La Conception Traditionnelle Et Moderne Du Pouvoir

collective dans les sociétés traditionnelles et évoluées Il a également conscience que la conscience collective évolue dans le temps. Son hypothèse est que dans les sociétés évoluées la conscience collective n'est pas de même nature que dans les sociétés traditionnelles – ou paysannes. Il va essayer de distinguer les formes de conscience collective qui concerne les sociétés d'avant la RI et les sociétés qui s'industrialisent. Son propos est que dans les sociétés traditionnelles la division du travail

travers les oeuvres des penseurs aussi bien occidentaux qu’arabes. Chacun d’entre eux posait un jalon sur la voie de l’indépendance de cette nouvelle science par le choix d’une méthode propre à elle. B. GENÈSE DE LA SOCIOLOGIE MODERNE La genèse de la sociologie moderne remonte au père réel de cette science : Ibn khaldoun (2) suivi par Machiavel (3) et Montesquieu (4). Mais pour respecter la vérité scientifique, il faut avouer que c’est Aristote (1) qui a lancé les premiers jalons de cette science

» : A. La philosophie politique est à l’origine des sciences sociales : La philosophie politique grecque est considérée comme la source la plus lointaine des sciences sociales modernes. Elle a été reprise à la Renaissance par Machiavel et surtout Hobbes, considéré comme le père de la philosophie politique moderne. En Allemagne, les sociologues ont assumé cette origine philosophique des sciences sociales. Weber a soutenu que les phénomènes sociaux ne pouvaient pas être assimilés à des phénomènes

mains tous les pouvoirs, gouverne sans aucun contrôle »1,2. Dès lors, ce terme sera utilisé dans tous les livres d'histoire pour caractériser la nature du pouvoir politique dans la France d’Ancien Régime, entre la Renaissance et la Révolution. En effet, c'est de « pouvoir absolu » (poder absoluto), expressions utilisées par plusieurs auteurs aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles à propos de la France et de l’Espagne, que dérive le néologisme absolutisme. La notion d'absolutisme Pouvoir « absolu », puissance

peur est intrinsèque à la définition même de la philosophie. Normalement on pense la philosophie comme un exercice de réflexion critique essentiellement théorique qui nous rappelle, par exemple, le projet d’autonomie critique des citoyens, une conception plutôt théorique et argumentative de la philosophie, qui est souvent dominante. Néanmoins on a vu au premier semestre le caractère insatisfaisante de cette définition de la philosophie comme étant essentiellement exercice de l’esprit critique, art

démocratique de ces États, parfois éloignés des principes de la démocratie moderne. La démocratie est envisagée ici dans une conception dite minimaliste, celle de Robert Dahl, (polyarchie, démocratie dans la sphère politique, séparée des domaines économique et social), ou de Régis Debray (ensemble d'institutions chargées de la répartition et de la légitimation du pouvoir). D'après ces conceptions réductrices, les démocraties modernes (avec le suffrage universel notamment) ne sont apparues qu'après 1945

l’édition (PAdie) pour nos activités d’édition. La publication de cet ouvrage a été rendue possible grâce à l’aide financière de la société de développement des entreprises culturelles (sOdec). Mise en pages : cAPture communicAtion couverture – conception : richArd hodgSon Œuvre : PAtrick PArenteAu, Peinture no 11, huile sur bois, 70 cm  75 cm 1 2 3 4 5 6 7 8 9 PUQ 2008 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés © 2008 Presses de l’Université du Québec

préconisent cependant l’entretien des monuments et admettent qu’on les consolide, à condition que ce soit de façon invisible. Aloïs Riegl, Le culte moderne des monument, Son essence et sa genèse Préface de Françoise Choay -depuis la 1ère et surtout la 2nde Guerre Mondiale : destruction et conservation à une echelle sans précédent -Deux voies traditionnelles de la destruction : -Anéantissement « symbolique » = guerre et volonté d’éradication -Destruction « progressiste » = effets destructeurs

représentation de la vie sociale Crise et mutation L'évolution des sciences sociales La raison d'être de ce livre Chapitre 2. Mutation de la sociologie Déconstruction Reconstruction Chapitre 3. Crise de la modernité L'évolutionnisme Une société post-moderne ? Unité ou diversité de la vie sociale ? La séparation de la société et de l'État Le développement Chapitre 4. La vie sociale a-t-elle un centre ? Le retour du sujet Le rôle central du conflit social Conclusion Alain Touraine, Le retour de

dans un premier temps analysées puis mobilisées pour appréhender les formes modernes de l’organisation. La réflexion s’attarde ensuite sur les structures organisationnelles traditionnelles avant de se centrer sur les analyses contemporaines des architectures organisationnelles. ------------------------------------------------- PLAN INTRODUCTION : DEFINIR ET CARACTERISER UNE ORGANISATION LES ANALYSES TRADITIONNELLES DE L’ORGANISATION I _ Les théories classiques de l’organisation A)