La Colonne D Harmonie En Maçonnerie

tore, et au dessus du tore verticale se trouve un mini toit appelé corniche à gorge, ces éléments crées un jeux de lumière. Dans l’enceinte, la petite porte donne accès au domaine par un portique d’entrée constitué de colonnes engagées(tenante à un mur), c’est là l’apparition de la colonne, le fut n’es pas lise mais faciculé, on appel aussi le portique propylées. Au bout il y a un mur, le mur des cobras, il y a une frise de cobra sur la partie supérieur, ils ont un rôle protecteur, en dessous, le mur

d'y remplacer partout le plein cintre par le tiers-point. Ainsi commença le devenir glorieux du style gothique, "l'opus francigenum", à partir du gothique primitif vers le gothique lancéolé, le gothique pur, caractérisé par simplicité, équilibre et harmonie, s'épanouissant au XIII siècle, qui fut celui des réalisations parfaites, surtout les quatre grandes cathédrales de Chartres, Reims, Amiens, Beauvais et la Sainte-Chapelle du Palais de Paris (fig. 6). On pourrait même parler, pour cette étape historique

(procession religieuse), le Parthénon était un temple, et on avait une manière curieuse mais très aristotélicienne de voir que tout marchait ensemble à Athènes : politique, religion et culture (art, musique). Période du Ve d’équilibre incroyable, harmonie et bonne entente sociale prônée par Aristote. Section 2 – La religion et l’héritage chrétien Les politiques européennes n’étaient pas hostiles dans l’ensemble à ce qu’on mentionne les racines chrétiennes de l’Europe, mais certains s’y sont opposés

de nombreux reflets dans la création, dans les fluides, dans les couleurs et dans les formes (2). ______________________ (1) Cf. PAPUS, La Cabbale. Anvers. Ed. Lumen, 1929, p. 191, Trad. du Sepher Jesirah.@, Rem. gén. (2) LACURIA (P. F. G.), Les Harmonies de l'Etre exprimées par les Nombres, Paris, Chacornac, 1899, tome II, p. 300. «La multiplication du nombre 4, dit Eckartshausen, l'extraction de sa racine, sa multiplication par lui même, et la considération de la proportion de tous les nombres

parfait que celle de la nature. Pour atteindre cette perfection il faut se baser sur l'observation de la nature mais il faut aussi créer une synthèse qui dépasse le caractère individuel. Elle doit reposer sur l’harmonie des différents éléments. Cette harmonie repose sur des rapports calculés mathématiquement et des formes géométriques. L’art et l’architecture s’en réfère avant tout à la perception humaine. Alberti résume tout en disant "l'homme est la mesure de toute chose". La nature on ne s'y intéressait

l’architecture européenne chrétienne, cette sœur puînée des grandes maçonneries de l’Orient, elle apparaît aux yeux comme une immense formation divisée en trois zones bien tranchées qui se superposent : la zone romane, la zone gothique, la zone de la renaissance, que nous appellerions volontiers gréco-romaine. La couche romane, qui est la plus ancienne et la plus profonde, est occupée par le plein cintre, qui reparaît porté par la colonne grecque dans la couche moderne et supérieure de la renaissance

et à l’aide du traité « De architectura » de Vitruve (historien latin de l’architecture du Ier s.), les architectes redécouvrent les règles de la construction classique derrière les styles de l’Antiquité. Il s’agit des « ordres » : proportions des colonnes et des entablements, doriques, ioniques et corinthiens. Cette obsession de vouloir ordonner la réalité s’appliquera aussi à retrouver le procédé mathématique de l’Antique leur permettant de prolonger l’harmonie des formes idéales (cercle, carré)

d’une syntaxe. 2/ La syntaxe du langage classique Les modalités d’articulation du langage class = les ordres. Ex : le Colisée qui a 3 syntaxes empilées les 1 sur les autres (ordre dorique, ionique & corinthien). Rapport entre la longueur de la colonne & sa largeur diffère. L’entablement est différent d’1 style à l’autre : - en bas : ordre dorique - au dessus : ordre ionique On le retrouve ds bcp d’archi ; allégement. - en haut : ordre corinthien Cette

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Attention ! Ce siècle est toujours religieux. Mais religion devient une institution parmi d’autres, n’est plus indispensable à place dans la société mais devient un choix personnel. Apparition en Grande Bretagne à la fin du XVII° s. de la Franc-maçonnerie et développement. Répond aux besoins de l’élite de la religiosité et sociabilité qu’ils recherchaient. Sans contenu dogmatique précis et qui parle un langage moderne. Pas de clergé. A la fin du siècle, la religion a perdu partout en Europe la maîtrise