientifique »). Aussi tout le discours sur l’alcoolisme (« terre insatiable »).  Il n’y a pas de réelle communication et communion entre les personnages, cela créé aussi un sentiment de malaise. Conclusion : En présence d’une scène d’exposition qui rompt avec les règles du théâtre traditionnel, et qui présente une forme de théâtre de l’Absurde, avec toutes ses caractéristiques. En effet, au lever du rideau, le spectateur découvre un cadre banal,

représentation Ex : Texte B, la transformation de Jean ne prend sens que si elle est jouée, les répliques ne se suffisent pas à elles-mêmes. b) Quand le jeu l’emporte sur le texte Ex : Théâtre de l’absurde. Dérèglement de la parole. Dans La Cantatrice Chauve, le sens contenu dans les répliques des personnages disparaît progressivement sans que la pièce perde son sens. Théâtre d’Antonin Artaud où le texte est moins important que la mise en scène. c) La possibilité d’un théâtre sans texte Ex : Jean-Louis

étant La Cantatrice Chauve, pièce qui a rencontré la faveur du public, alors qu'elle réduit à l'absurde toutes les conventions qui ont fait du théâtre une forme de représentation "sociale" : cette pièce dépoussière aussi bien le "théâtre populaire" (le boulevard) que les "classiques" et met à nu l'essence du théâtre : la mise en scène des confrontations langagières (de façon pessimiste, puisque personne ne se parle, et que le langage y est réduit à néant), qui font l'humanité. Conclusion [récapituler

Ionesco présente d’emblée sa Cantatrice chauve comme une anti-pièce. Les personnages n’ expriment rien et les dialogues sont décousus. Quand Mme Smith entend « la pendule anglaise frappe[r] dix-sept coups anglais », elle se dit : « Tiens, il est neuf heures ». Et quand elle parle à son mari de ce qu’ils ont mangé, il ne l’écoute pas. Dans Antigone, Jean Anouilh ne reprend pas la structure classique de la pièce de théâtre : il n’y a ni acte, ni scène. Conclusion Cette étude comparative nous

avec précision : dans « en attendant Godot », on sait que l’action se déroule dans une lande, sans plus de précision. Le temps est lui-même tourné à l’absurde par certains moyens comme le pendule sonnant un nombre improbable de fois dans La Cantatrice chauve de Ionesco. Le but de ces « nouvelles » pièces de théâtres ne réside plus dans la fin, où l’intrigue sera dévoilée, mais il réside dans le contenu entier de la pièce qui mène au dénouement déjà connu. Comme on peut voir dans Caligula de Camus

supposition : on ne sait pas vraiment si JP lui en veux a cause de ces fameux auvents donc il s'enlise dans des excuses ce qui le met dans un état assez ridicule que ces autres protagoniste aime lui rappeler. Le silence de JP a réduit H1 au ridicule ! Conclusion: Nous avons donc vu que le silence occupe une place importante dans la scène et également que Le silence de JP déstabilise les autres personnages. Nous pouvons donc dire que le silence est une personne a part entière qui vit au travers de JP. En

illustrer cela, ces deux dramaturges placent leurs personnages dans des situations répétitives et vaines (Beckett : En attendant Godot, où les deux personnages attendent en vain pendant toute la pièce Godot, qui ne viendra pas, ou Ionesco: La Cantatrice chauve, qui commence et se termine par les mêmes répliques => cf répétition des tâches quotidiennes, qui fait prendre conscience de l'absurde). Surtout, ils jouent sur le non-sens des dialogues pour souligner l'absurdité de la condition humaine :

raison, dépourvue de sens et sans avenir. C’est le cas de Ionesco, auteur né en Roumanie en 1909-1912, il s’installe en France où il a connu les deux guerres mondiales, qui marquerons ses écrits. Il est l’auteur de plusieurs pièces telles que La Cantatrice Chauve, La Leçon et bien sur Rhinocéros. Cette dernière jouée pour la 1ère fois en 1958, dénonce les comportements conformiste, Ionesco dira même que l’histoire se veut une parabole entre la monté du nazisme. Le passage que nous allons étudier est

dans les livres ? Nous étudierons dans un premier temps, Pour un oui, pour un non de Nathalie Sarraute, puis Une ardente patience de Antonio Skarmeta, et enfin, la cantatrice chauve Eugène Ionesco. Dans ce dialogue où les non-dits ont autant d’importance, sinon plus que les mots eux-mêmes, deux hommes se penchent sur ce qui fait leur amitié, ou plus précisément ce qui la rend impossible