La Conclusion De La Bancarisation

5 A) Opportunités  5 B) Menaces  5 C) Facteurs d’influence : macro-environnement 5 III. Décision stratégique 7 A) Stratégie adoptée 8 B) Logique, motivation et cohérence de la décision 8 IV. Préconisations 8 Conclusion 9 Le secteur des services s’est considérablement développé ces dernières années, particulièrement au niveau du secteur des banques et assurances. Celui-ci se diversifie de plus en plus en complétant leur offre avec des services bancaires

AVANT-PROPOS La microfinance tient une place de plus en plus notable dans l’environnement économique et financier ivoirien. Placé dans le cadre de l’inclusion financière et de la bancarisation, le développement de la microfinance apparait comme un impératif. Ainsi, l’Etat ivoirien a pris la pleine mesure de cette réalité en mettant en place une architecture rigoureuse au plan juridique et institutionnelle en vue du bon fonctionnement de cette activité et de sa supervision. Certes, le secteur

inconvénients et défis des banques participatives Section 3 : l’impact des banques participatives sur l’économie national Conclusion générale 2ème Partie : étude d’un questionnaire et des entretiens Chapitre I : Préparatoire des enquêtes Chapitre II : Analyse des données et interprétation des résultats Conclusion générale Bibliographie Webographie 4 Liste DES FIGURES : Figure 1 : contrat mourabha Figure 2 : contrat

INTRODUCTION GENERALE Au fil des années, le client est devenu de moins en moins captif et dépendant d’une seule banque et a opté pour la multi bancarisation. La rentabilité de la banque s’en trouve affectée. Cette multi bancarisation pousse les banques à développer des stratégies pour conserver leur clientèle : il faut maintenant tout faire pour maintenir sa clientèle au risque de subir une baisse de ses revenus, et à long terme, de ne plus pouvoir assurer ses engagements. Il est donc question

de nouveaux produits financiers afin de diversifié leur offre et donc d’augmenté le nombre de produits ou services détenus par les clients. B) Un consommateur souhaitant effectuer des transactions courantes et qui a besoin de conseils La bancarisation étant une nécessité pour le client car il a besoin de déposer, de retirer de l’argent mais aussi de disposer d’un compte pour recevoir de l’argent (salaires, allocations) et pour transférer de l’argent (virements). Avec le temps, le consommateur

de paiement électronique) afin de vulgariser l’usage des CIB ( Carte InterBancaire) . Cependant , ce nouveau moyen de paiement ne suscite pas l’engouement, et demeure réticent à l’adopter. Exemple d’Algérie Poste disposant d’une assez large bancarisation : 6 millions de carte magnétique confectionnées pour une clientèle de plus de 12 millions. Sur les 4,5 millions de cartes retirées au bureau de poste, seulement 2 millions ont été utilisées. Dont 1,3 millions de cartes commandées, et non retirés

personnes qui aurait subi un préjudice de fait de cette indiscrétion. Conclusion : Le secret professionnel du banquier doit trouver son équilibre entre la protection individuelle et le maintien de l’ordre public (lutte contre le blanchiment ou le financement du terrorisme). De plus, avec l’émergence du libéralisme des échanges internationaux, la dérèglementation des produits bancaires et financiers, l’externalisation, la bancarisation des personnes …, le secret professionnel a beaucoup évolué et les

Grade. Un taux de bancarisation de 62% en 2013 Une étude réalisée par le cabinet Sia conseil sur l’évolution du système bancaire pour les 5 prochaines années Un réseau de 7 400 agences bancaires en 2013 ! Le revenu national brut additionnel serait de 8 milliards de DH d’ici cinq ans. Une vision très optimiste. C’est ce qui se dégage de l’étude sur le niveau de bancarisation au Maroc, réalisée par le cabinet français  Sia conseil. Selon ce cabinet, le taux de bancarisation devrait atteindre 54

VCP SVA = (CPn-1) x [(ROE –g)/ (Kcp-g)] VCP/ CPn-1= [(ROE-g)/ (Kcp-g)]= PBR Donc, plus le PRB d’une banque est élevé, plus la banque crée de la valeur actionnarial et plus cette création de la valeur est en croissance, plus le PBR sera fort. Conclusion sur la première partie Si une entreprise génère une EVA nulle, sa MVA sera nulle quelle que soit la croissance des FCFE, donc on peut ainsi déduire que la croissance n’est pas une source de richesse. La création de valeur dans la banque apparaît

enseignant : Monsieur Moustapha Daouda Dala Plan I. Introduction II. Historique III. Organisation de l’agence d’accueil IV. Activités observées et/ou manipulées lors du stage V. Apports du stage VI. Difficultés rencontrées au cours du stage VII. Conclusion 1 I. Introduction Les objectifs du stage • approfondir, mes connaissances acquises durant cette année, et mettre en pratique ce que nous avons déjà étudie dans la théorie • d'affronter les gens, d'assumer la responsabilité et de se familiariser