La Chronique de Paris

Bruxelles : Mardaga. Barbier, R. (1996). « La Recherche-Action ». Paris : Anthropos. Barrère, G. (2006). « Education / Economie : Conflit de valeur(s)? ». dans E.Triby (dir.) Questions vives, vol 3, num 6, université d’Aix-Marseille, p.59 à p.70. Batal, C et Charbonnier, O. (2004). « management, organisation et formation ». dans P. Carré et P. Caspar (dir.) « traité des sciences et des techniques de la formation ». p.103 à p.126. Paris : Dunaud. Bazin, H. (2004). « Développement d'un espace de travail

de Tours jusqu’en 1814, avant de rejoindre cette même année la pension Lepitre, située rue de Turenne à Paris, puis en 1815 l’institution de l’abbé Ganser, rue de Thorigny. Les élèves de ces deux institutions du quartier du Marais suivaient en fait les cours du lycée Charlemagne. Le père de Balzac, Bernard François, ayant été nommé directeur des vivres pour la Première division militaire à Paris, la famille s’installe rue du Temple, dans le Marais, qui est le quartier d’origine de la famille (celui

Le Notaire du Havre est le premier volume, d'une série de dix, de la Chronique des Pasquier de Georges Duhamel, publié en 1933 au Mercure de France. §Résumé Laurent Pasquier, un éminent chercheur en biologie, entreprend, en 1931, de raconter la saga historique de sa famille depuis la fin des années 1880. En 1888, Raymond Pasquier et Lucie-Éléonor Delahaie-Pasquier forment une famille parisienne modeste avec quatre enfants. Raymond Pasquier, employé chez Cleiss, rêve d'élévation sociale et intellectuelle

notamment — passa à « l'Écho de Paris ». Et commença alors le lent déclin du journal. En 1903, son tirage était tombé à 5 000 exemplaires. En 1911, le journal fut repris par Antonin Périnier et l'éditeur Ollendorf. Il fut ensuite racheté par des banquiers, les frères Merzbach… et disparut après l'été 1914. Le GIL BLAS se voulut d'abord littéraire. Son sous-titre : « Le plus littéraire - le plus parisien des journaux ». De grandes plumes s'y exprimèrent dans des chroniques qui connurent un vif succès

du moins temporaire, des incursions musulmanes dans le Regnum Francorum. Cette bataille sans grande importance va néanmoins obtenir presque aussitôt un très grand retentissement dans les milieux éduqués. C'est ainsi qu'une chronique espagnole (chroniques mozarabes) à peine postérieure la décrit comme une victoire des  Européens  sur l'infidèle. C'est la première évocation connue de l'Europe comme civilisation et culture, notamment autour du christianisme.

Explication de texte Introduction Albert Camus, est un écrivain et un philosophe. Né en Algérie en 1913, il a passé son enfance dans un quartier pauvre d’Alger. Il se rend à Paris en 1939 puis il publiera L’Étranger en 1942. Il sera un résistant très actif durant la seconde Guerre mondiale. Avec Sartre, il fut l’un des plus grands philosophe de l’après-guerre. La Peste, de Albert Camus, est un roman écrit en 1947 dont le personnage principal est le docteur Rieux qui combat sans relâche l’épidémie

Baudouin de Flandre « Comment Baudouin, le comte de Flandre, quitta Paris et s’en alla à Noyon, où il épousa le diable. » Baudouin de Flandre est un roman en prose rédigé au milieu du XVème par une main anonyme. La source en vers (composée d’alexandrins monorimes), dont ne sont conservés que deux fragments, écrite en dialecte picard, remonterait au début du XIVe siècle. « [H]éritier de la chanson de geste, du roman et de la chronique, » ce roman, favorable à la croisade, « fourmill[e] d’aventures [et]

textes : 2 sur le protestantisme et un sur la poésie, conférence donnée à Bordeaux le 3 mars. R. Bastide, professeur de lycée     Titulaire de sa Licence en 1923, il obtient un poste de professeur à Clamecy, ce qui lui permet de résider à moitié à Paris en partant le jeudi de Clamecy par chemin de fer, et de suivre des cours en Sorbonne. Il fréquente les cafés de Montparnasse, les artistes, poètes et peintres, en particulier les surréalistes. En 1924 il passe le concours d'Agrégation et est reçu en

siècle, Paris, BnF, département des Manuscrits.) Document 2 : Ci devise comment on doit aller laisser courre pour le sanglier. (Livre de chasse de Gaston Phébus, comte de Foix, XIVè siècle, Paris, BnF, département des Manuscrits.) Document 3 : Ci devise comment on doit chasser et prendre le loup. (Livre de chasse de Gaston Phébus, comte de Foix, XIVè siècle, Paris, BnF, département des Manuscrits.) Document 4 : Le chenil (Livre de chasse de Gaston Phébus, comte de Foix, XIVè siècle, Paris, BnF

Ci-contre: la bataille de Pavie. - 1529 : François 1er fut contraint de payer une forte rançon pour que ses deux fils fussent libérés. Le montant de la rançon s'est élevé à deux millions d'écus d'or. - 1533 : le syndic de la faculté de théologie de Paris, Noël Béda, a été forcé à l'exil. Toutefois, il a pu revenir dans un délai assez bref. - 1534 : des affiches dénonçant la messe sont affichées sur la porte de la chambre du roi François 1er. C'est « l'affaire des placards ». Dans le même temps, Tunis