La Chasse aux trésors

courez donc pas où vous voulez ? »  Quant à La Fontaine, il présente un chien-esclave satisfait, prêt à toutes les bassesses comme « donner la chasse […] aux mendiants » pour obtenir «  une franche lippée » de son maître. Le loup, insensible aux arguments tentateurs du chien préfère mourir de faim dans les bois et ne voudrait « pas même à ce prix un trésor » d’où sa course éperdue et libre. tandis que La Fontaine propose un exemple moral et une leçon individuelle. La Fontaine  dans Le loup

témoigner que le narrateur ne peut subvenir lui-même à des besoins pourtant primaires. Il se définit par son attitude de dépendance vis-à-vis de son propre corps, attitude impubère s’il en est. Se faire chasser, en outre, implique un rapport de force. Ce quelqu’un qui vous chasse ne pourrait chasse[r] que celui sur qui il a autorité, l’autorité étant fondamentalement ce qui caractérise les relations d’adulte à enfant. Cette hypothèse d’un narrateur enfant désormais établie, il convient d’en dégager

que vous aurez passé ces chaînes de montagnes, vous aurez la possibilité d’aller au Nord ou au Sud. Commençons par le Nord, où vous trouverez plus loin un bien étrange château, le Fort Ouest. Rien d’intéressant ici, la seule porte qui contient des trésors est scellée avec la Clé Mystique. Prenez donc l’unique autre porte pour vous retrouvez dans la salle du trône. S’il n’y a personne dans le château à part des chauves-souris, il y a bel et bien un roi assis sur son trône. Ce dernier peste contre Astos

condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée : Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. " Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son Maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons : Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse. " Le Loup déjà se forge

1: l'œuvre : Titre de l'œuvre : L'Ile au trésor. Nom de l'auteur : Robert-louis STEVENSON Le genre littéraire auquel appartient l'œuvre: le Roman Le sous-genre de ce roman : roman d'aventures Collection : le livre de poche 2: La narration : Jim Hawkins est le narrateur de l'histoire de l'Ile au trésor. Le narrateur ne se réduit pas au fait de raconter les événements mais il fait partie des personnages de l'œuvre. Donc il s'agit d'un narrateur acteur. Pendant l'absence de Jim le

tous les animaux. La vie suivait son cours paisiblement. Mais un jour une grande famine frappa l’île. Les habitants ayant épuisé toutes leurs réserves de nourriture se mirent à chasser tous les animaux afin de ne pas mourir de faim. Les tangues étaient très nombreux et furent donc les premiers à être chassés. Leur nombre diminuait dangereusement. Lassés d’être pourchassés, ils décidèrent de se réunir pour trouver une solution. Hélas, les jours passaient sans que la situation ne change.

rééducation dans la Province du Sichuan. Son premier roman est Balzac et la Petite tailleuse chinoise, qui retrace la période de rééducation de deux jeunes hommes, Luo et « le narrateur ». Cela se passe pendant la révolution culturelle, véritable chasse aux intellectuels, durant les années 1960-1970. En effet, en octobre 1949, la république populaire de chine est proclamée par Mao Zedong. Il prend certaines mesures, tel que le développement de l’agriculture et l’industrie, l’élévation du niveau d’éducation

décidé ainsi.   Et je n'eus pas à regretter cette veillée sur la route du sud à Liguidi-Malgam. Car Aloys-le-Chauffeur n'avait pas été le seul à décider. Bamoye-l'infirmier était aussi, ce soir-là, à Liguidi-Malgam et tout fier de son tableau de chasse, qui fut un des premiers dans la lutte contre les fauves. Les premières hyènes étaient crevées tout près des tas d'ordures du village. Les plus éloignés des cadavres avaient été récupérés dans les fourrés, contre les termitières, dans des grottes

la condition est de mourir de faim.Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :Tout à la pointe de l'épée.Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gensPortants bâtons, et mendiants ;Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :Moyennant quoi votre salaireSera force reliefs de toutes les façons :Os de poulets, os de pigeons,Sans parler de mainte caresse. "Le Loup déjà se forge une félicitéQui

derviche qui allait à pied à Bassora .Ayant partagé nos provisions, nous parlions de choses et d’autres en mangeant. Le derviche :- Je connais non loin d’ici un trésor immense que, une fois tes chameaux chargés, il en restera 10 fois plus ! L’aveugle :-Bon derviche, tu es seul et ne peut emporter que peu de choses ; aussi allons à ce trésor, et je t’offre un de mes chameaux pour que tu rapportes avec lui ce que tu veux ! Le derviche :-Mon frère, ce partage ne me semble équilibré aux bienfaits que