La Confusion des sentiments

on inclut l’idée de conscience morale pouvant établir les valeurs et morales tout en sachant pourquoi celles-ci, on implique forcément les sentiments à la base de nos décisions morales. Ces sentiments seraient universels à partir du moment où l’éducation, la pitié, la sympathie, ne les dénaturent pas. Par ailleurs, pour pallier à cette relativité des sentiments on fait intervenir la raison. Cependant, si la conscience morale est la conséquence d’une éducation, elle dépend du milieu social, elle est

L’inversion sonore (sons ou lettres dans un mot) L’anagramme chien : niche La contrepèterie « sonnez trompettes, trompez sonnettes » La situation comique Le quiproquo : Confusion sur un personnage, il est pris pour un autre (valet pour leur maître), Confusion sur un objet « je lui est donné….Ecole des femmes) Confusion sur un lieu Le sous-entendu complice : deux connaissent, le troisième n’est pas dans la confidence ex personnage dissimulé (Tartuffe) La répétition : même situation

dans ‘Le blé en herbe’. On ne peut pas nier que dans ‘Le blé en herbe’ Colette offre une analyse détaillée de toutes les joies et les épreuves difficiles d’adolescence. Bien que le roman date des années vingt les expériences, les attitudes et les sentiments de Philippe et Vinca restent vraiment pertinents pour les jeunes contemporaines. Il convient donc d’analyser de plus près les aspects présentés par Colette de cette étape intermédiaire entre l’enfance et l’âge adulte. Il est vrai que le corps d’un

du jeune Werther nous conte l’histoire d’un jeune citadin, intelligent, fragile, à l’âme fougueuse et vagabonde, fuyant la ville pour se réfugier dans le village de Wahlheim où il s'émerveille de la nature environnante. Totalement dominé par ses sentiments, le jeune homme rencontre lors d'un bal une jeune fille, Charlotte, dont il s'éprend, mais cet amour se révèlera impossible puisque celle-ci est promise à Albert, son meilleur ami. Werther ne trouvera du réconfort que dans la mort. Ce roman est

pour s’approprier chaque sentiment, gestes et trait de caractères qui le rendra plus crédible au yeux des spectateurs. Genest de Rotrou insiste sur le travail de conformation : «  je sais que par un long étude / l’art de nous transformer, nous passe en habitude ». Molière préconise d’avoir « Toujours ce caractère devant les yeux, pour bien faire les grimaces », cette idée est renforcée par Anouilh, qui recommande un examen préparatoire des motivations et des sentiments du personnage qui permet d’être

France, au 20eme siècle l’ordre des guerres mondiales, des idiologies et des technologies, les guerres font sombrer l’Europe dans un conflit sans précèdent, ce qui fait naitre le sentiment d’absurde et surtout le surréalisme et l’existentialisme chez les intellectuels, en rapport avec les conflits politiques de l’époque. L’une des œuvres qui pratique ce style est L’étranger de Albert Camus (1942 ), l’analyse qui suit traitera l’extrait Bienvenue

que moi. Soit je pense que ce n'est pas ce que je veux qui détermine ma liberté, mais dans ce cas qu'est-ce que la détermine . Nous allons voir dans une première partie nous allons voir que la liberté veut dire que c'est moi qui décide, puis la confusion désir volonté et enfin la place de la volonté dans la liberté. La définition que l'opinion commune donne de la liberté est donc en opposition total avec une chose : la loi. En effet, ce qui m'empêche de faire ce que je veux dans le monde actuel

Introduction : La poésie est un genre littéraire apparu dès l’Antiquité où il était alors oral. En effet, à l’origine, la poésie est un texte chanté accompagné de musique (la lyre), propre à exprimer des sentiments, notamment l’amour. Mais cette dernière a toujours été différente des autres genres littéraires telle que le roman. Ce qui nous amène à nous demander en quoi et pourquoi l’écriture poétique s’écarte de l’usage courant de la langue. Nous verrons cela dans un premier temps en nous intéressant

armes. On peut se demander en quoi ce texte illustre la violence de l'insurection? 1° Une scène de confusion a. les personnages perdent leur individualité pronom indéfinis ligne 27 29 « impossible de distinguer les paroles » utilisation des pluriels « les cris » noms communs « armée soldats » l 4 « leur » pour désigner les ennemis b. le point de vu interne marqueur de confusion Narrateur = Personnage (Le narrateur ne dit que ce que sait le personnage). C’est le point de vue interne

possède Oreste et qui le mène à une confusion assez forte. On peut notamment en voir une manifestation avec l’utilisation très fréquente de la ponctuation dans cet acte. Plus précisément, du point d’interrogation. Il commence à paraitre dans le texte au vers 1625 et sera présent jusqu'à la fin de l’extrait de cet acte. Par ce procédé, qui montre un signe de questionnement, de doute, d’incompréhension et de confusion. Il est utilisé pour manifester les sentiments que ressent Oreste en raison du fait