La Cité de la peur

La cité de la peur : travail d´analyse Résumé du film: Lors du premier jour du festival de cannes , un nouveau film est présenté au public sans aucun succes , le film nommé red is dead parle d un tueur en serie (communiste) qui tue des personnes a la faucille et au marteau.Odile Deray l´atachee de presse est desespérée car le critique trouve comme tout le monde ce film mauvais.Pendant ce temps le projectionniste du film est assasiné , de la meme facon que l aurait fait l assasin du film. Odile

ANALYSE SCHEMATIQUE DU MYTHE D’ANTIGONE Premier temps : la structure 8 PAR FIDÉLITÉ AU DROIT DES MORTS ET, AU NOM DE L'AMOUR ET DE LA CHARITÉ, ANTIGONE TIENT TÊTE AU ROI 1 LE PÈRE QUI CONDAMNE SON JEUNE FILS À MORT PARCE QU'IL A PEUR D'ÊTRE TUÉ PAR LUI 7 À LA CROISÉE DES CHEMINS, APRÈS LA MORT DES DEUX FRÈRES, LES PARTISANS DE POLYNICE N'ONT PLUS LES ARMES POUR CHOISIR LEUR VOIE 2 L'ENFANT SAUVÉ PAR LA BIENVEILLANCE DE TIERS NE TROUVE PAS LA PAIX 9 LE ROI CONDAMNÉ

prendre la cité de Thèbes. Cette attaque est décrite par Eschyle dans son œuvre, les sept contre Thèbes. B) Les acteurs du conflit Les deux acteurs principaux sont Etéocle et Polynice. Selon Eschyle, ils devaient être roi à tour de rôle, mais Etéocle, une fois roi, fit chasser son jeune frère de la cité. Celui-ci se réfugia à Argos où il épousa la fille d'Adraste, le roi argien. Il convainc celui-ci de mener une expédition sur Thèbes afin de prendre le trône. Il attaque donc la cité de Thèbes avec

qui est vivant L’existence dépasse l’être pour envisager ce que nous ne sommes pas encore. Exister c’est ne plus se contenter de ce que l’on est. Exister c’est vouloir changer d’être. La peur est peur de quelque chose, la peur peut avoir une fonction utile. L’angoisse, contrairement à la peur, n’a pas vraiment d’objets, elle est liée aux vertiges des possibles. Exister c’est ne pas être ce qu’on est puisque c’est vouloir être ce qu’on n’est pas. L’existence est transcendance. Le

Exercices sur les périphrasesRetrouvez les noms de lieux, personnages, … désignés par des périphrases suivantes :1. La géographie :- La Capitale des Gaules : Lyon- La Cité des Papes : Avignon- La Cité phocéenne : Marseille - La Venise du Nord : Bruges- La Ville éternelle : Rome- La Perle de l'Orient : - La Ville des 1001 Nuits : Paris- Le Toit du monde : l’Everest - L'Île de Beauté : - La Grande Bleue : la mère méditerranée- Le Pays des Droits de l'homme : la France- La Perfide Albion : la grande

temporalité de la peur (inauthenticité) et de l’angoisse (authenticité). La peur se révèle comme une affection inauthentique. La peur nous confronte aux préoccupations des choses de ce monde. La peur est toujours la peur de quelque chose qui menace notre possibilité d’être factice par rapport aux choses dont nous nous préoccupons. La peur s’ouvre vers ce qui nous menace dans un contexte quotidien du monde. La temporalité de la peur est une temporalité inauthentique. La peur se rapporte à un objet

c’est les émotions de Laila qui s’impose, ils détaillent les modalités, les nuances de la peur éprouvée par Laila. C’es d’abord la peur du noir, dela nuit avec une comparaison dans la ligne 14 liée au froid du serpent je cite « je sentais la peur entrer en moi comme un serpent en moi », l’action qui en résulte est de se coller dans le litcontre le dos de celle qui devient sa « grand-mère ». C’est ensuite la peur de la rue, elle reste dans la cour de la maison, elle résiste aux déplacements avec violence

Cette enquête le conduit à des distinctions et à des hiérarchies. Il soutient que l’explication par des raisons économiques est secondaire et donne la priorité à des motifs politiques. La justification de cette thèse l’amène à souligner le rôle de la peur. Ceci motivera notre réflexion : si la société dérive de la crainte, peut-elle être autre chose qu’un rassemblement des égoïsmes ? Alain soutient que l’homme est « citoyen par nature » mais n’est-ce pas notre nature qui nous pousse à nous menacer

en 1983. Cette pièce respecte les traditions du théâtre classique, mais surprend le lecteur par d’autres aspects, comme ses didascalies. C’est une pièce très sombre et métaphorique qui présente un véritable choc des cultures, et dénonce la peur de l’autre et de l’inconnu. Nous allons nous demander quel est le rôle de la première scène de cette œuvre, et quels en sont les enjeux. Dans un premier temps, nous verrons que cette scène est la scène d’exposition de la pièce.

c’est les émotions de Laila qui s’impose, ils détaillent les modalités, les nuances de la peur éprouvée par Laila. C’es d’abord la peur du noir, de la nuit avec une comparaison dans la ligne 14 liée au froid du serpent je cite « je sentais la peur entrer en moi comme un serpent en moi », l’action qui en résulte est de se coller dans le lit contre le dos de celle qui devient sa « grand-mère ». C’est ensuite la peur de la rue, elle reste dans la cour de la maison, elle résiste aux déplacements avec violence