La Conception Du Pouvoir Des Monarchie Franques

fonction du père. Il n’en demeure pas moins que cette mesure de circonstance traduit un pas essentiel vers une nouvelle atteinte au pouvoir de l’Etat. Dans les faits, l’hérédité s’insinue jour après jour, au point qu’à la fin du 9ème siècle, comtes et ducs sont devenus indépendants du roi : théoriquement, ils servent celui-ci, mais, en réalité, ils tendent à exercer un pouvoir autonome et héréditaire. Il n’y a pas le lien de causalité entre la vassalité et le bénéfice, mais, c’est ce lien de causalité

de Juillet (28/29/30 juillet : Les Trois Glorieuses) ; Fuite de Charles X (†1836) et de son fils Louis XIX († 1844) qui se réfugient à Görz en Autriche (aujourd’hui Gorizia en Italie) ; (9 août) : Louis-Philippe, cousin de Charles X, prend le pouvoir ; (11 septembre) : loi autorisant le retour des « régicides ». http://fr.wikipedia.org/wiki/Chevaliers_de_la_Foihttp://fr.wikipedia.org/wiki/1822http://fr.wikipedia.org/wiki/1827http://fr.wikipedia.org/wiki/Francehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Russie_imp%C3%A9rialehttp://fr

supprimer une partie des compétences judiciaires du Sénat. Mais le Sénat pare le coup en utilisant la théorie du senatus consult ultime, il affirme qu’il est le gardien de l’Etat, il doit le protéger et peut déclarer l’état d’urgence. Il concentre les pouvoirs. Caïus et ses partisans sont arrêtes et tués. Caïus Marius, général talentueux va cumuler un certain nombre de fonction. Il va mettre en œuvre une réforme qui va changer l’histoire de Rome. Sous la république, il n’y a pas d’armée de métier, les

av JC. Le pouvoir appartient à un roi qui est le représentant de Dieu sur Terre/chef de sa ville/il doit faire régner la justice, l'ordre, la paix, protéger les faibles, garantir au peuple la prospérité. Mais il n'est pas divinisé contrairement au rois égyptiens. Le choix du roi est inspiré par les dieux, il reçoit donc le trône, le sceptre et la couronne. A ses côtés se développe une administration complexe et structurée. Ces cités-états doivent obéissance au souverain dont le pouvoir absolu repose

UF., 2002. - Lebecq S., Les origines franques, Ve-IXe s., t. 1, Paris, Seuil, 1990. - Theis L., L'héritage des Charles. De la mort de Charlemagne aux environs de l'an mil, t. 2, Paris, Seuil, 1990. - Geary P.-J., Le monde mérovingien. Naissance de la France, Paris, Flammarion, 1988. - Sassier Y., Royauté et idéologie au Moyen Age, Bas-Empire, monde franc, France (IVe –XIIe s.), Paris, 2002. - Devroey J.-P., Economie rurale et société dans l'Europe franque (VIe-IXe siècle), Belin, Paris, 2003

structurante avec un certain nombre de limites, car il est le produit de l'histoire. L'émergence du dualisme entre le droit privé et le droit public (aux origines): Dualisme entre les deux ordres, détachement progressif du pouvoir Royal de la sphère du droit privé. Ce pouvoir royal est soumis progressivement à un statut dérogatoire, qui a constitué celui du droit public. Ce détachement a eu lieu en France entre le 11ème et le 16ème siècle grâce à la distinction originaire de Rome (le Ius privatum

loi                          Section 2.- Condition juridique et sociale des Romains                                                § 1.- De la propriété collective à la propriété privée                                                § 2.- Les pouvoirs du pater                   Chapitre 2.- Droit classique                          Section 1.- Progrès du droit romain                                                § 1.- Introduction de la procédure formulaire                                                §

structures instituées organisant la société. Elle vient du latin judiciarus, qui qualifie tout ce qui est relatif aux tribunaux. Juge= Judex en latin, qui est la contraction de l'expression Jus dicere : Dire le droit, rendre la justice. Deux conceptions de la justice émergent dans l'antiquité. Aristote les a notamment développées : La justice judiciaire La justice sociale Le juge doit rendre à chacun selon son dû. Et il doit rendre une justice sociale. I) Relation entre l’État et la justice

La nation n’est pas une personne morale, alors que l’Etat concept juridique est la personnification en droit public du droit (personne moral, par excellence). Une nation n’a pas de porté juridique. Au sens international, la nation n’a pas de conception. La nation ne s’exprime pas, n’a pas de chef, par définition une nation est encéphale (elle n’a pas de tête, pas de chef), mais elle peut avoir un leader, Maurice Hauriou, grand publiciste. La nation n’a pas de territoire, cependant elle a une base

inégalités sociales, économiques, culturelles ou même physiques ne peuvent justifier aucune différence de droits. L’égalité civile et politique des citoyens est ainsi la première condition d’une société démocratique. L’idée de justice renvoie aussi à une conception de l’égalité qui exige de prendre en compte les différences de patrimoine, de salaires, d’accès aux services publics, à l’emploi, à la santé, à la culture, aux loisirs, etc. Ainsi le législateur a voté des lois accordant une protection particulière