La Charrette Bleu

propre, jaillis à la face de tes détracteurs2 !Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues !Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et qu'après un long temps de songerie funèbre, la pluie battant soudain jusqu'à meurtrir le sol fonde bientôt la boue, un regard pur l'adore : c'est celui de l'azur agenouillé déjà sur ce corps limoneux3 trop roué4 de charrettes hostiles, – dans les longs intervalles desquelles, pourtant, d'une sarcelle5 à son gué6 opiniâtre7 la constance

pour l’hiver prochain. Elle acquiesça d’un bref mouvement de tête, accompagné d’un grognement rauque. John prit donc ses affaires, une gourde d’eau, alla prendre sa charrette dans l’étable et y attela sa seule jument qui portait le doux nom de Cracotte. Il détacha Gus de sa niche pour qu’il l’accompagne, et remplit la charrette de légumes, et de bidons de lait. Il s’installa sur le petit siège et tira un petit coup sec sur les rênes en poussant un « hue ! » déterminé pour faire signe au cheval

plan. La taille des personnages, des maisons, des charrettes allant en diminuant ajoute à l'effet de profondeur. De plus le peintre n'a consacré qu'une faible partie pour représenter le ciel. Le premier plan est occupé par les barrières, les arbustes, la charrette et la meule. Le second plan : les maisons les petits personnages L'arrière-plan: le village et les Alpilles et le ciel. Les lignes des champs rythment le paysage. La charrette bleue est située au centre des diagonales du tableau

La charrette de Foin (The Hay Wain) CONSTABLE Introduction Admirable et incroyable. C’est par ces mots que DELACROIX (1798-1863) salua la découverte en France de la peinture de CONSTABLE. Exposée pour la première fois à paris en 1824, dans un salon privée. L’œuvre la charrette de foin suscita un accueil enthousiaste du public comme de la critique. Ils firent de cette nouvelle peinture anglaise, une révolution dans l’art du paysage. Au cours de cette exposée, nous verrons comment CONSTABLE

de plantes chimériques, Je les vois se faner sous la nuit ou le vent. Escales des matins argentines et fraîches, Ô fruits salins mûris par les soleils des mers, Je veux mordre aux douceurs vivaces de vos chairs Vous qui de loin avez le duvet bleu des pêches. Je ne vois rien encore à l’horizon figé Dans le cercle marin que nul phare ne troue ; Mais mon cœur, devançant tout ce morne trajet, A déjà vu trembler Santa-Cruz à sa proue… Jules SUPERVIELLE, (1884- 1960). Poèmes, Gallimard

trouve Arles ? En bordure de quel fleuve ? Arles se trouve dans la province Narbonnaise, en bordure du Rhône. 2- Repasse en rouge les deux axes principaux de la ville. Nommeles : - axe nord-sud : cardo - axe est-ouest : decumanus 3- Colorie en bleu la place principale. 4- Colorie en rose le bâtiment religieux. 5- Colorie en jaune les bâtiments de loisirs. 6- Quelle remarque peux-tu faire à propos de l’organisation de cette ville et de ses monuments ? Ils appartiennent à la civilisation romaine

attelait à la charrette : la vieille Bess, calme et gentille ; Jack, l'œil farouche, mordillant le cou de Bess. - Belle journée, Bess, dit papa qui essuyait le museau du cheval. Calme-toi, Jack. Il inclinait la tête vers Jack. Puis papa s'éloigna avec la voiture, le long de la route poussiéreuse, pour aller chercher Sarah. La nouvelle femme de papa. Peut-être notre nouvelle mère. Des écureuils couraient dans tous les sens sur la route ; ils s'arrêtaient pour regarder la charrette. Beaucoup plus

chapitre « Le nain à la charrette » Gauvain inquiet pour la reine demanda l’autorisation à Arthur de partir les rejoindre dans le bois pour connaître les résultats du combat. Arthur accepta avec anxiété. Gauvain partit au galop et quand il arriva il vit Ké à demi-mort avec une lance le transperçant. Il partit aussitôt à la recherche de la reine. En route il rencontra Lenfant qui était parti plus tôt à la recherche de celle-ci. Un peu plus tard ils virent un nain à la charrette. Les chevaliers lui posèrent

comme un signal dans l'entre chien et loup, La nuit tombant sur mon enfance - et je devinais tout. MAI SOMBRE Tout au fond du jardin chantait l'araignée à fourrure Et le soleil de mai tissait sa toile sur les eaux. J'écoutais le trop-plein de bleu brûler dans les orties Et le souffle animal d'une locomotive Veiller sur la solitude des dieux. Alors en haut d'un arbre ou dans l'ombre d'un mur, Je fus le moyeu, les rayons et le bord de la roue Accélérant. Et si c'est un malheur de vivre,

d'un parc urbain dans un clair-obscur de bleuités où l'on entend le bruit d'une cascade, une "wasserfall", qui ruisselle à travers mille rigoles qui amplifiées deviennent des ornières. Les ornières, ces traces profondes laissées par les roues des charrettes ou charriots dans la nature sont le point de départ d'un voyage imaginaire. L'aube redonne vie à la nature comme elle donne par magie naissance à un défilé joyeux, allègre, celui de roulottes foraines d'un cirque qui défile. Le cirque émerveille